On peut interpréter ces images dans un sens passéiste et décliniste (c'est sûr, c'était mieux et plus joli avant). Mais aussi, sans jugement, pour ce qu'elles montrent : ça a changé. Les commerces se sont enlaidis, ce qui est général, la ville aussi.
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On voit également que Barbès n'a pas toujours été un lieu à l'abandon. Et que l'actuelle gentrification ne se traduit pas, ici, pas une amélioration des commerces, qui se sont au contraire fortement paupérisés par rapport au temps où c'était un vrai "quartier populaire".
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Ces images suggèrent aussi que les commerces du côté est (numéros impairs) et nord du boulevard se sont moins dégradés que ceux du côté pair, longeant la Goutte d'Or et Château-Rouge.
Comme toute image et toute comparaison, elles ne prouvent rien. Mais elles disent des trucs.
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On sait que les affichages supposés de gauche ne sont jamais sanctionnés ni retirés. Les collages dits féministes bénéficient de la protection la mairie.
Un pas de plus vient d'être franchi avec la "grâce" accordée par la Souveraine à LREM : "Je leur fais cadeau des amendes"...
L'extrait vient d'un article de Valeurs actuelles, qui n'est pas, personnellement, ma tasse de thé. Mais c'est le seul média, à ma connaissance, qui ait relevé cette déclaration, scandaleuse à tous points de vue, de la maire de Paris.