🔴Une rumeur se répand selon laquelle la femme voilée qui a échangé avec @ZemmourEric, Rachida Boukris, serait une "fausse musulmane" travaillant pour le groupe Bolloré (qui possède @CNEWS). Elle n'aurait en réalité jamais porté le voile et serait à la solde de Morandini. Faux👇
1⃣ D'après nos informations elle a effectivement travaillé pour le groupe Bolloré Logistics, mais l'a quitté en 2017 (fin 2017, à en croire la date de cette photo prise en septembre)
2⃣ On lui reproche de ne porter le voile que pour les caméras de Morandini, ce qui est faux. Un photo d'elle en 2016 la montre voilée sur Facebook. Par ailleurs, elle indique très clairement au début de son itw sur @Cnews qu'elle « porte le voile depuis peu » 📸
3⃣ Son compte Facebook est quant à lui rempli de maximes et signes religieux laissant peu de doute quant à la nature de sa foi 👇
4⃣ Comme la plupart des personnes participant à l'émission #FaceALaRue, Rachida Boukris a été contactée au préalable par l'équipe de Morandini, ce qui ne veut pas dire que c'est une actrice. L'émission se présente comme une déambulation, laissant place à des interactions de rue
5⃣ Depuis qu'elle a participé à cette émission et accepté de retirer son voile pour montrer sa liberté de choix, cette femme est couverte d'insultes sur les RS. Un internaute (d'origine maghrébine et adepte de rodéos), l'a par exemple traité de "salope" sur Instagram aujourd'hui
6⃣ La rumeur, partie des sphères identitaires musulmanes sur Twitter, se propage au sein de La France Insoumise
7⃣ On reproche à cette femme de ne pas être une habitante de Drancy. En réalité, les différents intervenants de l'émission #FaceALaRue de ce matin n'étaient pas tous de Drancy, comme par exemple David Guiraud, militant LFI, qui a pu parler à Zemmour alors qu'il habite Les Lilas
8⃣ Les critiques continuent de pleuvoir sur le compte Instagram de cette femme, preuve que le voile, bien plus qu'un simple "bout de tissu", cristallise autour de lui de fortes tensions identitaires :
9⃣ C'était prévisible : Rachifa Boukris est l'invitée de Cyril Hanouna sur C8 ce soir, ce qui devrait éteindre la polémique à son sujet (et certainement en allumer une autre ailleurs...)
🔟 En attendant les commentaires continuent à s'accumuler sur les RS où certains de ses comptes sont ouverts aux commentaires. S'affrontent les "pro-voiles" qui lui reprochent (violemment) son attitude, et les "pro-Zemmour" pour qui la polémique démontre le pblm autour du voile
🔟bis : l'intervention de cette femme dans l'émission de Morandini ce matin est d'autant plus compréhensible que celle-ci semblait avoir un avis négatif sur Eric Zemmour depuis octobre 2018, date à laquelle elle avait partagé ce sketch (qui se moque de Zemmour) sur Facebook
🔴Dans #TPMP Rachida Boukri confirme avoir quitté le groupe Bolloré fin janvier 2017, comme mentionné ci-dessus. Elle n'est aucunement comédienne, a-t-elle aussi rappelé, et porte le voile depuis plusieurs mois. Fin de la rumeur ! Bonne soirée
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🔴🗞️ A lire dans le numéro de @Valeurs actuellement en kiosque : l'histoire de deux frères, pompier pour l'un, militaire pour l'autre, et passionnés de moto, qui sont tombés dans un guet-apens en répondant à une annonce en ligne pour l'achat d'une moto-cross.
Le jour de la rencontre, fixé un matin d'aout sur une aire de covoiturage de Villemandeur (45) : pas de moto. A la place, deux inconnus qui surgissent en survets noirs, visage dissimulé, arme au poing avec laquelle ils tirent plusieurs coups de feux.
L'un des deux frères, dénommé Julien, à le temps de prendre la fuite. Pas l'autre : Johan (c'est son nom) est roué de coup, menacé de mort (pistolet braqué sur lui) puis se fait voler les 1700 euros qu'il avait retirés pour la transaction.
De son côté, celui qui a pu s'enfuir appelle aussitôt la police pour demander de l'aide. Mais l'échange avec l'opératrice, que @Valeurs a pu se procurer (et qui est disponible en bas de ce tweet), est lunaire. La policière ne semble absolument pas comprendre l’état de panique et de confusion dans lequel se trouve son interlocuteur. Elle se permet même de le reprendre sur un point de vocabulaire.
Aussitôt après leur vol, les malfrats prennent la fuite en direction d'une voiture, qui les attend plus loin. Johan décide alors de remonter dans sa camionnette avec son frère pour rattraper les agresseurs et les empêcher de fuir. L'un d'eux, le voyant approcher, sort à nouveau son arme et la pointe sur la camionnette. Johan le percute de plein fouet.
Résultat: plusieurs semaines de coma pour l'agresseur percuté, et plus de 60 jours d'ITT délivrés. Les deux frères quant à eux sont interpellés quelques heures plus tard, puis mis en examen pour tentative d'homicide et complicité. Le parquet ira même jusqu'à demander le placement en détention provisoire de Johan, qui conduisait la camionnette.
Après trois ans d'instruction (l'affaire remonte à 2021), le procès s'est tenu début octobre.
Les deux frères répondaient des chefs de tentative d'homicide et complicité. Ils sont apparus très affectés par cette affaire et ont déclaré qu'ils n'avaient pas l'intention de tuer quiconque, mais simplement une réaction à chaud face à l'injustice de ce guet-apens. Le parquet général a requis 6 ans de prison contre Johan, le conducteur de la camionnette.
En face, les trois auteurs du guet-apens, Abou D., Idrissa K. et Gharib B., étaient poursuivis pour le vol avec arme, et son organisation.
Le jury populaire qui composait cette cour d'assises n'a pas suivi les réquisitions du parquet général. Il s'est montré clément envers les deux frères, et sévère envers les trois autres. Mais le parquet général a fait appel. L'affaire n'est donc pas finie. Elle devrait être rejugée.
A lire en détail dans les pages de @Valeurs :
@Valeurs *L'extrait de l'échange avec l'opératrice a été modifié (il comportait de nombreuses coupures durant lesquelles le frère requérant était absorbé par ce qu'il se passait sur place)
@Valeurs Voici l'article en ligne, avec de nombreux détails supplémentaires. Si vous n'êtes pas abonné, que voulez le lire, et que vous souhaitez que nous continuions à révéler ce genre d'affaires, ABONNEZ VOUS, c'est indispensable pour nous ! valeursactuelles.com/clubvaleurs/fa…
🔴@Valeurs | Vous vous souvenez peut-être de Karim, ce père de famille victime d'un coup de couteau au rein, sous les yeux de sa fille qu'il tentait de défendre, le 20 mars dernier, à Audincourt (Doubs).
La bonne nouvelle c'est qu'il est sorti de l'hôpital et que l'auteur présumé du coup de couteau (qui possède un palmarès de 35 mentions à son casier) a été identifié et placé en détention provisoire.
La moins bonne nouvelle c'est que Karim et sa famille ont été exfiltrés de leur quartier et relogés à l'hôtel après une seconde agression, ce week-end, impliquant l'entourage de l'auteur présumé du coup de couteau.
C'est la mairie qui leur paye l'hôtel jusqu'au déménagement, en attendant que la justice passe.
Le détail de l'affaire, ici, dans #SoirInfo avec @JPasquet :
Depuis son agression en mars, Karim raconte qu'il a été la cible de pression pour retirer sa plainte. Sa femme et lui auraient par ailleurs été traités de "traitres" en arabe à plusieurs reprises, parce qu'ils auraient parlé à la police et seraient en contact avec la mairie.
🔴 @Valeurs | Il est aux alentours de 8 heures du matin, ce samedi 27 août, lorsque Léa* est réveillée par un bruit provenant de sa cuisine. Probablement, son frère, ou son père, pense-t-elle, puisqu’elle leur a signalé un peu plus tôt que son évier était bouché.
Elle vient d’emménager dans ce studio de Maisons-Alfort, choisi pour sa proximité avec l’université de Créteil, où elle doit faire sa 1ère rentrée étudiante. Certes, le studio n’est pas grand, certes il est au rez-de-chaussée, mais c'est un formidable moyen de prendre son envol.
Voilà l'heureuse vie de Léa, lorsque le bruit de la cuisine vient la tirer de son sommeil. Hélas, ce n’est pas son frère, ni son père, qui se trouvent dans la cuisine ce matin-là, mais 2 clandestins qui, après une nuit à boire et à se droguer, s’offrent une virée cambriolages.
🔴 @Valeurs | Après une agression particulièrement sauvage et violente (la victime en reste défigurée), un homme de nationalité étrangère a été condamné ce mardi à 6 mois de prison avec sursis.
Mais la justice a décidé de ne pas inscrire cette condamnation dans son casier... pour lui permettre de renouveler son titre de séjour. Plutôt étonnant, comme toute cette affaire d'ailleurs.
Voici précisément ce qui s'est passé:
Les faits remontent au 23 mars, dans l'Essonne (91). A cette époque, la victime et son agresseur sont inscrits dans le même club de basket.
Un entrainement a lieu ce jour là, au gymnase de Marolles en Hurepoix. Tout se passe bien, l'équipe s'entraine, sauf que l'agresseur, un certain Nevil B., âgé de 22 ans, de nationalité congolaise, se montre particulièrement agressif et mauvais joueur.
A la fin de l'entrainement, il provoque à plusieurs reprises la victime, lui propose même de se battre ce que la victime, Mickaël, refuse en expliquant qu'il a plus de 40 ans, qu'il est père de deux enfants et donc qu'il n'a plus l'âge de se battre.
Après l'entrainement, ce dernier se rend dans les vestiaires pour prendre sa douche. Nevil l'y rejoint et l'agresse sauvement, par surprise, en lui portant plusieurs coups : au premier, la tête de Mickaël ricoche contre un casier. Il s'effondre et perd connaissance, mais l'agresseur continue de le frapper au sol.
Un co-équipier arrive rapidement sur place pour porter secours à Mickaël, allongé et en sang. Il hallucine : « Tu as vu ce que tu as fait ? Dit-il à Nevil. On est obligé d'appeler les pompiers et les gendarmes », ce à quoi l'agresseur lui répond, déterminé: « c'est quoi ton problème, tu veux que je m'occupe de toi, toi aussi ? ».
Le co-équipier se réfugie alors dans les toilettes pour appeler les secours. Interrogé plus tard par les gendarmes, il confiera avoir été déjà menacé par l'agresseur la saison précédente, après avoir réussi un dribble : « Ne fais plus jamais ça, tu ne me connais pas, tu ne sais pas qui je suis, je t'ai déjà vu avec tes enfants, la prochaine fois je te dévisse la tête » lui aurait dit Nevil. Ce co-équipier n'avait toutefois pas porté plainte...
Résultat, c'est Mickaël qui s'est fait "dévisser" la tête ce 23 mars. Gravement blessé au visage lors de cette agression dans les vestiaire, il devra subir plusieurs opérations chirurgicales dans les jours qui suivent pour reconstituer son visage, qui ne sera jamais tout à fait le même (la partie droite, qu'il ne ressent pas tout à fait, est restée enfoncée. Une ultime opération pourrait être tentée, mais risquerait de dégrader sa vue).
Les séquelles auraient pu être pires. Le co-équipuier qui a porté secours à Mickaël déclarera aux enquêteurs: « J'étais angoissé sur le moment et je suis content aujourd'hui que ça n'engage qu'une chirurgie faciale, parce que vu son état, j'avais très peur que son cerveaux soit attaqué, puisqu'il n'arrivait pas à répéter son âge deux fois de suite aux pompiers. »
Mickaël a été arrêté pendant 1 mois. Il s'est vu attribuer plus de 20 jours d'ITT, ce qui est beaucoup pour une agression physique. Un an après, il repense encore à cette agression qui a profondément ébranlé sa joie de vivre, son humeur, autrement dit sa personnalité. Il y repense chaque fois qu'il voit son visage dans le miroir, c'est à dire tous les jours.
Vu la simplicité des faits, et leur violence, Mickaël aurait pu espérer que la justice soit à la fois rapide et sévère. Or, celle-ci n'a été ni rapide, ni sévère, bien au contraire:
Il faudra d'abord attendre trois mois pour que Nevil soit interpellé et placé en garde à vue (durant six heures, seulement), alors même qu'il avait reconnu les faits en envoyant un message d'excuse (voir en commentaire). Le 27 novembre, la justice informe Mickaël que l'affaire a été classée... avant de faire savoir, trois semaines plus tard, que c'est une erreur et que son agresseur sera bien jugé le 13 février, c'est à dire 11 mois après les faits.
Non seulement la justice n'a donc pas été rapide, mais on ne peut pas dire que la peine décidée soit particulièrement sévère...
L'agresseur, qui avait un casier vierge, a été jugé en CRPC: comparution en reconnaissance préalable de culpabilité.
Ce mode de jugement, réservé aux délits mineurs comme les délits routiers, nécessite que l'auteur ait reconnu les faits. En bref: le procureur convient d'une peine avec le mis en cause, puis, si le mis en cause accepte cette peine et se montre coopératif, cette peine est validée par un juge lors d'une brève audience. Faute avouée, à moitié pardonnée, telle est la logique de cette procédure. On peut s'étonner que l'auteur ait pu en bénéficier vu la graviter des faits... Mais continuons:
Nevil, l'agresseur, a donc été jugé via une CRPC ce mardi et condamné à 6 mois de prison avec sursis, soit bien moins que la peine prévue par le code pénal qui indique que « les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. »
Autre décision étonnante, la justice a fait une fleur à l'agresseur en acceptant de ne pas mentionner sa condamnation au casier judiciaire (B2).... afin qu'il puisse renouveler son titre de séjour, parce qu'il est de nationalité camerounaise.
Mickaël de son côté, avait lui aussi formulé une demande: que son agresseur soit visé par une mesure d'éloignement de l'Essonne, pour ne pas le recroiser. Cette "fleur" lui a été refusée. On lui a simplement conseillé d'appeler la gendarmerie au cas où son agresseur s'approcherait de lui. Incompréhensible pour lui:
🗣️« Je savais que le justice était lente, qu'elle n'était pas toujours à la hauteur, mais je ne pensais pas qu'on était dans des cas aussi extrêmes. Pour moi, c'est incompréhensible » explique Mickaël, dont le témoignage a été diffusé hier dans #SoirInfo, avec @JPasquet :
@Valeurs Echanges de SMS, le lendemain de l'agression, entre la femme de la victime et son agresseur, dans lequel ce dernier reconnait les faits:
🔴 @CNEWS | Bobigny: le procureur de la République insulté en pleine audience et visé par une chaussure 👟
Cette scène, qui a fait le tour des réseaux sociaux, s'est déroulée le 31 mars dernier lors d'une audience en comparution immédiate devant la 17e chambre correctionnelle du… twitter.com/i/web/status/1…
Un policier du 93 commente et confirme, en marge de ce tweet :
🗣️ "S'il est vrai qu'aucun policier n'est intervenu, c'est effectivement parce qu'il n'y a plus de personnel au dépôt. On les laisse crever sous le boulot, ils sont à bout, ils ont déjà eu un suicide il y a 3 ans et… twitter.com/i/web/status/1…
Les policiers des alentours contraints d'aller appuyer leurs collègues du tribunal, faute d'effectifs suffisants. Autre témoignage :
🔴@CNEWS | Souleyman, l'étudiant tchadien propulsé en Une du NYTimes, auteur de l'enregistrement incriminant des policiers de la BRAV-M, a été interpellé hier soir après voir indiqué à des inconnus (en réalité, des policiers en civil) qu'il voulait mettre le feu à des poubelles👇
Selon les infos recueillis par @CNEWS, et révélé par @guillaumepoingt et @NFarmine de @Le_Figaro : quatre policiers en civil ont été abordés par trois individus, dont Souleyman A., à la sortie du métro Concorde, vendredi 14 avril au soir, après la journée de manifestation.
Ces trois individus, venus de la gare Saint Lazare, ont fait part de leur intention de vouloir bruler des poubelles dans une ruelle. L'un d'eux a d'ailleurs indiqué posséder l'équipement nécessaire pour incendier des poubelles (deux pots de gel hydroalcoolique et un briquet).