Habitué à informer sur les sujets qu’il présente comme «sensibles», Amar ne dit rien sur son implication dans cette histoire.
Comme si son nom n’était pas cité dans la procédure.
« Secret de l’instruction » ?
Respect de l’identité de la « victime » ?
Pourquoi les médias jaunes du Makhzen, Le 360, Barlamane, ainsi que Atlasinfo, généralement offensifs et hargneux envers les soutiens d’Omar Radi, font preuve cette fois-ci d’une inhabituelle mansuétude à l’égard d’Amar ? Pas un seul mot déplacé.