[Thread] Il n’y a pas que le Covid-19 qui inquiète les scientifiques au Brésil. Certains affirment que l'apparition d'un nouveau virus en Amazonie est imminente. Le poumon de la planète pourrait devenir le prochain épicentre d'une nouvelle pandémie.
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Les scientifiques traquent donc les nouveaux virus qui sont "enfermés dans la forêt depuis des milliers d’années”. Le but est d’anticiper l’apparition d’un virus dangereux pour les humains.
Mais la pandémie actuelle a stoppé les recherches dans la forêt. Le travail se poursuit au Centro de triagem de animais silvestres (Cetas) de Manaus, le centre de dépistage des animaux sauvages.
On y recueille, protège et examine les animaux victimes de la chasse ou capturés.
Selon l'OMS, plus de 70% des maladies émergentes chez l'homme viennent en particulier des animaux sauvages. Cette instance de l'ONU réclame aujourd'hui l'interdiction mondiale de la vente d'animaux sauvages sur les marchés.
La manipulation des bêtes sauvages, ou de leur sang avant d'être consommés, multiplient les possibilités de maladies infectieuses dites "zoonotiques".
La déforestation accélère aussi l'émergence de virus inconnus. Le mois dernier au Brésil, une surface supérieure à trois fois celle de Paris a été déboisée. À cette vitesse, la menace de voir éclore un nouveau virus ici, est bien réelle.
Pour le biologiste, c’est en Amazonie qu’il y a plus grand risque de voir surgir un nouveau virus.
L'agriculture intensive, l'élevage industriel et l'orpaillage sont les principales causes de la déforestation au Brésil.
Fonds Mariane : "Associé le nom de Samuel Paty, qui est un martyr de la République […] avec des soupçons de détournements de fonds, c'est extrêmement choquant", déclare Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président du parti Les Républicains
Une conférence de presse sur l'attaque au couteau à Annecy annulée parce que le suspect est chrétien ?
"C'est totalement faux. J'ai fait un point presse à l'Assemblée nationale", répond Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président du parti Les Républicains
Augmentation des fonctionnaires : "Quand on est dans un contexte d'explosion des prix, une augmentation du point d'indice de 1,5% et quelques primes, ça se traduit par une baisse concrète de la rémunération réelle", souligne Manuel Bompard qui propose une indexation automatique.
Rejet de la motion de censure : "La contestation contre la réforme des retraites ne s'arrêtera jamais, assure Manuel Bompard. Aucun article de la Constitution ne permet à une présidente de commission de refuser aux députés le fait de déposer des sous-amendements".
Le simulateur retraite pris d’assaut après la mise à jour due à la réforme : "On est sur des volumes qui sont entre huit fois à dix fois le trafic habituel", relate Stéphane Bonnet, directeur du GIP qui gère le site. "L’excédent de connexions fait l’objet d’une file d’attente."
"Il faut juste avoir un trimestre de cotisations" pour accéder au simulateur, explique Stéphane Bonnet. "Un module projette sur vos derniers salaires" ou il y a une possibilité de personnaliser.
"Je ne peux qu’inviter l’utilisateur à vérifier sa carrière", indique Stéphane Bonnet. "Les régimes de retraites ont peu ou pas connaissance des enfants. Ça a un impact considérable sur l’âge de départ" pour les femmes, donne-t-il en exemple.
🔴DIRECT - 🗣️"Madame la Première ministre, c'est vous qui devez rendre des comptes à l'Assemblée nationale, et pas le contraire."
Valérie Rabault, députée PS, s'exprime dans l'hémicycle, alors que commence la discussion sur la motion de censure déposée par la NUPES.
🗣️"Censurer le gouvernement est un acte grave, mais laisser perdurer le discrédit sur notre Assemblée, par le gouvernement, marquerait un renoncement de notre part, plus grave encore."
La députée socialiste Valérie Rabault conclut son intervention.
🗣️"La Constitution n'est pas à géométrie variable."
La Première ministre prend la parole sous les huées de l'opposition et les applaudissements de la majorité, alors que les députés doivent se prononcer sur une nouvelle motion de censure.
🔴 DIRECT - Ukraine : le président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée, Jean-Louis Bourlanges, et l'ancien officier Guillaume Ancel sont les invités du #8h30franceinfo
Contre offensive ukrainienne : "Les Ukrainiens ont choisi une date symbolique", le 6 juin, note Guillaume Ancel, ancien officier de l'armée française et écrivain. "Une ambition extraordinaire avec un fusil à deux coups."
Contre offensive ukrainienne : "Ils ont des pertes. C'est très difficile de l'admettre", parce que "quand on fait la guerre, on accepte de faire tuer des jeunes gens", souligne Guillaume Ancel. "Pour l'instant, ils cognent contre le mur comme on cogne sur une vitre blindée."