23 experts dans les domaines de la physique solaire et de la climatologie contredisent le GIEC - la science n'est *PAS* établie
“Les changements de la température mondiale depuis le milieu du XIXe siècle sont principalement dus à des cycles naturels”⏬ iopscience.iop.org/article/10.108…
Un groupe diversifié composé de scientifiques du monde entier estime qu'il était prématuré d'attribuer le changement climatique essentiellement aux émissions humaines, basées sur "des données étroites et incomplètes sur l'irradiance totale du Soleil".
En effet, l'organisme climatique mondial semble faire preuve d'un biais délibéré et systémique dans les opinions, les études et les données incluses dans ses rapports influents, ont déclaré plusieurs auteurs.
L'article de synthèse scientifique examine le rôle joué par le soleil dans le "changement climatique" au cours des 150 dernières années.
Cinq méthodes largement indépendantes d'estimation des tendances de température dans l'hémisphère Nord ont été évaluées en utilisant :
L'étude a révélé que les scientifiques parviennent à des conclusions opposées sur les causes du changement climatique récent en fonction des ensembles de données qu'ils prennent en compte.
A savoir que les changements de la température mondiale depuis le milieu du XIXe siècle sont principalement dus à des cycles naturels, notamment à des changements à long terme de l'énergie émise par le soleil.
Cela implique que la plupart, sinon la totalité, des changements de température à long terme sont dus à des facteurs naturels.
Ronan Connolly, auteur principal de l'étude, au Center for Environmental Research and Earth Sciences (CERES) déclare :
Cette étude de 72 pages (18 figures, 2 tableaux et 544 références) évite explicitement l'approche consensuelle du GIEC en ce sens que les auteurs ont accepté de mettre l'accent sur les opinions scientifiques divergentes ainsi que sur les points d'accord scientifique.
Chacun des co-auteurs ont des opinions scientifiques différentes sur de nombreuses questions abordées, mais ont accepté de présenter équitablement les arguments concurrents de la communauté scientifique pour chaque questions, et de laisser le lecteur se faire sa propre opinion.
Plusieurs co-auteurs ont dit que ce processus d'examen objectif des avantages et des inconvénients des arguments scientifiques concurrents pour le document leur a donné des idées nouvelles pour leurs propres recherches futures.
Les auteurs ont également expliqué que les rapports du GIEC auraient une plus grande validité scientifique si le GIEC commençait à adopter cette approche non consensuelle.
Citations de certains des autres co-auteurs :
Cette article Peer Review révèle des preuves d'un biais systémique dans la sélection des données de l'ONU pour soutenir le récit sur le changement climatique
“Le GIEC a sérieusement entravé les progrès scientifiques dans la compréhension du changement climatique.” Ronan Connolly
Pour ceux qui n'ont pas accès à l'étude, vous pouvez télécharger le PDF sur ce site
[Thread]🧵La méthode scientifique montre que l'idée que le CO2 est à l'origine du réchauffement de la planète “peut être exclue car elle viole la condition nécessaire à cette direction causale.”
Démontrent 4 scientifiques qui ont réexaminé les conditions requises pour causalité.
La méthode scientifique, en revanche, exige des tentatives répétées et vigoureuses pour falsifier les hypothèses utilisées pour construire la théorie en question. La science climatique moderne fait souvent l'impasse sur ce processus.
Vous avez compris que le CO2 n'est pas un polluant, augmente la végétation entraînement un refroidissement, que les émissions humaines n'expliquent pas l'augmentation dans l'air, qu'il n'est pas un GES, que les nuages/soleil sont responsables des variations…
Vous comprendrez⤵️
Malgré ces énormes financements qui n'ont fait que croître depuis des années ainsi que leur développement intensif, elles ne produisent qu'une infime partie des énergies, sont un désastre écologique, ne sont pas sans carbone, pas fiable et pas bon marché…
"Il faut se libérer de l'illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale.
Cela n'a presque plus rien à voir avec la politique environnementale..."
Physique des transferts de chaleur dans l’atmosphère. Les principaux points de physique à comprendre y sont explicités dans ce PDF : veyres48.monsite-orange.fr/file/b3f779e13… (92 pages)
Conférence qui démontre la fragilité de la thèse du réchauffement climatique d’origine anthropique puis les raisons sociologiques profondes qui ont conduit la communauté scientifique à se compromettre dans le vaste plan de « réinitialisation » des sociétés
Entre 1950 et 1990, les émissions humaines de CO2 ont triplé (1,5 à 6 GtC/an), mais l'océan Arctique s'est refroidi de -1,5°C (via 27 000 profils de t° à l'échelle Arctique)
Les scientifiques ont convenu que cela violait les modèles physiques de réchauffement par effet de serre
Aujourd'hui, ils prétendent que cela ne s'est jamais produit.
L'explication vient des tendances globales de gradation qui ont atteint -8 W/m² des années 1950 aux années 1980 avant que le rayonnement solaire de surface n'augmente (éclaircissement) de +8 W/m² des années 1980 aux années 2000.
J Christy, spécialiste mondial de l'atmosphère, a téléchargé 102 modèles climatiques du GIEC, pas 1 seul n'est capable de toucher la cible, toutes les politiques sont basés sur des modèles qui surestiment les t° et ont tort à chaque fois, par rapport aux observations. (Suite⏬)
En 2013 le GIEC avait rapporté que 3 des 114 modèles CMIP5 « couvraient » avec précision les 15 années précédentes de changements de température. Trois, c'est "certains", d'accord.
Un taux d'échec de 98 % mais c'est anthropique parce que 2 % des modèles ont bien compris.🤦♂️
0 des 126 modèles ont obtenu le bon refroidissement de l'océan Pacifique.
7 des 49 modèles ont obtenu la bonne tendance à l'augmentation de la glace de mer dans l'hémisphère sud.
L'urgence climatique n'est pas étayée par des données, affirment 4 éminents scientifiques italiens.
4 scientifiques hautement qualifiés, Pr adjoint de physique G. Alimonti, l'agrométéorologue L. Mariani et les Pr de physique F. Prodi et R. Angelo Ricci⏬
Ils ont entrepris un examen approfondi des tendances climatiques historiques, ils ont examiné les données relatives à un large éventail de phénomènes météorologiques, et ont conclu que la déclaration d'une "urgence climatique" n'est pas étayée par les données.
Au cours de leurs travaux, les scientifiques ont constaté que l'intensité et la fréquence des précipitations sont stationnaires dans de nombreuses régions du monde. Les ouragans et les cyclones tropicaux évoluent peu sur le long terme, et il en va de même pour les tornades aux US