🇺🇳« Opération 15 millions » pour l'#OMS 1. Vous croyez peut-être qu'il s'agit de sauver 15 millions de vie grâce à des traitements bon marché, un meilleur accès aux soins…
🚷Non ! Il s'agit de démontrer que le COVID a causé, en 2020-2021, non pas 5️⃣ mais 1️⃣5️⃣ millions de morts
2. L'OMS consacre au sujet ce qu'ils appellent une "data story", en mobilisant une soixantaine d'experts du monde entier en 5 groupes de travail. who.int/data/stories/g…
3. Tout cela pour aboutir à une publication sur Arxriv, sans comité de lecture ni revue par les pairs.
Avec comme auteurs :
👉3 statisticiens US (1 prof + 2 postdoc)
👉1 doctorant en économie israélien
👉1 expert de l'OMS, statisticien & démographe
Pour ces 2 derniers…/…
4. L'économiste @ArielKarlinsky est le créateur du #WorldMortalityDataset (qu'il présente avec l'illustration ci-dessous), le seul à réussir l'exploit de proposer des données de mortalités récentes pour la plupart des pays du globe, même ceux qui ne publient aucune donnée🤔
5. Quant à @willmsem, jeune Dr en stats de la Santé mais avec un master de démographie, il a déjà une brillante carrière professionnelle à son actif, juste avant d'entrer à l'OMS à Genève🧐 linkedin.com/in/william-mse…
6. Problème, lorsque vous prétendez que l'#Inde a eu non pas 0,5 mais 3 millions de décès du COVID…
Puisque c'est l'OMS qui le dit ! Ça peut passer…
Mais ça se corse quand vos chiffres concernent des pays qui remontent correctement les données récentes d'état-civil.
7. On peut alors confronter les chiffres OMS à ceux d'@HMDatabase, un organisme universitaire de vrais démographes qui se base uniquement sur ces chiffres fiables, pour presque 40 pays.
Voilà pour les pays à surmortalité moyenne :
8. Avec notamment pour la "petite" Allemagne une évaluation représentant 2 à 3 fois les chiffres d'@HMDatabase 🤏
Pour les pays à faible surmortalité, c'est du grand n'importe quoi :
9. Il n'y a finalement que les pays les plus touchés, pour la plupart de petite taille, pour lesquels on a une estimation à peu près crédible.
10. Pour la moitié des 34 pays de cet échantillon, on a donc un écart d'estimation dépassant les 10% et souvent très largement.
Mais ce quintet d'experts est capable de nous produire un chiffre de 15 millions de décès COVID, estampillé OMS.
13. Faire oublier le bilan tout aussi terrible de la surmortalité toutes causes dans les pays très vaccinés❓
Le voici recalculé en comparant sur la tendance 2015-2019 suivant la méthode "OMS" (habituellement j'utilise 2010-2019, si possible).
14. Et espérons que l'éco-statisticien @ArielKarlinsky ne détournera pas le regard des chiffres mis en avant par le Bureau des Stats de son propre pays.
La #France ne semble finalement pas débarassée de ses problèmes de #surmortalité si on se réfère aux taux de mortalité standardisés qui éliminent l'essentiel des biais liés à l'évolution démographique.
Mais c'est pire si on élargit la vision…
…le tableau devient en effet encore + alarmant, car la période 2015-2019 semble déjà correspondre à un premier épisode de surmortalité.
[2/9]
C'est particulièrement visible si on compare les taux des années 2015-2019 à la tendance 2000-2014.
Notez également le pic correspondant à la canicule de 2003 et comme il a été en grande partie effacé dès l'année suivante.
🇬🇧 Incroyable statistique venue d'outre-Manche !
Selon l'@ONS, #Angleterre & #Galles auraient donc connu en 2024, une SOUS‑ MORTALITÉ de -8,3% !
Et personne n'en parle ?
C'est pourtant clair, je vous explique…
[1/9]
@ONS Zoomons un peu🔎
Pour @ONS, l'évolution attendue des décès devait suivre la courbe 🔴 (615k pour 2024).
Or on a eu la valeur 🟦 (569k).
Et voilà, 8,3% de moins qu'attendu.
C'est de la vraie science avec une méthodologie détaillée, bibliographiée, et tout et tout...[2/9]
@ONS On le voit clairement sur leur graphe, où les barres sont systématiquement bien en-dessous des marques bleu foncé pour 2024.
Src:
[3/9] ons.gov.uk/peoplepopulati…
#France #Natalité
Ben il arrive quand ce "réarmement démographique" annoncé ?
J'ai bien l'impression qu'il faudra d'abord un "réenchantement démocratique" si on veut s'en sortir.
[1/5]
🇬🇧#UK
It appears that the statisticians of @ONS are playing the same trick on us as their colleagues 🇯🇵.
Indeed, based on the deaths recorded in the civil registry as you see them⤵️, they calculate for 2024 an UNDER-MORTALITY of -8,0% (532k observed vs 578k "expected")
[1/8]
@ONS This is clearly seen on this graph, where the bars are consistently well below the dark blue marks for 2024.
Src:
How can we go from +4.5% to -8.0%?
[2/8] ons.gov.uk/peoplepopulati…
@ONS By downloading the data for this graph, we understand the miracle a little better!
Like, in Japan, the "expected" (estimated deaths, calculated by a model) first jumped by +4.3% in 2023, then by +8.5% in 2024.
i.e. +13,1% between 2022 and 2024.
[3/8]
People ask me what post-Covid mortality might look like in a country that has had very little vaccination.
My only example with recent data is Romania, probably the worst for boosters.
Src: Eurostat + vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensi…x.com/_aussie17/stat…
Correction: Following an alert from @henjin256 regarding strange values for 2024, I went back to the Eurostat source which is supposed to be @ro_statistics.
I found the following values, quite dissimilar from 2020.
…/…
But in the end, excess mortality would have been less severe than announced and the situation would have stabilized in 2022 before starting to compensate for about half of the cumulative excess mortality in 2023 & 2024 (55k of 107k).
Sources:⏬
#Japon (suite) 1. La discussion encadrée⤵️ montre la grossière manipulation utilisée pour masquer les surmortalités 2023 et 2024.
Le même site propose aussi des chiffres par cause de décès.
Voici un récap, détaillé dans la suite
⏬ (1/13)
2. Voici le bilan des surmortalités, suivant mes calculs primitifs, pour les 5 causes présentées.
Une seule est absente de ce schéma, le Cancer, mais cela sera expliqué + bas.
3. Commençons par examiner la cause qui connaîtrait la + forte surmortalité aussi bien en nombre qu'en %.
Alors qu'elle n'est que la 5e cause.
En comparant avec une tendance qui marquait pourtant un triplement du nombre de décès entre 2010 et 2019.