Fin de tournage tardive.
Train raté à Paris.
Plus de transport entre Lison et Saint-Lô (distance : 22 kms) où se trouve ma voiture, distante de 48 kms de mon domicile.
Sinon, ça va.
Miracle !
C'était mal engagé :
Pas de taxi et nous sommes DEUX à descendre à cette station... déserte.
Je n'ai donc qu'une seule chance.
Un garçon qui ne va pas à Saint-Lô, qui "n'habite pas ici depuis très longtemps" mais qui veut bien faire le détour.
Voiture récupérée.
Home !
Et hasard incroyable, dans cette nuit noire, c'est quelqu'un qui arpente aussi les couloirs de la maison de la radio qui m'a ramené à la civilisation... (musicien, producteur, éditeur).
Sinon, le tournage tv #cidre c'était bien aussi.
Plus que jamais résolu à passer le permis train.
Puisque la moitié de mon existence est consacrée à rater / rattraper des trains, autant avoir la main sur les boutons.
TCHOU TCHOU !
Prochains sujets de rigolade :
. émission france inter + conférence à Perigueux... loin = Périlleux
. conférence à Carentan, pas loin, je peux revenir en helico (why not, car c'est un festival de cinéma)
. le lendemain, 2 conférences à Tours (salon de vins bios)
... + risqué
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Cette étiquette fête ses 30 ans.
D'elle, je peux vous parler. Autant que de son histoire.
Elle est issue d'une épopée folle qui trouve ses racines en 1974, retracée par un livre pensé avec le vigneron Gérard Descrambe en 2018.
Suite ⬇️⬇️⬇️
Je commence par la fin : le vigneron fait dessiner ses étiquettes depuis 50 ans. Reiser d'abord en 1974, pour le millésime 1972.
C'est celle que j'avais à cœur de retenir pour la couverture. Elle est l'incarnation de Reiser.
Aucun mot, rien, juste un dessin jeté, une évidence.
Puis Wolinski, fan de vin, qui avait compris que Reiser avait été payé "en liquide" pour son dessin (la version "commerciale" est un aperçu tronqué du dessin original)