Thread by @GregoirePerra

Le saviez-vous ? Selon l'anthroposophie, les courants d'air provoqués par les battements d'ailes des hirondelles permettent aux Sylphes d'entendre la musique du cosmos et recevoir ainsi leur individualité de manière externe, car ils n'ont pas de moi en eux.😱😖

R. Steiner
#Secte

"Les Sylphes vivent dans la chaleur aérienne et se pressent vers la lumière. Au printemps ou en automne, vous voyez parfois un troupeau d'hirondelles, qui produisent en volant des vibrations dans l'air, créant ainsi un courant d'air (et cela vaut pour tout oiseau). 👇

...Or ce courant d'air est pour les Sylphes quelque chose d'audible. La musique cosmique résonne à travers lui jusqu'aux Sylphes. Alors, son "moi" s'y enflamme, de l'extérieur. Le Sylphe devient ainsi le porteur de l'amour cosmique à travers l'atmosphère. 👇

...C'est parce que le Sylphe incarne quelque chose comme un désir humain, sans avoir cependant son moi en lui-même, mais dans le royaume des oiseaux, qu'il est le porteur de vœux d'amour à travers l'univers."

Rudolf Steiner

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Rudolf Steiner, MAN AS SYMPHONY OF THE CREATIVE WORD (Rudolf Steiner Press, 1970), lecture 9, GA 230.