Ce tableau est par ailleurs extrêmement peu précis sur les intitulés des clusters: quel rapport entre un abattoir, un commissariat de police, un open-space et un restaurant ? Ils sont pourtant tous classés dans "entreprises". Et il manque une donnée essentielle: le nombre de cas.
Voilà un tableau un peu mieux foutu, celui de l'ARS Ile-de-France sur les cas scolaires et universitaires. On voit qu'il y a beaucoup plus de clusters (80%) dans les écoles mais qu'il y a davantage de cas dans les universités (54%). Le genre d'informations dont on aurait besoin.
La chasse aux clusters passe à côté d'un nombre considérable de foyers épidémiques et les données sont publiées en dépit du bon sens, rendant difficile une interprétation de ces chiffres. On ne peut en aucun cas dire "60% des contaminations ont lieu..."
Il est quelque peu paradoxal de voir l'ensemble de la gauche railler les petits écogestes du gouvernement.
Que ce soit la doudoune ou le sèche-linge, ce sont des recommandations de Negawatt, l'assoc dont les projections énergétiques sont à la base du programme de la NUPES.
Pas plus tard qu'hier, Negawatt publiait un rapport très intéressant sur les mesures de sobriété à prendre immédiatement pour réduire d’au moins 10 % nos consommations d’énergie d'ici deux ans.
L'ambassade de Chine a remercié hier Jean-Luc Mélenchon pour "son soutien constant à la politique d'une seule Chine".
Et de fait, le leader insoumis a été constant dans ses prises de position sur Taïwan.
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En 2017 dans son vlog YouTube.
"Quand Trump passe un coup de fil à la présidente de Taiwan, il sait qu’il fait une provocation énorme, j’sais pas moi, c’est comme si Trump avait téléphoné directement à Madame Le Pen pour lui demander ce qu’elle pense de la situation en France...
... Tout le monde aurait dit mais qu’est-ce que c’est que cette histoire, pourquoi il appelle cette femme qui n’est pas présidente de notre pays. Vous comprenez ?"
Ce matin, des millions d'Allemands ont acheté leur troisième (et dernier) ticket mensuel à 9 euros, leur permettant de voyager de manière illimitée pendant tout le mois d'août sur les trains régionaux, les métros, les bus et les trams.
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Ce ticket à 9 euros avait été lancé en juin dans le cadre d'un plan anti-inflation - qui comprenait également, comme en France, une remise sur le carburant.
Une mesure d'urgence limitée à 3 mois. Et un succès éclatant : 31 millions d'Allemands détiennent le fameux ticket.
La réussite du dispositif pose immanquablement une question : faut-il prolonger l'opération?
Après cette douce parenthèse estivale - des trains presque gratuits, quoique bondés - il paraît difficile d'imaginer un retour à la normale (nettement plus onéreuse) au 1er septembre.
La journaliste russe indépendante Farida Rustamova, qui avait décrit la stupeur et le doute des élites russes au début de la guerre, raconte maintenant comment Poutine a réussi à ressouder ces mêmes élites autour de lui.
"Au début, nous perdions la guerre de l'information", déclare une source haut placée au sein d'un gouvernement régional. "Les gens avaient des sentiments négatifs à propos de la guerre. Il y avait une nette division 50/50 dans la société."
"Mais ensuite, tous les médias d'État se sont unis et ont commencé à publier des contenus appropriés. Et puis, quand les Occidentaux ont commencé à dire que tous les Russes étaient mauvais, à boycotter les artistes et les athlètes, tout a changé."
Les sites du Kremlin, du ministère de la Défense russe et de Roskomnadzor, le régulateur des télécoms, ne sont actuellement plus accessibles.
Plusieurs comptes Anonymous avaient annoncé des attaques contre les sites du gouvernement russe.
L'agence ukrainienne des télécommunications a également annoncé que des chaînes de télévision russes auraient été piratées pour diffuser des chansons ukrainiennes.