📊🇮🇹 Selon un sondage @IpsosItalia pour le @Corriere, seuls 28% des Italiens sont au courant de l'organisation de ce #référendum mais 67% jugent qu'il est "important".
Intentions de vote, juillet 2020
Oui 46%
Non 10%
Nsp 24%
Abstention 20%
En cas de Oui, une nouvelle loi électorale devrait s'appliquer (appelée la Germanicum) un mode de scrutin purement proportionnel sur le modèle allemand
Selon les intentions de vote actuelles, la droite obtiendrait alors la majorité mais ... seulement avec l'appui de @berlusconi
Ce n'est pas la première fois que les Italiens sont appelés à se prononcer sur la réduction du nombre de parlementaires mais pour la première fois ce sera la seule réforme proposée au suffrage. Et cela devrait tout changer.
🗳️🇮🇹 En 2006, 61.3% des Italiens rejettent une réforme constitutionnelle proposée par @berlusconi qui tend vers la fédéralisation de l’État italien, met fin au bicaméralisme et diminue de 19% le nombre des parlementaires
🗳️🇮🇹 Dix ans plus tard, ils sont 59.1% à rejeter la réforme constitutionnelle de @matteorenzi qui tendait vers un renforcement des pouvoirs du Premier ministre (au détriment du Parlement et de son bicaméralisme parfait) et une baisse du seul nombre des Sénateurs.
Les défauts des deux réformes ont poussé les Italiens à rejeter une réforme plus précise - celle prévoyant la baisse du nombre de parlementaire - alors même qu'ils y semblent favorables.
Le référendum de septembre prochain devrait résoudre la question.
A quelques semaines du vote sur la réduction du nombre de parlementaires, des voix s'élèvent contre la réforme - notamment au sein du PD.
Pour la droite nationale, le vote "Oui" est clair, malgré l'opportunité d'un Non pour faire tomber le gouvernement. repubblica.it/politica/2020/…
Si la plupart des partis s'accordent sur cette réforme, beaucoup se montrent mal à l'aise face à l'absence d'une réforme plus globale des institutions italiennes, notamment la fin du bicaméralisme parfait (Chambre des députés et Sénat ont exactement les mêmes pouvoirs)
📊🇮🇹 Intéressant sondage d'intention de vote au #référendum sur la réduction du nombre des parlementaires
Il a été réalisé dans la seule région Vénétie, dirigée par la Lega (qui appelle à voter Oui)
66% voteraient POUR
34% CONTRE
Une surprise à attendre le 21 septembre ?
📊🇮🇹 Point sur le poids électoral du camp du Oui et du Non au référendum sur la baisse du nombre de parlementaires
(calculé à partir des dernières intentions de vote, selon la consigne de vote de chaque parti)
📊🇮🇹 Sondage de Lab21, le "Non" à la baisse du nombre de parlementaires n'a jamais été aussi haut dans un sondage - 28% - mais pas de quoi menacer la victoire de Oui pour l'instant.
Seul un pays a déjà fait voter sa population sur le nombre de parlementaires qu'il devait avoir
Le Liechtenstein 🇱🇮 a consulté 5 fois ses citoyens sur ce sujet. D'un premier Non en 1919, il a fallu attendre 1988 pour que 51.7% des électeurs fassent passer ce nombre de 15 à 25.
Après recherche, le #Liechtenstein n'est pas le seul pays à avoir voté sur cette question 😓
🇱🇹 1996 ✅ 77.9% - Baisse de 141 à 111 (non appliquée car quorum non atteint)
🇳🇿 1999 ✅ 81.5% - Baisse de 120 à 99 (idem car vote consultatif)
Bref... vive la souveraineté populaire 👌
📊🇮🇹 Sondage Demos pour @repubblica concernant l'intention de vote au #référendum sur la baisse du nombre des parlementaires
📊🇮🇹 Nvlls intentions de vote régionales concernant le référendum sur la baisse du nombre des parlementaires
% de "Oui"
Campanie 70%
Marche 61%
Ligurie 60%
Toujours plus serrés que les sondages nationaux, sans que l'on sache si le pb vient de la méthodo nationale ou régionale
📊🇮🇹 Même sondage mais en Toscane cette fois, une région-bastion du @pdnetwork (dont la position est mitigée sur la réforme)
POUR la baisse du nombre de parlementaire 52%
CONTRE la baisse du nombre de parlementaire 48%
🗳️🇮🇹 Sondage @IpsosItalia pour @Corriere concernant l'intention de vote au #référendum sur la baisse du nombre des parlementaires
(Evolution p/r à juin 2020)
POUR 71% (-11 pts)
CONTRE 29% (+11 pts)
Participation estimée 52%
📊 Septembre 2020
📰🇮🇹 En Italie, la @repubblica souligne la retenue des leaders de droite ds la campagne référendaire sur la réduction du nombre des députés. Pourtt favorables, ils rechignent à s'impliquer et risquer de mettre en valeur le M5S, à l'initiative de la réforme rep.repubblica.it/pwa/generale/2…
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A partir des données @IfopOpinion j'évalue comment la ligne de fracture gauche-droite perdure dans l’esprit des Français et comment elle les fait pencher plutôt vers la droite. ⬇️
Immanquablement, depuis 2014, les Français se positionnent du côté droit de l’axe politique :
56 % d’entre eux se disent du centre droit, de droite ou d’extrême droite cette année, contre 53 % en 2014, soit un niveau stable depuis 2017 mais en hausse sur la durée.
Toutefois, on remarque surtout que c’est principalement le bloc « central » qui se renforce, la part des Français se disant de centre droit ou de centre gauche passant de 29 % en 2014 à 36 % en 2017 pour atteindre 39 % cette année.
Ces deux phénomènes parallèles – qui ont pour conséquence de gonfler une droite dans sa version modérée – peuvent toutefois être nuancés par le regard que portent les Français sur différents mots ou concepts idéologiques qui structurent la vie politique contemporaine
Parmi les concepts les moins bien considérés par les Français, rassemblant une majorité contre eux :
Le communisme 78 % en ont une mauvaise image
L'ubérisation 74 %
Le NFP 69 %
L’immigration 69 %
Le capitalisme 63 %
Les grèves 59 %
Le socialisme 52 %
Les syndicats 52 %
Les Français expriment un fort rejet de plusieurs piliers de la gauche, que ce soit :
- ses fondements idéologiques (communisme, socialisme, NFP)
- ses modes d’action (syndicats, grèves)
Une aversion cohérente avec la tendance « droitière » de l’opinion.
Globalement les électeurs auront à se prononcer sur le droit à l'avortement dans une dizaine d'Etats comme la Floride, l'Arizona, le Nebraska ou l'Arkansas
Des votes qui devraient confirmer l'attachement des Américains, y compris républicains, à ce droit
Maintenant que l'on comprend les intentions des organisateurs de la #ceremoniedouverture on voit ses grosses lacunes : trop grand, on ne comprend pas les liens entre les tableaux et ... où sont les sports ??
Le défilé Vogue World de juin était bien plus un réussite dans ce genre
Pourtant organisé comme un défilé de mode, le show (qu'on ne peut pas soupçonner d'être réac) mettait parfaitement en valeur Paris, son caractère et l'imagerie française (garçons de café, Tour de France, luxe), tout en faisant très bien ce qu'ont fait les JO sur les prises de vue
Et aussi, le show a mieux rempli son objectif en mélangeant la mode (objet principal) avec des mises en scène de choré autour des disciplines JO et des sportifs
À la page 115 du rapport de 2023 on apprend que 53% des étudiants juifs constatent que la violence d'extrême droite monte à l'université
Mais dans l'enquête IFOP source, ils sont également 84% à juger que les violences d'extrême gauche monte, et ce n'est pas cité 🙃
Page 220 à 222
À partir d'un sondage Ipsos utilisé pour présenter leur Baromètre du racisme, la CNCDH montre que l'antisémitisme est plus fort à l'extrême-droite qu'à gauche, ce qui est factuel
Pourquoi les récents changements dans le programme du @RNational_off, parfois vus comme des renoncements, ne changent pas les intentions de vote pour le parti ? ⬇️ #thread 1/11
Les électeurs RN sont globalement en rejet du système politique actuel et aussi des médias, ils suivent peu l'actualité telle que diffusée par eux
On le voit souvent leur niveau d'information sur certains sujets est généralement plus faible que dans les autres électorats 2/
Ce n'est pas spécialement un problème mais cela explique leur détachement quant à ces débats (et aussi qu'on puisse rencontrer des électeurs incapables de citer une mesure économique du programme du RN par exemple) 3/