1. Qui aurait la bête idée de comparer la mortalité "Covid" récente d'un petit pays comme l'Irlande (5M d'habitants vaccinés à 81%,) à celle des 42 pays les moins vaccinés (1 181M d'habitants vaccinés à 13,3%)
2. Et vous pourriez prendre d'autres pays de taille équivalente comme #Finlande, #Norvège ou #Danemark, ce serait encore plus flagrant.
Pourtant tous trois dans le top 10 des meilleurs systèmes de santé au monde.
3. Situation ponctuelle, croyez-vous ?
Suivez le trait bleu qui indique le ratio entre la mortalité des pays les plus vaccinés et celle des pays les moins vaccinés.
Au lieu de valeurs attendues inférieures à 1, on trouve depuis 4 mois, des valeurs oscillant entre 100 et 300.
4. Vous pouvez vérifier la réalité de ces valeurs à partir d'@OurWorldInData.
Environ 5 x moins de 65 ans &+ dans le premier groupe.
Nonobstant les 17 ans d'espérance de vie en moins, on pourrait diviser ce ratio par 5, ce qui serait encore très loin des valeurs attendues.
5. Le seul espoir des VRP de #Pfizer serait qu'il existe de considérables lacunes dans le décompte des décès Covid, spécifiquement dans les pays peu vaccinés.
6. Deux grosses équipes ont été mandatées par l'OMS puis la Fondation Bill Gates, pour valider les présupposés du #WorldMortalityDataset et de @TheEconomist, seule équipe à être capable de calculer des surmortalités pour les pays… ne publiant aucune donnée de mortalité.🤔
7. Equipe qui semble fantasmer sur le fait que le Covid puisse un jour dépasser la peste… 😧
8. Mais, patatras, les auteurs de ces études ont bien été obligés de reconnaître que leurs calculs étaient faux, comme l'explique très bien cet article de @Nature.
9. Et surtout, quand on arrive à récupérer des données de mortalité d'un pays comme le Kenya (en bas du graphe), il y a confirmation de la quasi absence de surmortalité.
Difficile donc d'y "inventer" des décès liés au Covid.
10. Pour l'anecdote, le ponpon était quand même le modèle utilisé par ces as de l'analyse de données pour évaluer la surmortalité allemande.
Selon eux, en l'absence de Covid, il y aurait dû y avoir une baisse du nombre absolu de décès de 2 à 4% par an🙄
11. Jetez enfin un œil à cette carte incluse dans un récent tweet de @mvankerkhove, épidémiologiste en chef de l'OMS.
En clair, les pays sans mortalité Covid, et très peu vaccinés.
En bleu, l'inverse…
13. Main charts with english caption.
Feel free to include in your own publications.
14. Sans doute l'une des principales explications :
Population massivement contaminée (ici au Malawi, >80%, y compris dans les zones rurales) mais ayant développé une immunité principalement naturelle, avec très peu de formes graves.
🙊🙈🙉
Focus sur les #français nés en 1947 et ce qui leur arrive depuis 2020.
Cette année a la particularité d'avoir le + haut taux de natalité depuis 1920, à 21,4‰.
Alors que 2024 vient de descendre à 9,5‰, battant le triste record (vers le bas) de… 1916 !
[1/7]
Les natifs de 1947 ont aussi été les derniers à bénéficier d'une pension de retraite calculée sur les 10 meilleures années de salaire.
Sauf que là, ils ont chargé avec près de 1% de leur population qui a disparu de manière inattendue, dont les 2/3 depuis 2022.
[2/7]
On est quasiment dans un scénario à la #Leftovers, cette série TV où 2% de la population mondiale a disparu en un instant.
Sauf que là, il faut faire comme si rien ne s'était passé et surtout comme si rien ne continuait à se produire.
Encore moins crédible comme scénario !
[3/7]
La #France ne semble finalement pas débarassée de ses problèmes de #surmortalité si on se réfère aux taux de mortalité standardisés qui éliminent l'essentiel des biais liés à l'évolution démographique.
Mais c'est pire si on élargit la vision…
…le tableau devient en effet encore + alarmant, car la période 2015-2019 semble déjà correspondre à un premier épisode de surmortalité.
[2/15]
C'est particulièrement visible si on compare les taux des années 2015-2019 à la tendance 2000-2014.
Notez également le pic correspondant à la canicule de 2003 et comme il a été en grande partie effacé dès l'année suivante.
La #France ne semble finalement pas débarassée de ses problèmes de #surmortalité si on se réfère aux taux de mortalité standardisés qui éliminent l'essentiel des biais liés à l'évolution démographique.
Mais c'est pire si on élargit la vision…
…le tableau devient en effet encore + alarmant, car la période 2015-2019 semble déjà correspondre à un premier épisode de surmortalité.
[2/9]
C'est particulièrement visible si on compare les taux des années 2015-2019 à la tendance 2000-2014.
Notez également le pic correspondant à la canicule de 2003 et comme il a été en grande partie effacé dès l'année suivante.
🇬🇧 Incroyable statistique venue d'outre-Manche !
Selon l'@ONS, #Angleterre & #Galles auraient donc connu en 2024, une SOUS‑ MORTALITÉ de -8,3% !
Et personne n'en parle ?
C'est pourtant clair, je vous explique…
[1/9]
@ONS Zoomons un peu🔎
Pour @ONS, l'évolution attendue des décès devait suivre la courbe 🔴 (615k pour 2024).
Or on a eu la valeur 🟦 (569k).
Et voilà, 8,3% de moins qu'attendu.
C'est de la vraie science avec une méthodologie détaillée, bibliographiée, et tout et tout...[2/9]
@ONS On le voit clairement sur leur graphe, où les barres sont systématiquement bien en-dessous des marques bleu foncé pour 2024.
Src:
[3/9] ons.gov.uk/peoplepopulati…
#France #Natalité
Ben il arrive quand ce "réarmement démographique" annoncé ?
J'ai bien l'impression qu'il faudra d'abord un "réenchantement démocratique" si on veut s'en sortir.
[1/5]
🇬🇧#UK
It appears that the statisticians of @ONS are playing the same trick on us as their colleagues 🇯🇵.
Indeed, based on the deaths recorded in the civil registry as you see them⤵️, they calculate for 2024 an UNDER-MORTALITY of -8,0% (532k observed vs 578k "expected")
[1/8]
@ONS This is clearly seen on this graph, where the bars are consistently well below the dark blue marks for 2024.
Src:
How can we go from +4.5% to -8.0%?
[2/8] ons.gov.uk/peoplepopulati…
@ONS By downloading the data for this graph, we understand the miracle a little better!
Like, in Japan, the "expected" (estimated deaths, calculated by a model) first jumped by +4.3% in 2023, then by +8.5% in 2024.
i.e. +13,1% between 2022 and 2024.
[3/8]