Thread by @_2019_nCoV

« Le Japon n’aura ni pétrole ni gaz en provenance de Russie, ni ne pourra continuer à participer au projet sakhaline-2 GNL (gaz naturel liquéfié) », a commenté #Medvedev sur les rapports sur la proposition présentée par le Premier ministre japonais @kishida230

🖊️Drago Bosnic

le Japon a donné une suggestion, de « ne réduire les prix du pétrole russe que de moitié ».
Le chef adjoint du Conseil de sécurité russe, Dimitri #Medvedev, a averti que la proposition du Japon entraînerait une baisse significative de l’offre de pétrole sur le marché

ce qui pourrait pousser le prix à environ 300-400 dollars le baril ou plus.

L’autre sujet central était une autre demande de l’Occident politique pour que les pays de l’OPEP + augmentent leur production de pétrole. Et une fois de plus, l’OPEP+ a refusé, insistant sur le fait que la part de la production de pétrole de la Russie ne peut pas être remplacée.

Les producteurs de pétrole non membres de l’OPEP comme le Brésil et le Canada ne peuvent espérer combler le déficit du pétrole russe. L’Occident politique envoie maintenant des signaux économiques contradictoires alors qu’il est confronté à la possibilité très réelle

d’une récession, ce qui entraînerait inévitablement une baisse de la demande.

De plus, il y a une incertitude imminente sur les livraisons de gaz naturel russe à l’Union européenne, en particulier à l’Allemagne, qui supplie maintenant le Canada de restituer les turbines Nord Stream qu’il a saisies.

L’industrie allemande, de loin la plus importante et la plus importante de l’UE, a du mal à faire des plans pour un avenir prévisible, car les livraisons de gaz naturel, son élément vital, sont en jeu.

Il y a même des avertissements d’un effondrement industriel complet en Allemagne si cette question n’est pas abordée le plus rapidement possible, sans parler de la demande de gaz naturel pour le chauffage et la production d’énergie, qui est maintenant soumise à une pression

énorme pour répondre même à la demande de base.

Malgré tout cela, l’Occident politique continue de fantasmer sur le plafonnement des prix du pétrole russe. Bien que nous continuions à traverser un été extrêmement chaud, nous ne sommes qu’à quelques mois de l’hiver.

Peut-être que l’Occident politique peut essayer de plafonner la température et l’empêcher de tomber en dessous du niveau de congélation. Après tout, leurs chances de le faire sont beaucoup plus élevées que de plafonner les prix du pétrole russe.