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5 Sep, 68 tweets, 11 min read
Hier soir, j'ai rencontré une femme en ligne.
Rousse, pale, une sorte d'irlandaise affamée, maline et drole, la discussion a durée des heures, sur tous les sujets, de son métier d'agronome au plaisir qu'elle prenait avec son conjoins au lit.
Elle avait envie d'une pause, qu'un autre homme la regarde avec envie, passion. Qu'elle se sente dominée, presque avilie, secoué, avec respect mais sans aucun ménagement. Aussi étrange que cela puisse paraitre, elle souhaitait "tout ça", mais sans tromper personne.
Alors je lui ai proposé une solution intermédiaire :
La rejoindre chez elle, et diriger ses gestes et son envie.
Elle a accepté immédiatement après que j'image un peu la situation, elle était partante, et visiblement trempée.
Quelques heures plus tard, dans la nuit noire, j'étais chez elle.
Nos discussion sur tout est rien ont repris, jusqu'au moment ou son simple tshirt laissant entrevoir une poitrine généreuse a eu raison de mon envie.
Alors, j'ai encore détaillé mon imagination la concernant.
Plus je parlais, puis je senti l'envie maladive monter en elle.
Elle avait les bras croisés devant moi, qui faisait ressortir sa poitrine lourde et généreuse.
Et plus je détaillais ce qu'elle m'inspirait, plus ses doigts, au départ immobile, se mouvaient sur sa peau blanche et ses taches de rousseurs.
Je voyais dans son regard, son sourire, que l'envie montait.
Alors, j'ai arrêté de parler au conditionnel. Toujours assis sur le tabouret de bar de sa cuisine, mes mots se sont fait plus directifs et crus.
Je pense avoir discerné une décharge de désir parcourant ses reins et son dos.
Elle était sexy sans tout faire pour l'être. Ses yeux se fermant lentement par intermittence confirmaient l'impression que j'avais.
Elle a fini par retirer, sous mes ordres, son tshirt trop grand, dévoilant sa poitrine, toujours enfermée dans un soutiens gorge ruinant ma vue. Rapidement, je lui dirais de l'enlever, lentement.
Elle observait mon bassin, elle voyait monter ma queue au travers du tissus. Elle osait a peine regarder, mais elle devenait ivre de cette envie qui se propageait en elle. Elle venait de découvrir a quel point c'est agréable de se montrer nue devant un homme.
Je lui ai demandé de toucher sa peau, son cou, son buste, ses seins, avec ses mains, comme elle aimerait que je le fasse également.
Je bandais totalement, j'étais trempé dans mon boxer depuis plus de 30 minutes.
Je lui ai dis, et j'ai fini ma phrase par "Sers tes seins dans tes mains... pince doucement tes tétons". Son soupire et son sourire en disait déjà trop : elle adorait que j'ai cet autorité sur son désir et ses gestes.
C'était la première fois qu'elle faisait ça, ses gestes maladroits et timides renforçaient a chaque seconde mon envie d'elle.
Voir ses mains sur son cou me donnait envie de le serrer en glissant mon gland trempé dans sa bouche. Cependant, ça devait rester un fantasme :
Elle avait été claire, elle voulait jouir, mais sans que je la touche. C'était la seule règle, frustrante. Et terriblement bandante. Je la ferais jouir, plusieurs fois, en l'observant, en lui parlant, en me branlant devant elle.
L'envie de l'attraper par les cheveux était forte, et je devais la refreiner.
Pour penser a autre chose, je regardais ses mains, ses épaule, son cou, sa bouche, ses seins.
Je me projetais a la place de ces doigts, j'imaginais sa peau douce et chaude.

Rapidement, elle se posa sur son lit, a genoux. Elle ne portait plus qu'un tanga en dentelle noire, qui mettait en valeur ses lèvres et ses cuisses.
"Glisse lentement ta main dans ta culotte, regarde a quel point tes mouillée maintenant".
Je vis ses yeux se fermer de bonheur pendant cette phrase. Et elle obéit, docilement.
"Alors, cette chatte" ?
Un murmure dont je n'ai saisi que "trempée" sorti de sa bouche, et c'était la réponse que je voulais entendre.
J'avais envie qu'elle s'assied sur mon visage, et je lui dis. J'ai vu au travers de sa culote ses doigts accélérés quand j'ai prononcer ces mots.
"Glisse sur tes levres, sans passer entre elles pour l'instant, de ton pubis a ton cul, lentement".
Je voyais sa main disparaitre de plus en plus entre ses cuisses ouvertes. Quel spectacle putain.
J'ai entendu sa bouche lâcher un râle de plaisir quand ses doigts passèrent de ses lèvres a son cul.
Alors j'ai confessé avoir très envie de lui bouffer. Son unique "bordel, oui", ma transporté.
Je me suis levé, la queue dur sous mon jean, juste devant ses yeux.
Elle dévorait ma queue du regard, elle ne pouvait que la deviner au travers de mon jean, mais elle avait remarqué mon gland bloqué entre ma ceinture et mon ventre. Ses lèvres se pincèrent, et elle les mordit avec envie.
Quel spectacle.
Alors j'ai repris de guider sa mains, ses mains, ses doigts.
"Caresse tes seins avec ta main gauche, laisse la droite entre tes cuisses". Elle acquiesce.
"Maintenant, tu vas glisser ton doigts entre tes lèvres, et simplement le poser sur ton clito". De nouveau, elle valide.
Je l'attrape par le cou, et ça sera notre seul contact physique : "Maintenant, tu vas lentement tourner sur ton clito, je veux que tu sois trempée et obéissante".

Elle baissera les yeux pour me dire qu'elle l'est déjà.
Ma main sert son menton et son cou, quand ses yeux se ferment et sa main s'agite dans sa culotte.
Je l'observe quelques seconde. Son souffle s'accélère, et ses cordes vocal commence a vibrer au travers de son cou, je les sens dans ma main.
J'ouvre les boutons de mon jean. Elle n'en perd pas une miette. Elle gémira quand le dernier bouton lâchera révélant mon érection a quelque centimètres de son visage.
A chaque seconde que je pourrais simplement poser mon glands sur sa bouche, mais nos regles sont claires.

Cette ambivalence m'excite énormément, et je crois qu'elle aussi.
Elle me regarde dans les yeux, le visage a 10 centimetres de mon bassin : "J'ai envie de rentrer un doigt".

Je l'observe, sans répondre. Je jauge si elle le mérite. Evidemment qu'elle le mérite, mais j'aime la frustrer.
"Par encore" sera ma seule réponse pour l'instant.
Je veux la savoir trempée devant moi. J'aime ça. J'ai l'impression de sentir l'odeur de sa mouille envahir la pièce. Elle est belle, mais elle l'ignore. C'est toute la magie de ce moment.
Elle gémi, de plus en plus. Je vois de plus en plus son poignet, puis tout son bras, s'agiter entre ses cuisses.

Je m'approche de son oreille, et lui dis "maintenant, tu vas pouvoir rentrer un doigt en toi. Tu vas jouir, devant moi".
Elle n'articule plus, un simple "haanf" quitte sa bouche.

Sa soumission, celle de son désir et de sa jouissance m'excite énormément.

J'aurais pas a la baiser pour jouir avec elle. C'est rare.
"Rentre un doigts, colle ta main a ton clito, et masse le en entrant et sortant ton doigt de ta chatte".
Ses yeux s'embrume, elle acquiesce simplement en se pinçant les lèvres.
Son autre main, toujours sur ses seins, les aggripent et les sert de plus en fort.
"Si c'était moi qui te doigtais, mes mains remplaceraient les tiennes. Attachée devant moi, tu me serais soumise et dédiée". Nouveau soupir et gémissement de sa part.
"Rentre un deuxième doigts".

Sa main plaquée entre elle et son lit s'exécute. Et elle ne gémie plus, elle commence doucement a hurler son plaisir. Ma main sert légèrement plus sa gorge, et ça démultiplie l'effet que ça lui fait.
Au bout de quelques minutes de ce spectacle, je lui demande si elle a envie de s'occuper de son cul en plus de sa chatte. Sa réponse ne se fait pas attendre : "Je vais jouir si tu me dis de mettre un doigt dans mon cul en plus de tout ça".

"Alors... fais le maintenant".
Son autre main quitte ses seins, et face a moi, je ne peux que deviner sa main saisir son cul, pousser son tanga, et glisser entre tes fesses.
Je suppose qu'elle glisse sa main entre ses fesses, massant son cul du bout des doigts.
"Tourne lentement autour, et que je te le dirais, tu rentreras ton doigt en toi, en rythme avec les deux que t'as déjà dans ta petite chatte trempée".

Elle acquiesce, et je crois entendre un "putain" sortir de sa bouche entre deux gémissements.
Elle est très excitante, et ça non plus, elle n'est pas en état de le savoir, trop concentrée sur ses mains et ma voix. J'aime la contrôler et dominer son plaisir.
"Rentre ce doigt dans ton cul, lentement".
Sa respiration se coupe, son ventre se contracte, et je peux totalement imaginer voir la première phalange de son indexe entrer en elle.
"Maintenant, lui dis je en lâchant son cou, tu vas jouir devant moi. Fais le."
Je me recule, pour profiter du spectacle :
Son bassin avance et recule, sa main droite toujours bloquée entre son matelas et son sexe.
Sa main gauche disparait dans son cul.
"Branle toi, plus vite, plus fort".
J'entends sa chatte trempée produire des bruits humides. Ca m'excite énormément.
"Tu vas jouir, et je vais te regarder faire. Pas tout de suite, continues a te branler, et je te le dirais. Et quand ça arrivera, je te laisserais 2min...
...avant de t'obliger a recommencer. Mais cette fois, je me branlerais devant toi, tu regarderas ma queue a quelques centimètres de ton visage, et tu l'imagineras, mon gland frotter a ton clito, puis entrer au fond de toi, a la place de tes doigts...
...Et ce doigt que t'as dans le cul, ça sera le miens"

Elle acquiece encore. Totalement soumise a ma voix, rien d'autre n'existe.

Je m'assoie face a elle, et lui dis "Maintenant, tu vas jouir devant moi. Aller, jouis".
De nouveau, sa respiration s'arrête.
Elle ne gémi plus non plus. Ses yeux se fronce, sa bouche s'ouvre. J'ai envie d'y glisser mon gland, mais je me retiens.
Son corps tremble, ses cuisses se referme, et elle lâche soudainement un râle sexy, qui vient du fond de son être.
Je m'enfonce dans mon fauteuil, pendant qu'elle se laisse tomber a la renverse dans son lit.
J'allume une cigarette, et je l'observe. Elle est dans un coma orgasmique total. Son prénom, l'heure, son mec, son boulot, même ma présence, plus rien ne semble exister.
Voir une femme jouir, c'est indescriptible.
Et etre a l'origine de son orgasme multiplie d'autant cette sensation.
Lentement, au bout d'une minute, et d'un tiers de ma clope, elle semble émerger reprendre ses esprit.
Ses yeux mi-clos me regarde, elle souris.
"C'était bien?". Elle se contente d'hocher la tete en souriant.

"Bien, maintenant, tu vas jouir, encore, d'accord? Mais cette fois, je jouirais avec toi".

Ses yeux s'ouvrent, bien plus grand.
Comme si elle était affamé de voir ma queue devant elle pendant que ses doigts disparaissent en elle.

"Reste allongée sur le ventre, passe ta main derrière ton cul, branle toi tout de suite".
Elle ne se fait pas prier. Je sais qu'elle est trempée, tremblante.
Je sors ma queue raide de mon boxer. Je suis trempé, mouillé, devant se spectacle. Un très léger et fin fil de mouille tombe de mon gland.
Elle souris en voyant ça, et j'adore ça. J'adore qu'elle me regarde avec sa main qui semble disparaitre dans son cul.
Lentement, je saisi ma queue dans mes mains. La différence de température entre les bagues que je porte et la chaleur de ma main est très agréable.L'entendre gémir devant moi, encore plus.
Savoir que j'aurais juste a la retourner et rentrer en elle pour la baiser me fait vriller.
Je lui donne l'ordre de se branler plus fort en m'observant. Ca semble l'exciter encore d'avantage.
Je lui demande a quoi elle pense, elle me répond qu'elle imagine faire la même chose, avec mon gland dans sa gorge.
Sa réponse fait gonfler de désir ma queue dans mes mains. Elle le voit, et semble aimer ça.

"On va jouir ensemble. Tu me diras quand tu y es presque, tu t'arrêteras pour me regarder, et on jouira au même moment d'accord? Je te demanderais de me dire de jouir, et tu le feras".
Encore une fois, la dernière, sa elle hoche la tete.
"Continue, branle toi fort, au même rythme que moi. Reglisse ton doigts dans ton cul, lentement. Tourne toi, montre moi".
Sa petite chatte rose dégouline de mouille. Son cul, plus foncé, et ouvert, et je le vois a 3m de distance. Il a l'air délicieux, et j'ai plus envie de le gouter que de le baiser.
Je lui dis. Elle rit. Ailleurs. Possédée par ma voix.
Je caresse mon gland avec mon pouce, mes couilles de l'autre main. Elle n'en rate pas une miette, a quatre patte devant moi, m'offrant son cul. Elle se tourne juste pour regarder ma queue, mes mains, mes yeux.
Je lis sur son visage qu'elle est au bord de l'explosion. Je sens l'odeur de sa chatte trempée dans l'air. C'est trop pour moi.
"Tu vas jouir, avec moi. Je veux qu'a chaque aller retour de ma main sur ma queue, tu entre et sorte les doigts de ta chatte et de ton cul".
La revoila dans le même état,frôlant l'orgasme a chaque mouvement.
Je l'oblige a me dire de jouir.Elle aime ça, déguste ce pouvoir subtil qu'elle détiens quelques secondes.
Et entre deux de ses gémissements, elle lâchera un timide mais distinct "jouis, jouis pour moi, devant moi"
Je partage son brouillard mental, plus rien n'existe qu'elle, ses yeux, ses doigts en elle, et moi, la queue dure, trempée de ma mouille, mes doigts qui la sert fort, et l'orgasme qui monte.
"Dis le encore", lui ordonne ai-je. J'entends ma voix plus hésitante, tremblante de désir
Elle semble le remarquer, et ça semble l'exciter d'avantage : son corps retremble. Elle a des spasmes dans les jambes.
Son souffle s'arrête. Le miens aussi. Ma queue se tend dans mes mains, a 5cm de son visage. Elle n'en rate rien.
Et son crie d'éclanche mon orgasme. Elle jouis, les yeux posé sur moi. Je jouis, les yeux posé sur elle. Je recouvre son martelas de mon sperme, pendant qu'elle se tortille de plaisir sur son lit, profitant de chaque seconde de son deuxième orgasme.
Je reste immobile, pompant ma queue avec ma main, pour en faire sortir chaque goute, et je me balance en arrière, la queue a l'air, dans le fauteuil que j'avais quitter quelques dizaines de minutes plus tot.
Ma cigarette s'est consumée dans le cendrier. Elle est étendue devant moi, nue, tremblante, en confiance et a ma merci. Je la connais depuis deux heures. Jamais je n'oublierais pour autant cette soirée.

Je la laisse la, j'embrasse son front, lui laisse mon numéro sur un postit.
Elle ne connait pas mon nom, je ne connais pas le siens.

Tout ce que j'écrirais avec mon numéro, c'est "un jour, t'auras de nouveau envie de ça. Ce jour là, tu m'appeleras".
Je me rhabille. Enfile mon blouson rapidement, attrape mon casque et mes gants de moto.

J'embrasse son front. Elle est toujours allongée sur le dos, dans les vapes.
"A bientôt" sera notre seul "aurevoir". Mais ce qu'il laisse présager est excitant.
Je claque la porte de son appartement en rez de chaussée, et remonte sur ma moto.
L'heure de route que je ferais pour rentrer sera compliquée. Mais quelle soirée.

J'espère qu'elle me rappellera. Pour ça, plus, moins. Qu'importe au final.
Terminé.

Merci a toi, hier soir. Tu liras peut etre ça. Tant mieux si c'est le cas.

Merci a la personne qui a liké chaque tweet quand je les écrivais, pratiquement en temps réel, c'était très excitant de savoir que tu me lisais.

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