Thread sur les #Vaccins : si l’on s’intéresse aux dernières études publiées on a :
- Pfizer
- Astra Zeneca
Commençons par #Pfizer : 1) patients à risques (âgés) sous-représentés, bien que l’effet soit significatif dans tous les sous-groupes
Or, les sujets âgés sont les plus à risque de par la sénescence du système immunitaire. A ce propos, leur réponse est inférieure que celle des sujets jeunes
2) les formes graves sont également trop peu nombreuses pour conclure à un effet du vaccin sur celles-ci. En lien avec le 1).
Si on diminue les symptomatiques, alors on diminue le nombre de cas graves...le vaccin diminue-t il le risque de faire une forme grave chez le symptomatique malgré le vaccin ?
Du coup la problématique de vaccination chez les plus âgés (non présents dans l’étude) pour prévenir chez eux les formes graves (sans réponse dessus) prend tout son sens
3) Aucune donnée sur la réduction de contagiosité ou non
4) 3 effets secondaires sévères dans le groupe vacciné
5) En outre, il y a un signal d’alarme émis par le NHS (Ministère de la Santé Britannique) sur l’allergie à ce vaccin ft.com/content/239c76…
Passons à #AstraZeneca publié dans le #Lancet à présent : 1) une intrigue a lieu concernant son efficacité (il va falloir suivre)
La majorité des patients (4440) ont reçu deux doses complètes du vaccin -> efficacité de 62%
Cependant, un sous-groupe plus petit a reçu une demi-dose suivie d’une dose complète -> taux d’efficacité de 90% 🧐
L’analyse globale conclut à une efficacité de 70,4%
Un peu plus de 2700 personnes ont reçu cette dose et aucune n’avait plus de 55 ans....
Ce sous-groupe n’est donc absolument pas représentatif d’un point de vue statistique
2) DEBUNK: beaucoup se sont exclamés à une suppression de la contamination chez #AstraZeneca ..... or,
Et surtout : le schéma avec 2 doses standards n’est effectif qu’à 3,8% contre la transmission asymptomatique (principal problème épidémiologique)
Enquête sur « Big Pharma » sur @ARTEfr . Cela a un écho dans l’actualité plus que troublant
Cela remet en cause principalement le concept de risque une notion qui scientifiquement peut être grossièrement vulgarisée à un chiffre « 5% ». 5% étant en général le risque acceptable pour accepter une hypothèse non nulle comme la présence de tel ou tel effet indésirable
5% mais ne serait ce pas 5% de trop ? Notamment sur des effets indésirables graves ? La morale fait donc ingérence dans la science. Cependant, pour les labos, 5% de risques dans divers procès comparés aux profits possibles, « la question est vite répondue »