Depuis le 4 mai, plusieurs publications indiquent que Pfizer ne recommande pas son vaccin contre le Covid-19 en cas d'allaitement.
Preuve à l'appui : la capture d'écran d'un document "déclassifié" par Pfizer. (1/7)
Sauf que... cette capture d'écran est tirée d’un document rédigé mis en ligne par les autorités britanniques de régulation du médicament au moment de l'entrée sur le marché du vaccin Pfizer au Royaume-Uni, le 8 décembre 2020. (2/7)
En décembre 2020, les femmes enceintes et allaitantes n'étaient pas éligibles à la vaccination.
Elles ne faisaient pas partie des essais cliniques et face au manque de données, il était impossible de recommander leur vaccination de manière sûre. (3/7)
Dans son dernier document sur le vaccin Pfizer, le ministère britannique de la Santé n’indique plus de contre-indication de la vaccination pendant l’allaitement ni de risque potentiel pour l’enfant. (4/7)
Actuellement, l’OMS indique que "la vaccination d’une mère allaitante contre le Covid-19 ne présente aucun risque pour son enfant" et qu’elle "pourrait même contribuer à protéger leur bébé d’une infection par le virus" (5/7)
En France, l’ANSM recommande de vacciner les femmes enceintes et allaitantes : "À ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France" (6/7)
Les explications de la cellule #VraiduFaux de franceinfo sur le débunkage de cette fausse information, largement partagée sur les réseaux sociaux, sont à retrouver aussi ici (7/7) 👇
Fonds Mariane : "Associé le nom de Samuel Paty, qui est un martyr de la République […] avec des soupçons de détournements de fonds, c'est extrêmement choquant", déclare Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président du parti Les Républicains
Une conférence de presse sur l'attaque au couteau à Annecy annulée parce que le suspect est chrétien ?
"C'est totalement faux. J'ai fait un point presse à l'Assemblée nationale", répond Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes et président du parti Les Républicains
Augmentation des fonctionnaires : "Quand on est dans un contexte d'explosion des prix, une augmentation du point d'indice de 1,5% et quelques primes, ça se traduit par une baisse concrète de la rémunération réelle", souligne Manuel Bompard qui propose une indexation automatique.
Rejet de la motion de censure : "La contestation contre la réforme des retraites ne s'arrêtera jamais, assure Manuel Bompard. Aucun article de la Constitution ne permet à une présidente de commission de refuser aux députés le fait de déposer des sous-amendements".
Le simulateur retraite pris d’assaut après la mise à jour due à la réforme : "On est sur des volumes qui sont entre huit fois à dix fois le trafic habituel", relate Stéphane Bonnet, directeur du GIP qui gère le site. "L’excédent de connexions fait l’objet d’une file d’attente."
"Il faut juste avoir un trimestre de cotisations" pour accéder au simulateur, explique Stéphane Bonnet. "Un module projette sur vos derniers salaires" ou il y a une possibilité de personnaliser.
"Je ne peux qu’inviter l’utilisateur à vérifier sa carrière", indique Stéphane Bonnet. "Les régimes de retraites ont peu ou pas connaissance des enfants. Ça a un impact considérable sur l’âge de départ" pour les femmes, donne-t-il en exemple.
🔴DIRECT - 🗣️"Madame la Première ministre, c'est vous qui devez rendre des comptes à l'Assemblée nationale, et pas le contraire."
Valérie Rabault, députée PS, s'exprime dans l'hémicycle, alors que commence la discussion sur la motion de censure déposée par la NUPES.
🗣️"Censurer le gouvernement est un acte grave, mais laisser perdurer le discrédit sur notre Assemblée, par le gouvernement, marquerait un renoncement de notre part, plus grave encore."
La députée socialiste Valérie Rabault conclut son intervention.
🗣️"La Constitution n'est pas à géométrie variable."
La Première ministre prend la parole sous les huées de l'opposition et les applaudissements de la majorité, alors que les députés doivent se prononcer sur une nouvelle motion de censure.
🔴 DIRECT - Ukraine : le président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée, Jean-Louis Bourlanges, et l'ancien officier Guillaume Ancel sont les invités du #8h30franceinfo
Contre offensive ukrainienne : "Les Ukrainiens ont choisi une date symbolique", le 6 juin, note Guillaume Ancel, ancien officier de l'armée française et écrivain. "Une ambition extraordinaire avec un fusil à deux coups."
Contre offensive ukrainienne : "Ils ont des pertes. C'est très difficile de l'admettre", parce que "quand on fait la guerre, on accepte de faire tuer des jeunes gens", souligne Guillaume Ancel. "Pour l'instant, ils cognent contre le mur comme on cogne sur une vitre blindée."