Etudiant éborgné en 2016 à Rennes par un tir de LBD : un policier renvoyé devant le tribunal.
En janvier 2020, le Défenseur des droits avait réclamé des poursuites disciplinaires contre les deux policiers « pour usage disproportionné de la force ».
La Chambre de l’Instruction a ainsi partiellement infirmé l’ordonnance de non-lieu rendue en mai 2020.
Il avait été motivé par le fait que l’auteur du tir n’avait pu être «identifié avec certitude», après les investigations confiées à l'IGPN.
La loi du silence ou l'omerta règne.
Le défenseur des droits :
« les policiers n'avaient pas rendu cpte de manière précise des circonstances, dans lesquelles ils ont fait usage de leur arme.
L'avocat :
« Ce qui est dramatique, c'est qu'il incombait aux policiers de se dénoncer ou de témoigner un contre l'autre,
L'ordonnance de non-lieu a été prononcée en juin 2020, pour des faits commis le 28 avril 2016.
Le jugt de la Cour d'Appel a cassé ce non-lieu en nov 2021.
La question se pose de l'impunité systématique des policiers faisant usage du LBD.
« Le non-lieu justifie le tir policier mutilant à l'oeil car des violences “contemporaines” ont été commises ».
Mais le tir à la tête est interdit et le jeune n'est pas responsable des faits.🤔
Le Défenseur des droits considère :
- conditions permettant l’usage des lanceurs de balles de défense pas réunies,
- pas respecté le cadre d’emploi de l’arme,
- constitutifs usage disproportionné de la force, contraire à l’art R. 434-18 du Code sécurité intérieure ou Déontologie.
DÉCISION 2019-263 DU 10 DÉCEMBRE 2019 RELATIVE AU NON-RESPECT DE L’INSTRUCTION DU 22 AVRIL 2015 PORTANT CADRE D’EMPLOI DU LANCEUR LBD 40X46
@VerdierJouclas@JLMelenchon@J_Denormandie L’humanité est maudite, si pour faire preuve de courage elle est condamnée à tuer éternellement.
Le courage, aujourd'hui, ce n’est pas de maintenir sur le monde la nuée de la Guerre, nuée terrible, mais dormante dont on peut toujours se flatter qu’elle éclatera sur d’autres. 1/
@VerdierJouclas@JLMelenchon@J_Denormandie Le courage, ce n’est pas de laisser aux mains de la force, la solution des conflits que la raison peut résoudre ; car le courage est l’exaltation de l’homme, et ceci en est l’abdication.
Le courage pour vous tous, courage de toutes les heures, c’est de supporter sans fléchir 2/
@VerdierJouclas@JLMelenchon@J_Denormandie les épreuves de tout ordre physiques et morales que prodigue la vie.
Le courage, c’est de ne pas livrer sa volonté au hasard des impressions et des forces ; c’est de garder dans les lassitudes inévitables l’habitude du travail et de l’action.
Le courage dans le désordre infini 3/
@franceinfoplus Et si les tweetos jugeaient sur l'itw en entier et non sur un extrait tronqué.
"Celui qui n’a pas son masque se fait dénoncer…Je croyais, avant le confinement, il y avait un bruit qui courait, que l’être allait devenir meilleur - l’être, y compris moi, 1/ francetvinfo.fr/replay-magazin…
@franceinfoplus tout le monde, qu’on allait devenir plus bons, qu’on allait se rendre compte… et en fait, non.
J’ai l’impression qu’on a repris nos mauvaises habitudes, nos mauvais réflexes. C’est ça qui me fait le plus peur. C’est pour nos enfants…J’ai vécu toute ma vie dans un monde où 2/
@franceinfoplus les parents se sacrifient pour les enfants et j’ai l’impression, là, qu’on a un peu sacrifié notre jeunesse pour les parents. Et je suis prêt, moi, à prendre des risques pour que mes enfants puissent continuer à vivre sans masques, rigoler, aller dans les bars.
J’ai vécu, j’ai 3/
5 Street-médics en gav, interdits de manifs 6 mois à Paris
«Je suis là pour un café, c’est incroyable, faites-moi sortir, rien fait»
Ce à quoi un surveillant lui a répondu :
«Pourquoi tu hurles, t’avais qu’à pas vouloir boire ton café, espèce de connard !» extraitdepresse.fr/?p=1072
1/Chronique d'1 Etat pré-totalitaire
Ns sommes 1 équipe de 4 «Street Médic» ce 12 sept 2020 et avons fini par faire 30h de gav pr un motif totalement absurde, sans raison, dérisoire. mais un motif grave sans fondements, ni preuves réelles.
Ns sommes arrivés sur les Champs Élysées
2/lieu de rassemblement de ce fameux 12 sept, ns
étions dans une rue adjacente, à l’angle rue Boétie plus exactement.
Il était 8h la manif n’avait absolument pas commencé, ns avons donc décidé d’aller prendre un café.
Ns avons fait 10 m à pied et sommes tombés nez à nez avec une