Message de service: première utilisation du terme “armes sémantiques” dans un contexte d’opérations d’influence dans le numérique: lors d’un colloque Effigies à l’université Jean Jaurès, ou j’intervenais sur la désinformation fondée sur le genre… en janvier 2016. 🤷♀️
(Le document date de janvier 2016. Dernière modif novembre 2016).
Ceci parce que il y a une campagne de discrédit en cours sur fond de harcèlement, autour de la maternité du terme.
Aussi, ne suffit pas de juste l’utiliser. Il faut le définir. Chose que je fais à partir de 2016.
Après, aucun souci de concéder, mais faut se fonder sur des faits
⚠️On ne lutte pas contre l'offre idéologique masculiniste en reprenant leurs discours, même pour en rire.
Car la lolisation du sujet et l'une de leurs tactiques de normalisation des violences fondées sur le genre.
Vraiment Acermendax, lâche le sujet.
Tu nous mets en danger.
Cette vidéo est tellement malaisante. Banaliser les violences virilistes avec de l'humour, juste pour pouvoir taper sur d'autres hommes, entre hommes, (et ainsi monétiser sa chaîne), effacer la perspective des femmes...
C'est franchement à gerber.
Le seul monde dans lequel cette phrase est "drôle" est un monde qui efface la perspective des femmes, un monde ou des hommes parlent aux hommes, en dépolitisant totalement ce qu'est l'offre idéologique masculiniste.
Illustration parfaite d'un milieu de radicalisation masculiniste de type "primitif".
Une retraite "exclusive" (ségrégation sexuée et financière) monétisée par @/Alphafox78 dont la bio ne laisse guère douter des liens avec les fondamentalistes chrétiens US.
via @SHS4Eva01
@/Alphafox78 semble monétiser ce contenu en faisant de la pub dissimulée. Cela fait partie d'un trend amplifié par #AndrewTate, mais qui le prédate, d'une communauté mondiale d'hommes qui promeuvent exclusivement les entreprises d'autres H (et se prennent une comm en passant)
L'entreprise qui propose cette "retraite" séparatiste masculin à Bali, appartient à un français, Nicolas de Paoli. Le voici en train d'expliquer sa backstory.
Himpathy (Kate Manne, Down Girl) : une tendance répandue consistant à sympathiser avec l'homme auteur de violences, au point de le percevoir comme « victime de ses propres crimes »
Ex. de fabrication d'un récit pour susciter himpathy
Que @ladepeche souhaite contextualiser l'affaire #Auradou #Jegou, très bien. Cependant, le sujet central n'est pas les conditions carcérales, mais les violences masculines.
Dans le 1er § du texte, le journaliste @ladepeche revient sur l'affaire. Il minore la gravité de l'accusation (viol, un crime, aggravé, et non agression, un délit), et donne la version des joueurs.
La version de la F victime, corroboré par l'enquête et les autorités, est occulté