Voilà pourquoi nous ne laisserons jamais nos terres aux Azeris!

« L'image du 12 ème étage de ma maison à Bakou, en Azerbajian m'a hanté toute ma vie d'enfant et d'adulte. J'ai regardé depuis notre balcon, alors que des dizaines de milliers d'Azerbaïdjanais se rassembler 1/12
ds le boulevard,chantant pour nettoyer la ville des Arméniens. La peur absolue,ma mère m'a agrippée au balcon,éteignant les lumières.Les meurtres ethniques d'Arméniens ont commencé le 27février 1988, dans la ville de Sumgait,à seulement 18miles de la capitale où nous vivions.2/12
Après le rassemblement, les hommes ont reçu des listes, des adresses des quartiers arméniens, des maisons et des lieux de travail. Immédiatement ma famille s'est cachée. Personne n'a été épargné, anarchie complète. Des milliers d'Arméniens ont été brutalement torturés, 3/12
sodomisés, brûlés vifs... Les femmes enceintes et les bébés, les filles, les femmes et même les grands-mères ont été violés par un gang alors que nos frères, pères, maris ont été forcés de regarder. Les femmes ont été forcées à danser dans les rues nues, 4/12
puis trempées dans de l'essence et ont mis le feu vivant. Des bébés défoncés contre les trottoirs. (Pardonnez-moi de partager les détails... Je vis avec ces souvenirs) Mes proches, poignardés, battus, torturés, violés, expulsés de l'immeuble vivant et leurs corps mutilés. 5/12
Plus de 300,000 300,000 Arméniens purgés pendant la nuit de chez eux, attrapent ce qu'ils peuvent transporter en fuite pour la sécurité. C ' est ainsi que ma famille est devenue réfugiée, c'est ce à quoi nous avons miraculeusement survécu. 6/12
Voilà l'horreur qui se répète dans mon esprit. Nous fonctionnons, continuons, reconstruisons la vie du mieux que nous pouvons, avec le stress post-traumatique - le génocide n'est pas quelque chose que le psychisme humain peut simplement ′′ gérer." 7/12
Lorsque des réfugiés sont amenés dans une communauté adoptive, nous sommes rapidement plongés dans l'emploi, les écoles publiques et nous sommes censés ′′ assimiler." Imaginez vivre avec ce traumatisme aggravé. 8/12
Le stress de reconstruire sa vie dans un nouveau pays sans ressources pour aider à guérir de survivre à une guerre horrible, massacre, torture, violent, perte de membres de la famille... juste quelques heures d'orientation, un travail et la pression pour assimiler rapidement.9/12
Cette année marque le 30 e anniversaire des meurtres ethniques à Bakou. Aujourd'hui, je me souviens de mes proches et des milliers de personnes tuées, et je m'engage à continuer de lutter pour la justice en leur honneur. » 10/12
Source: Un survivant de ce massacre! Pour des raisons de sécurité je ne mettrais pas le nom de cette personne car nous savons tous à quelle point c’est dangereux une fois ses information entres les mains des azeris et turcs. 11/12
Si vous avez lu tout ceci,vous comprendrez peut-être enfin l’enjeux du combat que mènent aujourd’hui les Arméniens pour l’Artsakh! Nous sommes en guerre pour notre existence, notre droit à la vie, notre droit d’exister tout simplement!Et nous gagnerons🇦🇲🙏 #RecognizeArtsakh

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31 Oct
This is why we will never leave our lands to the Azeris!

“The image of the 12th floor of my house in Baku, Azerbajian haunted me all my life as a child and as an adult. I watched from our balcony as tens of thousands of Azerbaijanis gathered 1/12
in the boulevard, singing to clean the city from the Armenians. Absolute fear, my mother grabbed me on the balcony, turning off the lights. The ethnic killings of Armenians began on February 27, 1988, in the town of Sumgait, just 18 miles from the capital where we lived. 2/12
After the rally, the men were given lists, addresses of Armenian neighborhoods, houses and places of work. Immediately my family went into hiding. No one was spared, complete anarchy. Thousands of Armenians have been brutally tortured, 3/12
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