1/13 Nous savons maintenant que post-injection vaccin ARNm , une "spikemie" persistante se produit pendant au-moins 1 mois... la question est "quelle est le devenir des spikes vacinales?". Difficile de biopsier le myocarde d'un patient en myocardite post-vaccinal ...
2/13 Pour comprendre ce qu'il se passe dans le corps post-vacc ARNm pourquoi ne pas biopsier la peau de ceux qui font des réactions cutanées post-vacc pour le transposer aux autres effets indésirables? Super une publication est sortie dans Clinics in Dermatology.
3/13 Chez les personnes sans effets indésirables à la vacc ARNm, les biopsies du site d'injection (le deltoïde) montrent que des spikes vaccinales se retrouvent dans des vaisseaux sanguins à J14 (sans doute plus), parfois avec une réaction lymphocytaire périvasculaire.
4/13 Les personnes montrant des "rash" cutanés post-vacc ARNm à différents endroits du corps, les biopsies donne des vascularites lymphocytaires avec dermatite et la spike vaccinale s'y retrouve chaque fois dans les vaisseaux sanguins du derme!
5/13 D'où l'hypothèse que les spikes vaccinales pourraient passer du muscle deltoïde dans le sang et agir à distance dans le corps comme des "pseudovirions" se liant là où est exprimé le récepteur ACE-2, provoquant localement réaction immune et inflammation.
6/13 Le récepteur ACE-2 est exprimé dans les cellules endothéliales des vaisseaux de nombreux organes ainsi que les plaquettes sanguines. On pourrait donc s'attendre à des effets indésirables post-vacc ARNm très variables ... ce que l'on observe!
8/13 Si la lésion tissulaire induite par la spike vaccinale est mineure et/ou touche une zone non vitale, les dommages peuvent être réparés sans signes cliniques. Si l'altération tissulaire est conséquente et/ou touche une zone vitale, il y aura signes cliniques +/- décès.
9/13 L'altération/la lésion, même si elle n'est pas symptomatique, pourrait cicatriser sans que le tissu soit régénéré, diminuant l'espérance de vie de l'organe affecté. Effets à retardement, sénescence organique anticipée, ... chaque organe a sa propre capacité à régénérer.
10/13 Par homologie aux effets secondaires des radiations, on pourrait parler d'effets indésirables "déterministes" et "stochastiques". La métaphore d'un lâcher de ballons non-contrôlé de spikes vaccinales dans la circulation sanguine.
11/13 Chaque injection de vacc ARNm libérant dans le sang une quantité non-contrôlée de spikes vaccinales, sur une période non-contrôlée et qui iraient altérer aléatoirement plus ou moins des tissus/organes distants. Le risque étant nouveau à chaque nouvelle injection.
12/13 Qui aime jouer plusieurs fois de suite à la roulette russe? Le patient à risque de COVID, l'ignorant, le dément, le suicidaire. Utiliser la vacc à ARNm dans l'urgence pour protéger les fragiles a un sens, continuer à vacciner les non à risque avec de l'ARNm est insensé!
13/13 D'autant plus que, avec des décennies d'expérience, par voie les meilleurs résultats vaccinaux pour gérer les coronaviroses animales en élevage ont été obtenus avec des vaccins vivants atténués transmucosal +/- boost avec vaccin inactivé. Aucun risque systémique ...
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1/13 Attention💣 à RT!
Existe-t-il une étude in vivo qui montre qu'injecter les vaccins ARNm anti-SARS-Cov-2 induit des myo/péricardites? Super! Une équipe a testé l'injection ARNm Pfizer sur des souris! Les effets sur le coeur de ces malheureuses est juste hallucinant! Let's go!
2/13 Ils ont comparé l'injection intraveineuse (IV) et intramusculaire (IM) contre placebo avec un rappel à 14 jours. On se doute que les effets seront amplifiés par l'injection IV contre IM. A l'autopsie, le coeur change d'aspect. Cela fait vraiment envie! Cfr flèches blanches.
3/13 Résultats dans le tableau. Infiltration immunitaire myo/péricarde et dégénérescence/nécrose des cellules du coeur (cardiomyocytes) chez 100% des souris 2j après leur 2ème dose (IV ou IM) ... atteinte hépatique 2j après la première dose du groupe IV (100%) et IM (50%)