New paper in #Appetite about masculinity stress & red meat consumption.
👉 High masculinity stress men are more likely to believe that eating meat will ↗️ their masculinity and, consequently, are more likely to purchase red meat
👉Affirming one's masculinity ↘️ red meat choice
📣We release today a new peer-reviewed study, in which we expose the unprecedented influence of the meat industry on science, public discourse & policy:
"The Dublin Declaration: Gain for the Meat Industry, Loss for Science"
After months of investigation, here is what we found🧵
In our study, we focus on the so-called "Dublin Declaration", a manifesto published in 2022 promoting livestock farming.
The document claims to give a balanced view on the topic of livestock farming, relying on scientific evidence.
1⃣ First, we analyzed the content of the Dublin Declaration.
We were surprised to see that most of its arguments contradict the current scientific consensus.
It goes against the repeated calls in the scientific community to sharply decrease meat consumption at macro level.
Loin d'être anodins, ces systèmes d'élevage pour les veaux sont en réalité critiqués par l'Agence Européenne de Sécurité Alimentaire (EFSA) en charge du bien-être animal.
Résumé d'un récent rapport d'une 20aine d'experts européens pour comprendre ce qui se joue sur ces images.⬇️
Après la séparation d'avec la mère, les veaux sont généralement déplacés vers des logements individuels.
Il existe plusieurs systèmes.
Sur les photos, on voit qu'il s'agit de système dit d'igloos extérieurs.
Les veaux peuvent y rester de 0 à 8 semaines selon les systèmes.
Les experts de l'EFSA discutent de l'impact de ces systèmes d'élevage sur le bien-être des animaux.
1⃣ La liberté de mouvement
2⃣ Stress d'isolement
3⃣Incapacité à effectuer un comportement de succion
4⃣ Incapacité de jouer
5⃣ Incapacité d'explorer ou chercher de la nourriture
Comment est-ce que les élus et élues du NFP pourraient voter pour leur Premier ou Première Ministre ?
Après des années à siéger dans des jurys de concours, parfois aussi tendus qu'au NFP actuellement (croyez-moi !), je vous livre la meilleure méthode que j'ai connue.⬇️
Que ce soit au CNRS ou à l'Université, j'ai participé à des concours très très tendus, avec des discussions âpres où il fallait pourtant aboutir sur un classement.
La question de la procédure de vote n'est jamais neutre et pose principalement une tension entre deux principes.
Pour faire simple, on veut deux choses :
1) Une règle qui fasse en sorte que les votants soient 'sincères'.
On ne veut pas qu'ils/elles trichent. Par exemple, avec le vote d'approbation, on peut avoir intérêt à... ne voter "Oui" qu'à son/sa candidate. On perd tout l'objectif.
Cette campagne électorale aura fait ressortir l'asymétrie des critiques envers la cause animale : on demande aux animalistes d'être exemplaires sur toutes les questions de société, mais on ne demande jamais autant aux autres partis d'être exemplaires sur la question animale.
D'un point de vue politique, si le fond des critiques est légitime, très souvent, elles visent, ou du moins contribuent, justement à réduire au silence la question animale.
Bien entendu, c'est central de critiquer le racisme, sexisme, LGBTphobie dans tous les courants politiques y compris chez les animalistes. (Et tant mieux !)
Mais imagine-t-on un instant un autre parti se faire autant critiquer pour sa position sur la corrida ou l'abattage ?
Ce fil d'une députée € sur la consommation de viande comporte de multiples informations erronées.
Il existe un consensus extrêmement large dans la communauté scientifique sur la nécessité de réduire drastiquement la consommation de viande, pas simplement "en manger mieux". ⬇️
Tout d'abord, s'il existe en effet une très forte hétérogénéité vis-à-vis de l'impact CO2eq de la production alimentaire, les protéines végétales émettent quasiment systématiquement moins que les viandes les plus vertueuses.
La France n'est pas une exception : on voit bien les alimentations carnées émettent bien plus que les alimentations végétales, en conventionnel ou en bio. (Rapport pour l'ADEME)
🚨🐟 Une nouvelle étude publiée dans la revue Animal Welfare propose un nouveau calcul du nombre de poissons sauvages pêchés tous les ans dans le monde.
Pourquoi est-ce si compliqué ? Parce que l’agence de l’ONU dédiée à l’alimentation (FAO) publie uniquement des statistiques sur animaux pêchés sous forme de tonnes.
Pour savoir le nombre d’animaux tués, l’équipe de recherche calcule d’abord le poids moyen d’un animal pour chaque catégorie de poissons de la FAO (1725 espèces !) puis estime le nombre d’animaux concernés.