Les dernières annonces du président de la République génèrent une inquiétude légitime. (fil à dérouler 👇)
Personnellement, je suis vacciné, et je soutiens la vaccination des adultes pour éviter la multiplication des variants du virus.
Cependant, les mesures annoncées me paraissent gravement disproportionnées au regard des privations de libertés qu’elles impliquent, du degré de gravité de la situation sanitaire et de l’efficacité incertaine du seul vaccin.
De plus, ces annonces, brutales, peuvent menacer la paix civile, car elles font suite à des propos erronés ou des promesses non tenues qui ont fragilisé la parole gouvernementale et elles s’inscrivent dans un contexte de clivages profonds au sein de la société française.
Pour accepter une obligation de fait de la vaccination, il faudrait au moins que la situation sanitaire soit plus grave et menace véritablement l’ensemble de la population,
que nous ayons la preuve que tous les autres moyens aient échoué et que le consensus politique se soit manifesté par un référendum ou un véritable débat parlementaire.
En l'état, les annonces du président de la République font davantage pensé à une décision impulsive ou à un calcul électoral qu'à un véritable souci du bien commun.
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#HGGSP Une illustration des liens entre connaissance, gestion de l’environnement, conquête des espaces marins et politique de puissance. L'atoll d'Okinotori est un territoire japonais situé à 1700 kilomètres au sud de Tokyo et menacé par l'élévation des océans. (mini-fil)👇👇👇
Afin d'y revendiquer une ZEE (et les ressources minières qui vont avec), le gouvernement japonais veut protéger son statut d'île, c’est-à-dire, d’après l’art.121 de la Convention de Montego Bay, un espace qui se prête à l'habitation humaine ou à une vie économique propre.
Pour ce faire, des empierrements ont été réalisés et un ambitieux programme scientifique de réimplantation des coraux a été mis en place. Cette situation est source de tensions avec la Chine car cette dernière redoute la création d'un avant-poste militaire japonais.