1. L’ancien président français @NicolasSarkozy, vient de publier le premier tome de ses mémoires, «Le temps des tempêtes».
Aucune révélation ni profondeur politique ou philosophique.
Par contre, comme à chaque fois qu’il en a l’occasion, il ne tarit pas d’éloges sur le #Maroc. 👇
2. Ou plutôt sur #Marrakech.
Pour les Français, politiciens, journalistes, acteurs, chanteurs ou saltimbanques du monde du spectacle, de gauche et de droite, qui jouissent des largesses du régime marocain, le Maroc c’est Marrakech avec ses peccadilles et ses permissivités.
3. Lecture et commentaire.
«Nous avions décidé de partir 3 jours au Maroc avec Carla. Le temps était splendide. Nous étions tellement heureux de cette parenthèse enchantée à Marrakech», écrit-il.
Le temps est toujours splendide à Marrakech quand on ne doit régler aucune facture.
4. « Le roi m’avait téléphoné juste après mon divorce pour me dire de venir avec des proches… ».
Quelle chance !
Nous, quand le roi ou El Himma appellent, c’est pour ordonner hier au général Laânigri et aujourd’hui au commissaire Hammouchi et à Mansouri de nous faire la fête.
5. Un peu plus loin, c’est l’envolée lyrique. «Je me faisais une joie de revenir dans ce Maroc qui m’est si cher, et que j’aime tant. J’ai toujours ressenti cette proximité. Je pourrais sans doute y vivre».
Nous aussi, si on ne nous prive pas d’emploi et de liberté physique.
6. Quant à «la profondeur et l’ancienneté de la culture marocaine», Sarkozy la résume en une phrase :«Des dizaines de milliers de personnes se massaient sur notre passage. Les Marrackchis criaient, chantaient, applaudissaient, s’apostrophaient. Le bruit était ininterrompu ...»
7. Il est plus que probable que Sarko ne sait pas à quoi sert un mokadem, un fonctionnaire du ministère de l'intérieur, chef-rapporteur de quartier, dont l'un des rôles est d'obliger ses administrés à se masser dans la rue au passage des autorités pour «applaudir» et «chanter».
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
ألمانيا وسويسرا تمارسان ضغوطا على المنظمات غير الحكومية العربية المعنية بحقوق الإنسان التي تمولانها: إذا أدنتوا حماس وإذا نظرتم إلى مكان آخر بدلا من إدانة القصف الإسرائيلي الذي يدمر غزة، فسوف نستمر في تمويلكم.
2. ولكن إذا أدنتوا الفظائع التي يرتكبها الجيش الإسرائيلي المجرم في غزة، أو إذا أدانتوا الإبادة الجماعية الفلسطينية، أو إذا قاطعتوا إسرائيل، أو إذا أسميتها دولة أبارتايد، أو ببساطة إذا التزمتوا الصمت، فسوف نتوقف عن الحديث معكم عن التمويل.
3. باختصار، ألمانيا وسويسرا تطالبان العرب بشكل أو بآخر بدعم إسرائيل دون قيد أو شرط في جرائم الإبادة الجماعية التي ترتكبها، والإشادة بسياستها المتطرفة المتمثلة في استعمار الأراضي الفلسطينية.
«C’est la fin, rendez-vous !», lance le Premier ministre 🇮🇱 aux combattants du #Hamas.
Étonnant.
Pourquoi Netanyahu demande-t-il aux hommes du Hamas de se rendre s'il a juré de les tuer tous ?
2. Et pourquoi ce serait «la fin», si l'armée israélienne vient d'annoncer ce matin même qu'elle a besoin de plusieurs autres et longs mois pour venir à bout de la résistance du Hamas ?
3. Après la dernière et immorale comédie israélienne qui a exhibé devant sa presse de dangereux «terroristes du Hamas qui venaient de se rendre», alors qu'il s'agit, selon cette même presse israélienne, de civils palestiniens dénudés et inoffensifs, ...
Les fascistes et racistes de🇫🇷 sont en ébullition.
Il fallait juste ajouter que les « justifications » actuelles de ceux que tu appelles « des gens de raison (...) et de bien, ici en France en 2023 », en fait de la caca enveloppée dans du lin, viennent de loin.
2. Les deux guerres mondiales, le régime antisémite de Vichy, l'Holocauste, les deux bombes atomiques larguées sur des civils japonais et les guerres coloniales ne sont pas l'oeuvre des « terroristes » palestiniens.
C'est l'oeuvre de l'Occident, pas du monde arabo-musulman.
3. Il fallait aussi dire à ces ignares qui t'insultent sans même pouvoir maîtriser cette belle langue qu'est le français qu'il y a plein de « Zarabes » qui ont condamné TOUS les crimes contre des civils commis dans cette guerre, et ...
Pour que le premier journal espagnol «El País» arrive à titrer gravement et sans fioritures que «des chars et des avions israéliens attaquent des hôpitaux et une école dans le nord de la bande de Gaza», c'est que quelque chose ne va pas sur le terrain des combats.
2. A. L'armée israélienne piétine à Gaza.
Pendant que la presse israélienne nous parle de succès dans le contrôle de Gaza, elle ne montre ni cadavres des «centaines» de combattants palestiniens qu'Israël dit avoir abattus, ni par conséquent des vaincus agitant un drapeau blanc.
3. B. Par contre, le Hamas inonde les réseaux sociaux de vidéos montrant la destruction de dizaines de chars et de véhicules de transport de troupes israéliens.
Après avoir assassiné plus de 40 journalistes palestiniens, ainsi qu'une dizaines de membres de leurs familles, Israël a chargé ce «groupe de surveillance pro-israélien» (selon la définition que lui donne @TimesofIsrael) de s'en prendre aux photographes de Gaza.