New paper in #Appetite about masculinity stress & red meat consumption.
👉 High masculinity stress men are more likely to believe that eating meat will ↗️ their masculinity and, consequently, are more likely to purchase red meat
👉Affirming one's masculinity ↘️ red meat choice
Ce fil d'une députée € sur la consommation de viande comporte de multiples informations erronées.
Il existe un consensus extrêmement large dans la communauté scientifique sur la nécessité de réduire drastiquement la consommation de viande, pas simplement "en manger mieux". ⬇️
Tout d'abord, s'il existe en effet une très forte hétérogénéité vis-à-vis de l'impact CO2eq de la production alimentaire, les protéines végétales émettent quasiment systématiquement moins que les viandes les plus vertueuses.
La France n'est pas une exception : on voit bien les alimentations carnées émettent bien plus que les alimentations végétales, en conventionnel ou en bio. (Rapport pour l'ADEME)
🚨🐟 Une nouvelle étude publiée dans la revue Animal Welfare propose un nouveau calcul du nombre de poissons sauvages pêchés tous les ans dans le monde.
Pourquoi est-ce si compliqué ? Parce que l’agence de l’ONU dédiée à l’alimentation (FAO) publie uniquement des statistiques sur animaux pêchés sous forme de tonnes.
Pour savoir le nombre d’animaux tués, l’équipe de recherche calcule d’abord le poids moyen d’un animal pour chaque catégorie de poissons de la FAO (1725 espèces !) puis estime le nombre d’animaux concernés.
Sur les recettes et subventions des filières agricoles :
➡️Les élevages bovins (viande), caprins, et ovins dégagent les plus faibles excédents bruts
➡️Ils sont portant les plus subventionnés avec environ 45~55k€ par exploitation/an.
On est donc face à une filière très peu rentable : 66% des éleveurs bovins viande ont un excédent brut d'exploitation négatifs. Avec subventions on tombe à 3,2%.
Pour les ovins/caprins, on passe de 44,3% à 2,6%.
On comprend aisément que ces filières ne soient plus attractives. La Stratégie Nationale Bas Carbone anticipe ainsi une baisse des effectifs.
Mais se pose la question de la rentabilité économique : jusqu'où subventionner cette activité ?
A large survey (26k respondents) has recently documented the attitudes of EU citizens regarding animal welfare.
We see:
➡️A large demand for improving AW in the EU, especially in farms
➡️A large support for a wide range of policies (cage ban, import rules)
An overview⬇️🧵
1⃣ People think animal welfare in farms is important.
A large majority of people (91%) consider that it is important to protect the welfare of farmed animals (pigs, cattle, poultry) to ensure that they have decent living conditions.
While there seems to be some East-West divide, the smallest average support is 76% in Romania.
Une récente enquête d'Harris Interactive pour le @RACFrance fait le point sur la perception de la consommation de viande en France.
Quelques grandes tendances se dégagent avec une volonté affichée de diminuer la consommation de viande et d'améliorer le bien-être animal.
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L'étude suit une première vague qui avait été faite en 2021. Cette seconde vague permet ainsi de mettre en perspective les évolutions (spoiler : il n'y en a pas beaucoup) sur l'attitude des Français par rapport à la consommation de viande.
En préambule, on notera qu'il s'agit d'une enquête déclarative (et c'est important). Il ne s'agit donc pas forcément de ce qui compte vraiment pour les Français, mais ce qu'ils déclarent compter à leurs yeux.
Une nouvelle étude (Nature Com) analyse l'impact de l'élevage sur la pollution atmosphérique.
👉L'élevage génère particules fines et ozone, augmentant la mortalité
👉Adopter une alimentation végétale pourrait sauver annuellement 236.000 vies dans le monde
Résumé de l'étude⬇️🧵
👉L'élevage contribue à la pollution atmosphérique par les émissions d'ammoniac (fumier, fertilisants) qui créent ensuite des particules fines.
👉L'élevage émet également du méthane qui génère des zones d'ozone.
👉Ces deux phénomènes augmentent la mortalité des personnes exposées
Dans cette nouvelle étude, les auteurs analysent l'impact de trois scénarios alimentaires par rapport à la situation de référence qui est "business-as-usual" (rien ne change).