La pharmacovigilance a analysé 3 870 cas de troubles menstruels post vaccination du 31 juillet au 4 novembre.
Bien que ce nombre de cas soit important, "les données disponibles ne permettent pas de déterminer le lien direct entre le vaccin et leur survenue".
1/6 ⤵️
L'âge médian des femmes touchées est de 31 ans, et 275 sont des adolescentes. 12% avaient une contraception à cette période.
164 des cas analysés sont graves.
2/6
Ces cas de troubles mensuels sont principalement de deux types :
• saignements anormaux
• aménorrhées et retards de menstruations
Ils surviennent toujours de manière "inhabituelle", parfois longtemps ou avec des symptômes très pénibles.
3/6
Le rapport souligne plusieurs points particuliers, dont le faible taux de femmes ayant une contraception et la part des 12-15 ans parmi les adolescentes.
4/6
Ce passage résume bien la difficulté et la sensibilité de ce sujet : "Les données de la littérature scientifiques sont, à notre connaissance, très limitées à ce jour. Les articles et opinions sont par contre nombreux dans la presse écrite et sur les réseaux
sociaux."
5/6
Et donc, en conclusion, pas de lien avéré à ce stade. Mais "les différentes situations identifiées constituent un signal potentiel qu’il convient d’analyser en collaboration avec les gynécologues", et il faut analyser des données complémentaires.
Ce médicament est un antiviral, basé sur la molécule lenacapavir. Il agit sur la capside, la partie du virus qui entoure son génome. Pour schématiser, "il empêche le virus de créer des copies et de se multiplier en agissant sur ce bouclier", avec plusieurs modes d'action 👇
2/10
Le lenacapavir est déjà utilisé pour traiter certains malades. Il arrive désormais en préventif (PrEP/prophylaxie pré-exposition) pour les personnes exposées au VIH mais qui ne l’ont pas attrapé.
Efficacité très élevée dans les essais cliniques, un possible "game changer".
❗ C'est le chaos aux @CDCgov, la grande agence de santé publique américaine, déjà soumise ces derniers mois à de nombreux licenciements et la volonté du ministre Robert Kennedy Jr. d'imposer de nouvelles recommandations vaccinales.
On va rembobiner le fil, en cinq actes ⤵️
1/7
Acte 1 : le Washington Post rapporte mercredi soir que la directrice, Susan Monarez, quitte son poste.
Elle serait en désaccord avec la politique de RFK Jr (licenciements, nominations d'experts, etc.). Le ministère de la Santé la "remercie pour son service dévoué".
Acte 2 : ses avocats assurent qu'elle "n'a ni démissionné ni reçu de notification de la Maison Blanche indiquant qu'elle ait été licenciée" et accusent publiquement RFK Jr "d'instrumentaliser la santé publique à des fins politiques".
🤒 Frissons, courbatures, fièvre... Un #SyndromeGrippal en plein été ?!
"C'est évidemment moins fréquent qu’en hiver, mais ça arrive. Et des gens s’en étonnent : je n’ai rien eu cet hiver mais là je suis malade, ce n’est pas normal." ⤵️ @le_Parisien
Il y a plusieurs coupables possibles, à commencer par les virus respiratoires.
Tous circulent surtout en hiver, quand nous sommes plus souvent dans des lieux clos propices à leur transmission, mais ils ne disparaissent pas totalement en été (en particulier le Covid).
2/7
Les principaux coupables pendant la saison estivale sont donc le SARS-CoV-2 mais aussi les rhino/entérovirus.
Plus de 7% des tests à ces deux virus étaient positifs mi-août, en hausse pour le SARS-CoV-2 : "Même en été, il reste toujours un fond de pathologies infectieuses."
Rappel d'emblée : TOUTES les villes vont subir le réchauffement climatique.
Mais pour savoir dans quelle mesure, nous avons compilé les données de la TRACC — température moyenne à l'avenir, jours de forte chaleur, nuits tropicales, etc —, le risque de submersion marine, de feux de forêt, etc.
2/10
Sans grande surprise, les villes qui tirent leur épingle du jeu sont situées dans un quart nord-ouest : en Bretagne, Normandie et Hauts-de-France. Elles bénéficient notamment d’avoir les températures les moins caniculaires.
À l’origine, un changement a cristallisé leur grogne : celui du taux de "remise" autorisé.
Les officines achètent leurs médicaments auprès des fournisseurs non pas au prix réglementé, mais moins cher grâce à des remises commerciales. Cet avantage est encadré par la loi.
2/10
S’agissant des génériques, le taux maximum de remise autorisé est de 40 %. Autrement dit, pour un médicament à 10 euros, la pharmacie peut l’acheter 6 euros minimum.
Mais ce taux passera à 30 % à partir du 1er septembre puis 25 % en juillet 2026 et 20 % un an plus tard.
Après la sanction visant le Dr Damien Barraud, ciblé par un groupe antivax, l'Ordre des médecins veut désormais "agir systématiquement"...
... mais répond que "se faire justice soi-même, par des propos injurieux ou diffamatoires, expose à des conséquences disciplinaires".
1/5
Rappel : le Dr Barraud a reçu 3 mois d'interdiction d'exercice de la médecine (dont un ferme) par une juridiction indépendante après des plaintes lui reprochant notamment des "injures publiques".
Le conseil départemental de Moselle de l'Ordre s'est associé à l'une d'elles !
2/5
Ce qui n'a pas été du goût d'un collectif de médecins (dont Agnès Buzy) : "L'institution censée protéger la médecine, les patients comme les praticiens face aux abus de procédure a pris parti… pour leurs harceleurs, détracteurs et désinformateurs."