Le diabète de type 2 est un diabète dit "sucré", caractérisé par une trop grande consommation de sucre, et se manifestant généralement en avançant en âge. Appelé aussi "diabète de vieux"...
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Cette indication nous permet de mettre en lumière 2 gros biais : 1- Le sucre 2- L'âge.
On va commencer par l'âge. Vous connaissez beaucoup de vegans ou de végétariens de plus de 70 ans en France ? Non ? C'est normal.
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Tous ces régimes alternatifs au régime dominant (omnivore) sont très récents dans notre histoire. Il y a donc assez peu (voire pas du tout) de "vieux vegans", de vieux "pesco-végétariens" en France. D'ailleurs, même les vegans en sont conscients.
D'ailleurs pour se rendre compte de l'échantillon de population végan en France, la première phrase de la fédération vegane de France pour répondre à cette question est édifiante : federationvegane.fr/documentation/…
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"En 2010, lorsque la Fédération végane a été fondée, les populations véganes n’avaient pas encore été détectées dans les études INCA1 et 2."
C'est un mouvement récent, fatalement associé à une population jeune.
Ce même site indique : "Les personnes qui commencent à éliminer des produits d’origine animale de leur alimentation (pesco-végétariennes, végétariennes et véganes incluses) sont treize fois plus nombreuses, dépassant le million (1,8 %, soit environ 1 171 168)."
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C'est presque autant que les "+70 ans" en France. (1 million). Pour rappel, le diabète T2 est détecté à l'âge moyen de 65 ans et voit son incidence maximale entre 75 et 79 ans selon l'INSERM. inserm.fr/information-en…
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Alors bien sûr, l'étude nous explique qu'elle a fait des "correctifs" (qui s'apparentent à des règles de 3). Mais on voit mal comment faire apparaître une population significative d'octogénaires totalement absents d'un régime alimentaire (le végétalisme).
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Passons à l'autre biais : le sucre.
Vous vous souvenez du régime DUKAN ?
Il avait proposé un régime il y a une dizaine d'année. Ce régime, était notamment basé sur une alimentation "quasi exclusivement carnée" au début du régime, entraînant une perte de poids très rapide.
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Et pour cause : le surpoids est causé par l'accumulation de graisse, mais surtout de sucre transformé en graisse. Dans la viande, 0 sucre (et assez peu de gras, finalement).
Le lien avec le diabète de type 2 ? Aucun. Pas de sucre, pas de diabète de type 2.
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En clair : vous aurez beau supprimer la viande de votre alimentation, ça n'aura AUCUNE incidence sur le diabète de type 2. Alors d'où vient ce graphique ?
C'est le 3ème biais, le biais masqué (c'est pour ça que je n'en ai pas parlé au début) : Le biais de "cuisine"
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La malbouffe, les plats cuisinés, la bouffe toute prête. L'offre commerciale de ces plats est quasi exclusivement centrée sur un régime "omnivore". Tenir un régime végétalien sur la base de plats préparés s'avère très difficile en raison de la pauvreté de l'offre.
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Or, quelle est la caractéristique de ces plats préparés ? Il faut les conserver. Donc sel et sucre à gogo. Et s'agissant de la malbouffe, le diable se trouve souvent dans la sauce (très présente et très sucrée).
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Prenez en exemple le burger de la photo précédente. Peu importe qu'il soit avec de la viande ou non. Le problème, pour le diabète de type 2, c'est la sauce !
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Bref, en conclusion : si vous voulez limiter le risque de diabète de type 2, peu importe que vous soyez végan, végétarien, ou omnivore. La clé réside dans votre cuisine. CUI-SI-NEZ (et cessez de réchauffer). Et ne vous faites oas avoir par des pseudos études...
Bon app !
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Voici les plafonds d'accessibilité aux logements sociaux en France. Il n'y a aucune notion patrimoniale, comme on peut le noter. Je pense à titre perso que ça devrait être le cas.
C'est un "RFR" (revenu fiscal de référence), pas un revenu net.
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Pour le revenu net, il faut diviser par 0.90 (et tenir compte ainsi de l'abattement de 10% qui est pratiqué sur la déclaration de revenu). Je fais refaire le tableau, en limitant l'étude à "couple + 2 enfants"
C'est l'histoire d'un salarié, qui est commercial pour le compte d'une PME qui fabrique des fenêtres. Ce commercial travaille sur un secteur de plusieurs départements
Il organise ses tournées pour visiter ses clients 1/x
La tournée d'un commercial n'est jamais parfaitement maîtrisée. Il peut y avoir des RDV plus long, des urgences, etc. Le midi, il mange au restaurant parce que ça va plus vite. Une formule, un café, zou. Emballé c'est pesé, retour au boulot.
2/x
Les commerciaux ont leurs habitudes pour ce qui est des repas. Ils connaissent les restos, savent s'ils sont rapides, s'ils peuvent y aller "jusqu'à telle ou telle heure", ce n'est donc pas pifométrique.
Etape 1 : Faire financer le logement social par le logement privé. Quand un promoteur fait sortir X logements de terre, il doit en prévoir entre 25 et 30% en "logement social".
Ces logements commercialisés, parfois via des bailleurs sociaux, sont vendus à perte.
Le promoteur, qui doit quand même équilibrer ses comptes, doit donc rehausser le prix de ses autres logements pour compenser la perte sur les logements sociaux.
2/X
Les acheteurs du parc privé en promotion immobilière, hors logement social, surpaye dont assez nettement leur logement pour financer en réalité le parc social.
Tout ça serait relativement invisible si on parlait de 5% d'un programme neuf vendu à perte.
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Dans la série "la justice cherche l'indemnisation auprès du plus solvable même s'il n'a pas de responsabilité", laissez-moi vous conter l'histoire d'un fabricant de menuiserie condamné pour avoir... débité des profils.
A : l'industriel (moi)
B : L'artisan (mon client)
C : Le sous-traitant de pose (prestataire de B)
D : le client final.
Un jour, B vient me voir en me disant "Je voudrais faire une véranda pour D"
2/21
Nous ne fabriquons pas de véranda, et B le sait. Du coup, il me dit "Votre fournisseur a une gamme de profils de véranda que je connais. Je vous donne un tableau avec :
- La référence de chaque profil
- La longueur
- L'angle de chaque coupe
Vous aurez juste à débiter"
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Petit industriel campagnard, ces 10 dernières années, j'ai :
✅ Investi (beaucoup)
✅ Réduit de 35% ma consommation électrique (à iso production)
✅ Réduit de 15% ma consommation de gaz (déjà faible)
✅ Réduit significativement l'empreinte carbone de mes transports
✅Géré notre réserve foncière de manière à y favoriser la biodiversité
✅Réduit significativement notre consommation de film d'emballage.
✅Maintenu de l'emploi local en zone rural, dans lequel bon nombre de salariés viennent bosser à vélo ou à pied.
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En septembre, on améliore encore :
✅Reprise de palettes chez les clients. L'objectif est de les utiliser 3 fois au lieu d'1, et limiter la déchetterie.
✅Reprise d'accessoires de livraison (cales, sangles, etc.). L'objectif est de les utiliser 10 fois au lieu d'une.
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Je suis opposé au dividende salarié, @BrunoLeMaire
Pourquoi ? Parce qu'il trouve sa philosophie dans un mécanisme supposément séduisant, mais en réalité dangereux qu'est le "partage des 3 tiers". 1/3 pour les actionnaires, 1/3 pour l'entreprise, 1/3 pour les salariés.
D'abord, cette "règle" n'a rien d'une évidence. L'entreprise peut avoir de gros besoins à certains moments, et d'autres moins.
Considérer qu'on va distribuer systématiquement 2/3 du résultats, c'est faire preuve de méconnaissance des aléas économiques.
2/14
Ensuite, il me semble que l'Etat est un actionnaire plutôt très gourmant (c'est dans les entreprises détenues par l'Etat qu'on trouve les plus gros taux de distribution, au-delà du 1/3 du résultat).
Je me demande bien comment vous allez faire. Vous y avez pensé ?