C’est bien entendu FAUX.
Le ministre le sait bien, mais c’est moins vendeur, l’étranger faisant l’objet d’une mesure d’éloignement. Quel qu’elle soit, ne négocie que D’UN (1) recours suspensif 1/
Ce recours a été prévu pour éviter les « erreurs » (oui vous vous Rappellez des anciens épisodes, l’administration se trompe assez régulièrement en émettant des OQTF).
Donc l’étranger a un pistolet à un coup pour se sauver
2/
En plus ce recours est accéléré par rapport au gens « normaux ». Là où on recours administratif classique prendra 18 mois pour être bien examiné et bien défendu, le recours de l’étranger doit être traité en 3 mois (si il est chanceux)
3/
S’il ne l’est pas il sera examiné en 48h …..
Vous vous imaginez vous, en conflit avec votre femme sur des violences dénoncées ou sur une garde d’enfants devoir vous préparer en 48h ? Non hein, si tel était le cas ce serait la révolution, bas pour eu si.
4/
Une étrangère mere de 2 enfants scolarisés, en France depuis 9 ans, faisant le ménage dans vos jolis bureaux avec contrat et déclarée, se fait arrêter un matin. Et pouf le lendemain ou le surlendemain elle joue sa vie au tribunal, parfois en ayant même pas pu aviser son époux
5/
Bref : aujourd’hui la législation sur l’éloignement est EXTRÊMEMENT dure et LARGEMENT suffisante pour éloigner.
Le problème est le manque de moyen (comme partout)
6/
La seule question que nous devons nous poser est la suivante :
Si le gouvernement a 5 milliards d’euros à dépenser entre :
- l’hôpital
- la justice
- l’emploi
- lé logement
- l’es étrangers
50% de la délinquance à paris est « étrangère »
C’est quoi la délinquance ? = les interpellations.
Prenons un exemple concret
1/
Contrôle identité banal dans une cité à Aubervilliers. 3 jeunes sont contrôlés et ne veulent pas car ils ne font rien d’autres que « glander là »
Le ton monte. Des copains arrivent et contestent. La tension monte et des interpellations tombent
2/
Tlm est arrêté pour « rébellion ».
Après 6h de cellule qui les a bien calmé tlm est libéré sauf celui qui refusait initialement son contrôle qui écopait d’une convocation chez le procureur.
3/