De pire en pire: Voici un résumé des principaux points de cette première évaluation complète de la science climatique depuis 2014, réalisée par plus de 230 scientifiques de 66 nationalités en se basant sur 14.000 études publiées #AFP 1/8 
Dans tous les scénarios envisagés - du plus optimiste ou plus pessimiste - la température mondiale devrait atteindre +1,5°C ou +1,6°C par rapport à l'ère pré-industrielle autour de 2030. Soit dix ans plus tôt que la précédente estimation du Giec il y a trois ans #AFP 2/8
Le niveau des océans a augmenté d'environ 20 cm depuis 1900, et le rythme de cette hausse a triplé ces dix dernières années sous l'influence grandissante de la fonte des calottes glaciaires #AFP 3/8
Depuis 1960, les forêts, sols et océans ont absorbé 56% du CO2 émis dans l'atmosphère par les activités humaines. Sans cette aide de la nature, la planète serait déjà beaucoup plus chaude. Mais ces puits de carbone montrent des signes de saturation #AFP 4/8
Le niveau des océans a augmenté d'environ 20 cm depuis 1900, et le rythme de cette hausse a triplé ces dix dernières années. Même si le réchauffement est limité à +2°C, les océans pourraient gagner environ 50 cm au XXIe siècle #AFP 5/8
Le Giec n'avait jamais autant parlé du méthane: Les concentrations de CH4 dans l'atmosphère - auxquelles contribuent l'agriculture et les fuites venues de la production de gaz, les mines, le traitement des déchets - sont à leur plus haut depuis 800.000 ans #AFP 6/8
La circulation méridienne de retournement atlantique (AMOC), des courants océaniques entre tropiques et l'hémisphère nord, se ralentit. Le Giec estime même que l'AMOC peut s'arrêter, ce qui entrainerait des hivers durs en Europe et une perturbation des moussons au Sud #AFP 7/8
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