THREAD - Les candidats Mandchous et la programmation DELTA
Partie 1 : Le contexte
Partie 1 : Le contexte
[Petit aparté avant de commencer : le sujet du thread sera axé sur la programmation DELTA, je vais donc volontairement laisser de côté énormément d'infos concernant le MkUltra pour me concentrer uniquement sur cet aspect.]
Voilà comment tout cela semble avoir "commencé". À la fin de la 2nde guerre mondiale, Allen Dulles (CIA) et d’autres personnes (dont les Rockefeller) se trouvaient en Suisse afin de prendre contact avec des scientifiques nazis.
Ils n’ont pas seulement été chercher des scientifiques capables de fabriquer des fusées, mais également des médecins nazis ayant fait des recherches sur la programmation mentale dans les camps de concentration.
L'un d'entre eux était le Dr. Mengele, un médecin SS travaillant dans les camps de concentration, surtout connu pour avoir fait des expériences macabres sur les détenus, dont des enfants, par lesquels Mengele était appelé «l’Ange de la Mort».
Mengele et environ 5000 autres haut dignitaires nazis ont donc été envoyés en secret aux USA ainsi qu'en Amérique du Sud à la fin de la 2nde guerre mondiale lors de l'opération "PAPERCLIP".
Le projet Bluebird est mis en place par la CIA en 1949, devenu le projet Artichoke en 1951 avant de devenir, en 1963, le projet MKUltra, dirigé par le Dr Sidney Gottlieb.
Le projet Spellbinder avait pour but de créer un tueur en sommeil, un candidat mandchou chargé d'assassinat.
Le projet Spellbinder avait pour but de créer un tueur en sommeil, un candidat mandchou chargé d'assassinat.
Le but de ces programmes était de créer une armée de candidats mandchous qui s'engageront dans la prostitution, la pornographie avec des enfants, le trafic de drogue, le trafic d'armes international, et d'autres entreprises lucratives illégales.
Le programme incluait le développement de méthodes de manipulation du comportement humain (électrochocs...), la génération d'un Désordre de Personnalité Multiple (MPD), l'administration de drogues, de l'hypnose, des abus sexuels, de la privation sensorielle...
Le Dr. D.C. Hammond explique cela, le 25 juin 1992, dans une conférence donnée au Radisson Plaza Hotel Mark Center à Alexandria en Virginie (USA).
En utilisant l'effet "idéomoteur" (réponses musculaires involontaires) pour obtenir des réponses sous hypnose, Hammond et ses collègues découvrirent des séries de "programmes" qui étaient installés chez les victimes.
Plusieurs couches distinctes de programmation ont été trouvées, chacune avec un dessein différent, par exemple des programmes sexuels, suicidaires (autodestructeurs), rituels et de "meurtre psychique", ainsi que des codes intégrés de verrouillage.
Les victimes étaient aussi programmées avec des pièges (appelés "bombe verte"), de façon à ce qu'elles deviennent folles si jamais elles commençaient à se ressaisir.
"J’ai vu cela chez des gens ayant atteint la quarantaine, et aussi chez des gens dont les parents étaient très, très haut placés dans la CIA, et d’autres choses de ce genre. J’en ai eu certains qui ont fait partie, à l’origine, du projet Monarch."
"Quand on va au-delà des alter ego, on arrive à la programmation sous les lettres grecques : Alpha, Béta, Delta, Thêta... et il y a les programmes de backup. Il y a en général un code d’effacement de ces programmes : un code qui efface tout simplement tous les backups."
DELTA est la programmation des "tueurs", initialement développés pour la formation des agents spéciaux ou des soldats d’élite dans des opérations secrètes. Une production surrénales optimisée et un développement du contrôle de la violence et de l’agression est mise en place.
Les sujets sont alors totalement dépourvues de peur. Un facteur obligatoire pour l’accomplissement de leur mission. Une programmation d’autodestruction et des instructions de suicide volontaire est instauré à ce stade.
Ces encodages, qui peuvent être assimilés à un logiciel, sont déclenchés par un ensemble de repères connus seulement de ceux qui les fabriquent. Cela peut être un mot clé ou une expression alors qu’ils se trouvent dans un état de post-transe hypnotique.
Une scène du film "Un espion de trop", sorti en 1977, illustre parfaitement le fonctionnement de ces déclenchements via un simple coup de téléphone par lequel une certaine phrase est dictée.
Pour l'anecdote, nous retrouvons exactement la même phrase de déclenchement dans le film "Death Proof" de Quentin Tarantino, mais ici utilisée pour un esclave Bêta et non Delta. (merci @mk_polis pour la vidéo 😁)
Un document de la CIA des années 1950 décrit une expérience réussie dans laquelle une femme hypnotisée était poussée à tirer avec un pistolet non chargé sur un collègue (pistolet qu'elle croyait chargé) et avec une complète amnésie de l'événement.
George Estabrooks, était un expert en hypnose qui travailla avec le renseignement militaire pendant la 2nde guerre mondiale. Il se vanta de "pouvoir hypnotiser un homme, sans qu'il le sache ou sans son consentement, pour commettre un acte de trahison envers les USA."
L'un des premiers cas documentés d’un agent secret Delta fût celui de l’ancienne mannequin, Candy Jones. L’ouvrage "Le contrôle de Candy Jones" dépeint ses douze années d’intrigues comme espionne de la CIA.
John Marks, auteur du livre " À la recherche du candidat Mandchou" explique :
"Le plan de l’agence était d’hypnotiser une personne pour le programmer à commettre une tentative d’assassinat. Ensuite elle était arrêté au moins pour tentative de meurtre puis on s’en débarrasse."
"Le plan de l’agence était d’hypnotiser une personne pour le programmer à commettre une tentative d’assassinat. Ensuite elle était arrêté au moins pour tentative de meurtre puis on s’en débarrasse."
Il explique également "qu'un représentant de la CIA l'avait informé de la poursuite du MK Ultra après 1962 mais de manière encore plus discrète."
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