Depuis hier et jusqu’à l’ouverture du procès des #AttentatsJanvier2015 vous pouvez lire sur @franceinter les portraits des 17 personnes tuées par les frères Kouachi et Amedy Coulibaly les 7, 8 et 9 janvier dans la rédaction de @Charlie_Hebdo_ , à #Montrouge et dans l’#Hypercacher
Le premier a avoir été tué par les frères Kouachi, ce 7 janvier 2015, n’avait rien à voir avec Charlie Hebdo. Agent de maintenance pour Sodexo, père de deux garçons de 10 et 13 ans, Frédéric Boisseau avait 42 ans. Son portrait est signé @RemiBrancato
> franceinter.fr/amp/justice/fr…
La deuxième victime de la folie meurtrière des frères Kouachi s’appelait Franck Brinsolaro. Ange gardien de Charb, ce passionné de Harley Davidson était chargé de protéger le dessinateur. Son portrait est signé @sophparm
> franceinter.fr/amp/justice/pr…
En entrant dans la rédaction de Charlie Hebdo, les frères Kouachi ont immédiatement visé Stéphane Charbonnier, alias Charb, pour qui ce journal était « l’accomplissement d’un rêve ». Ce 3e portrait de notre série est signé @sophparm et @thibaultlefevre
> franceinter.fr/justice/proces…
Elsa Cayat avait un rire « tonitruant ». Psychanalyste de 54 ans, elle écrivait « Charlie Divan » tous les 15 jours dans Charlie Hebdo. Éprise de liberté, elle a été la seule femme tuée par les frères Kouachi. Son portrait est le 4e de notre série.
> franceinter.fr/justice/proces…
Il s’appelait Bernard Maris. Vous retrouviez cet adepte d’une « autre économie » chaque semaine sur @franceinter
Chez Charlie Hebdo, c’est Oncle Bernard que les terroristes ont tué. Son portrait, le 5e de notre série, est signé @LaurentKramer
> franceinter.fr/justice/proces…
Philippe Honoré est né en 1941 à Vichy. Il a traversé les époques à la fois intemporel et moderne. Il était « le moins connu des dessinateurs de Charlie Hebdo » assassinés par les frères Kouachi. Et tellement plus que cela. Son portrait sur @franceinter
> franceinter.fr/proces-des-att…
Une âme de grand enfant, un air d’éternel adolescent et surtout un dessinateur de génie. Tel était Cabu, assassiné le 7 janvier 2015 dans l’attentat de Charlie Hebdo. Son portrait est signé @sophparm
> franceinter.fr/justice/proces…
L’art de croquer les femmes comme personne. Et un amour des falaises. Tel était le dessinateur George Wolinski. Son portrait et toute notre série dédiée aux victimes des attentats de janvier 2015 est à retrouver sur @franceinter
Il est signé @sophparm
> franceinter.fr/justice/proces…
Il avait choisi Tignous, « petite teigne » comme nom de dessinateur. Il était membre de la @PresseJu et captait comme personne les ambiances de salle d’audience. Ce 7 janvier 2015, Bernard Velhac est mort le feutre à la main. Son portrait à retrouver ici > franceinter.fr/justice/proces…
Il était la discrétion même. D’origine kabyle, le correcteur de Charlie Hebdo maîtrisait la langue française jusque dans ses moindres virgules. Mustapha Ourrad fait partie des victimes de ce 7 janvier 2015. Son portrait à retrouver ici > franceinter.fr/mustapha-ourra…
Il était passionné de voyages et de dessins. Michel Renaud, grand humaniste, était l'invité de Cabu ce 7 janvier 2015. Il est mort à ses côtés sous les balles des frères Kouachi.
Son portrait par @sophparm > franceinter.fr/justice/proces…
Devenir policier était son rêve d'enfant. Il aimait son métier et les PV impeccablement rédigés. Ahmed Merabet a été tué par les frères Kouachi dans leur fuite après l'attentat de Charlie Hebdo. Son portait, le 12e de notre série, est signé @sophparm > franceinter.fr/justice/proces…
Le 8 janvier 2015, Clarissa Jean-Philippe était heureuse : elle venait d'être titularisée comme policière municipale à Montrouge. En Martinique, ses proches pleurent la timide jeune femme de 26 ans, tuée par Amedy Coulibaly.
Son portrait par @sophparm > franceinter.fr/justice/claris…
Il avait 20 ans à peine et des projets plein la tête, à commencer par celui d'épouser sa petite amie. Yohan Cohen a été tué dans l'Hyper Cacher où il travaillait. Il est la plus jeune victime de ces attentats de janvier 2015. Son portrait à retrouver ici > franceinter.fr/justice/proces…
Il était un pilier pour ses proches, celui auquel famille et amis téléphonaient pour demander conseil. Philippe Braham a été tué lors de l'attentat de l'Hyper Cacher. Aujourd'hui sa veuve et ses quatre enfants perpétuent son souvenir. Son portrait ici > franceinter.fr/justice/proces…
Il aimait les grandes tablées entre amis, commençait tout juste à profiter d'une retraite qui le rendait très serein. Michel Saada, père de deux enfants a été tué dans l'Hyper Cacher. Son portrait à lire ici
> franceinter.fr/proces-des-att…
Yoav Hattab avait 21 ans. Ce 9 janvier, il a réussi à saisir une kalachnikov du terroriste de l'Hyper Cacher mais l'arme s'est enrayée et Amedy Coulibaly s'est retourné contre lui. Le dernier portrait de notre série consacrée aux victimes est à lire ici > franceinter.fr/justice/proces…
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Bonjour à tous,
En direct du tribunal judiciaire de Paris.
2e etage. Grande salle. Et pour cause.
L'audience qui s'ouvre aujourd'hui attire les foules des grands jours.
Début du procès dit des eurodéputés RN.
Viennent d'entrer dans la salle d'audience la présidente du Rassemblement national et principale prévenue de ce procès : Marine Le Pen.
Sont également arrivés Bruno Gollnisch, Nicolas Bay ou encore Julien Odoul ... autant d'anciens eurodéputés ou assistants parlementaires.
25 prévenus au total (ils sont 27 renvoyés mais ni Jean-Marie Le Pen, ni Jean-François Jalkh ne sont en état d'être jugés selon des expertises médicales), qui doivent répondre de détournement de fonds publics.
Bonjour à tous,
C'est rare, mais ça arrive : en direct d'une audience civile aujourd'hui. En l'occurrence l'assignation en référé des Républicains par Eric Ciotti pour contester son exclusion du parti et de la présidence de celui-ci.
Ca se passe au tribunal judiciaire de Paris.
11 heures. L'audience est ouverte. Et débute l'appel des parties. Juste une question de procédure ? Et non, car premier écueil : deux avocats se présentent comme représentants des Républicains.
L'un côté Eric Ciotti, l'autre côté Annie Genevard et François-Xavier Bellamy.
“Je ne peux pas recevoir une double constitution. C’est un problème et c’est à vous de trancher”, s'agace la présidente. Sauf que personne ne lâche. Car derrière cette question de robes, il y a tout l'enjeu de l'audience du jour : qui préside encore Les Républicains ?
Bonjour à tous,
Après une pause hier, le procès de la Grande mutation devant la 13e chambre correctionnelle de Paris reprend avec les dernières auditions de parties civiles. Puis viendront les interrogatoire des prévenus, à savoir six cadres de l'organisation sectaire.
Emmanuelle s'avance à la barre. Elle est l'aînée d'une des anciennes adeptes de la Grande mutation.
"Quatre enfants, enfance heureuse, une mère aimante".
C'est autour de 2005, que sa mère commence à fréquenter la Grande mutation, "emmenée par un rabatteur à Dijon".
"C'était un médecin qui était le rabatteur de la Grande mutation à Dijon. Il a été radié depuis, mais à l'époque il avait une vraie plaque de médecin", explique Emmanuelle à la barre. "Du coup, elle allait à Paris aux conférences et entretiens individuels".
Palais de justice de Paris, salle Diderot.
Au procès dit du #VioleurdeTinder l'heure est au réquisitoire de l'avocat général, Philippe Courroye.
Rappelons que Salim Berrada est jugé pour 17 viols et agressions sexuelles et encourt 20 ans de réclusion.
"Vous les avez vues, entendues. Vous avez entendu le récit des viols et des agressions sexuelles subies par ces 17 victimes. Vous avez vu ici, à cette barre, celles qui ont eu la force de venir raconter leurs souillures", entame l'avocat général dans son réquisitoire.
"Et lui, les a-t-il seulement vues, entendues ? La question se pose tellement, tout au long de cette audience est resté imperturpable, comme bunkérisé dans le béton de ses dénégations", poursuit l'avocat général.
Bonjour à tous,
De retour salle Diderot au palais de justice de Paris. Procès dit du #VioleurdeTinder
Dernier jour des débats aujourd'hui avant les plaidoiries et réquisitoire prévus demain.
Ce matin, la dernière partie civile s'exprime à la barre. Nous l'appellerons "Rania".
"Rania" raconte à son tour la prise de contact sur Tinder, le rendez-vous pour une séance photo. "J’avais apporté des vêtements dans un sac, on a commencé à discuter. Il m’a proposé un shot d’alcool, puis il m’a parlé des fêtes qu’il faisait, de la drogue … ça m’a paru étrange"
"Je me sentais totalement euphorique", se souvient Rania. Puis, alors que je regardais les photos qu'on venait de faire, il s'assied à côté de moi et m'embrasse. Je l'ai repoussé et lui ai dit :"je ne veux pas ça, tu ne m'attires pas". Mais il revient vers moi et dit "essaie".
Bonjour à tous,
Salle Diderot, palais de justice.
De retour au procès dit du #VioleurdeTinder : Salim Berrada comparaît devant la cour criminelle départementale pour les viols et agressions sexuelles de 17 femmes lors de séances photo à son domicile.
Celle que nous appellerons Charline est la neuvième victime dont les faits dénoncés sont examinés par la cour. Elle a aujourd'hui 26 ans et est comédienne, explique-t-elle.
"Je vous laisse la parole", déclare le président à "Charline"
Long silence de la jeune femme.
"Quand j’ai découvert le travail de monsieur Salim Berrada, j’étais mineure à l’époque. Mais j’étais déjà modèle. Je faisais principalement du portrait."