Thread by @JakTubal

"Coup de gueule" d'un praticien de la "vieille école".
On m'a appris à soigner les gens en tenant compte de toutes leurs particularités ; les protocoles étaient déjà présents, bien sûr, surtout en chirurgie, mais ils ne nous "enfermaient" pas, même en chirurgie.
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Je ne comprends pas que l'on puisse mépriser, voire interdire, des traitements précoces utilisés avec de bons résultats dans certains pays ; d'autant qu'ils sont peu onéreux, sans risque ou sinon maîtrisé, et au pire inefficaces.
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Le cas de la Bolivie est exemplaire, où, sous l'égide du gouvernement, l'on prescrit largement l'ivermectine depuis mai 2020
sciencesetavenir.fr/sante/la-boliv…
avec un excellent résultat en termes de mortalité, encore maintenant malgré la récente flambée de cas.
graphics.reuters.com/world-coronavi…
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Je connais de nombreux confrères de ma génération qui exercent encore. Ils injectent sans réticence ces produits que l'on nous a "vendus" sous l'emballage de "vaccins", mais dont l'effet concret est celui d'une immunothérapie itérative, au bénéfice certain cependant …//...
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…//... sur les sujets à risques (âge, comorbidités, immunodépression, etc...), mais aux effets secondaires encore trop ignorés – je ne polémiquerai pas sur ce dernier point, ni sur le récent échappement d'Omicron face à ces produits ; ce n'est pas l'objet de ce mini-thread.
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Outre les injections, ces mêmes vieux confrères prescrivent ces médicaments précoces "à l'odeur de soufre", dont l'intérêt est peut-être mineur en phase aigüe ("De toute façon, les formes sont le plus souvent bénignes, le patient aurait guéri de même" lit-on souvent) …//...
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…//... mais dont on n'a peut-être pas pris toute la mesure pour une possible prévention des formes longues du Covid, pénibles et encore trop méconnues …
Je livre ce sujet précis de méditation à mes lecteurs et lectrices, et recevrai volontiers toute critique constructive.
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