TR : I've seen things
Regard sur les héros/héroïnes de nos romans et au-delà regard sur nous-même.
Léa Murawiec
Christophe Siébert
Joëlle Wintrebert
Mod.: Jérôme Vincent
C.S. : "nous sommes tous des sociopathes" ^^
L.M. : Survivre peut obliger à passer par des compromis, des mensonges à soi-meme, un oubli du soi initial.
J.W. : La poursuite du rêve (manipulation des sportifs qu'ils en soient conscients ou non) peut être une destruction.
C.S indique qu'il n'a pas forcément ttes les explications de son personnage tant il est complexe (Feminicide)
L.M dit que son problème a
été de devoir lutter ctre elle-même pr malmener ses perso
J.W a elle tjrs 1 idée précise de ses perso & de l'histoire qu'elle construit autour.
J.W n'écrit pas des livres pour le fun, ça ne l'intéresse pas. Elle veut qu'il porte ses passions, ses luttes, ses idées. Elle est dans une écriture de la résistance.
C.S. cherche plus à révéler des incohérences, des discordances à travers ses écrits.
L.M. veut offrir à réfléchir, notamment sur l'économie de l'attention qui l'a elle-même bcp interpellée.
J.V. dde si c'est d'1 fait ou d'1 perso que naît l'histoire.
Pr J.W. cela dépend. Certains de ses romans ont eu besoin d'abord de construire le personnage pr que l'histoire se développe.
Dans Pollen, c'est l'inverse, il y avait d'abord la volonté de dvlpper 1 société matriarcale.
Pr C.S l'histoire naît plutôt d'un fait, d'un intérêt pr tel fait qui vire à l'obsession et finit par emplir tellement sa tête que l'histoire doit être écrite.
Pr L.M. il y a forcément avant tout beaucoup de soi, de ses émotions dans l'univers qu'elle met en place.
Au final, y a 3 regards qui se dégagent de ce que je comprends.
Un regard qui anticipe ce qui pourrait être dans une société future, un regard très actuel sur le monde présent, un regard qui part de l'intérieur pr voir le monde.
La T.R. se termine sur l'intérêt qu'on les auteurices à créer ou non des méchants avec cette optique de survie.
Réponse : Un méchant dans un roman, "ça va" mais dans la vraie vie, "c'est mieux d'être gentil" (en grossièrement résumé).
Fin du live tweet ^^
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T.R. Dune
Nicolas Allard
Sara Doke
Lloyd Chéry
Roland Lehoucq
Modo : Jérôme Vincent #Utopiales#Utopiales2021
Œuvre à la dimension scientifique, littéraire, philosophique (N.A.)
Portée environnementale, écologique aussi avec une vraie réflexion sur les conséquences (R.L.)
R.L. trouve formidable cette idée de supprimer 1 technologie dans le futur & c'est particulièrement marquant ds l'œuvre d'Herbert
S.D. pointe l'importance de l'aspect mémoriel.
Ne pas réitérer certaines erreurs.
T.R. SUBSTANCE RÊVE
Elisa Beiram
Pierre Cassou-Noguès
Marc-Antoine Mathieu
Modo : Jérôme Vincent
E.B est prolixe en rêves, sensation de vivre des films. Elle va ds des mondes délirants
M.A.M. : ne se souvient pas tjrs de ses rêves, ce qui a un caractère frustrant pr un créateur.
Mais grâce à 1 rêve a fait l'expérience d'une couleur inexistante.
P.C-N. : idem a peu de souvenirs mais se soigne mais il a fini par avoir 1 rêve récurrent au sujet d'une voiture volée à un brigand dont il cherchait à se débarrasser en la garant mais sans y parvenir... ^^
TR La Fabrique du Complot
Sandrine Kerion
Pierre Bordage
Christophe Siébert
Modo : Jérôme Vincent #utopiales2021
Comment les personnages adhèrent au complot?
P.B. : l'être humain a besoin d'un coupable à ses malheurs, à partir de là c'est facile d'adhérer au complot.
S.K. : il y a une déresponsabilisation dans cette adhésion.
P.B. pose une distinction entre le complot avec enjeu (politique notamment) et celui qui n'en a aucun.
C'est pour lui plus compliquer de lutter contre le complot sans enjeu.