Contamination du Covid19, l’AEROSOL n'est pas un mode de transmission probable.
Malgré la désinformation répandu, certainement dans le but de légitimer le port du masque en extérieur, le mode de transmission du Sarscov2 semble être classique des maladies virales respiratoires.
En effet plusieurs études sont venues corroborer cela notamment une étude 🇸🇪 publiée fin septembre : sur 2 chanteurs Covid19 fortement positifs en RT-PCR (CT 22 et 25) ayant chanté dans un tunnel dont l’air a été prélevé et analysé, aucune particule virale n’a pu être recueillie
Rappel: Les Suédois n'ont pas de port de masque obligatoire
De même, COMETE, l’unité spécialisée COVID19 des Marins Pompiers de Marseille (BMPM) n'a jamais retrouvé de virus dans les multiples prélèvements atmosphériques effectués. infodujour.fr/societe/41090-…
Stéphane Odasso PhD, ingénieur en physique des matériaux, nous avez expliqué qu'avec un calcul mathématique (volume/diamètre d’une sphère) de niveau Lycée, on arrive à estimer, la charge virale dans une particule de 0.75 micron de diamètre.
En effet une etude scientifique 🇺🇸 a montré que la taille de ces particules produites par la parole est majoritairement autour de 0.75 micron et restent suspendues dans l’air pendant plusieurs heures nature.com/articles/s4159…
La charge virale dans un millilitre de salive : a été évaluée en moyenne entre 9.92 x 104 à 3.3 x 106 copies/ml
Dans une grosse gouttelette de 100 microns on a 1,7 copie d’ARN.
Les aérosols de microparticules de 0,75 µ contiendraient 7,29 x 10-7 copies.
En théorie, il faudrait alors inhaler en continu 1 371 000 particules pour avoir une chance de rencontrer le premier “virus”.
Ceci étant clairement en défaveur d'une possible contamination aérosolisée
Contamination, si elle existait, aurait déjà fait des ravages dans les milieux confinés comme les transports aériens!
Or là aussi, seul 44 cas COVID-19 ont été attribués au vol aérien depuis début 2020 sur presque 1,2 milliard de passagers
Extrêmement faible!
Surtout qu’une étude menée par United et le DOD via le US Transportation Command (TRANSCOM) sur la fréquence des contaminations dans les avions dans les espaces confinés, conclut à un risque extrêmement improbable!
La dose de 2,4g sur 24h de Recovery est bien un surdosage et non une dose de charge.
Le vidal est clair sur le sujet, un adulte de 70kg atteint le surdosage a 1,75g dans son organisme.
L' Hcq a une biodisponibilité élevé de 80% (taux disponible du médicament) atteinte en 3h
Sa demi vie est à 40 jours en moyenne
Sur une dose de 2,4g en 24h la biodisponibilité du médicament sera de 1,92g bien au dessus du seuil de surdosage...
1,92g le 1er jour
2,56g le 2eme jour
3,2g le 3eme jour
4,48g le 5eme jour
7g le 9eme jour
La faible toxicité cardiaque de l'HCQ semble ne pas être responsable de mortalité dans les premiers jours
🇫🇷 Comment un Interne qui n'est ni médecin ni infectiologue et qui prépare une thèse en épidémiologie (une discipline scientifique qui étudie les ennuis de santé, leur fréquence, leur distribution, SANS voir et soigner AUCUN PATIENT)
A pu s’attaquer a un Pr de renommé mondiale?
Thèse en santé publique dirigé par François Xavier Lescure qui lui permettra d’être épidémiologiste.