Thread by @voixducerbere

🚨Fil documenté avec #namedropping🧨 (dont des célébrités) sur le scandale des campagnes #Balenciaga mettant en scène symboles et références SM, pédopornographiques et pédophiles, qui sont loin d'être des accidents isolés.
Aimez et partagez car peu de médias en parlent🤫 (…)⬇️

La campagne #Balenciaga met en scène de jeunes enfants sexualisés par un ourson en tenue #BDSM (sadomasochiste) et de nombreux objets liés au #bondage (chaînes, cagoules, ruban adhésif) mais aussi de références satanistes (diable) ou pédophiles (lapin blanc, serpent). (…)⬇️

Gabriele #Galimberti, photographe de cette campagne, pointe les choix artistiques de #Balenciaga mais ne pouvait ignorer la signification de cette mise en scène. Il avait posté sur Twitter de manière ambiguë "Pourquoi restreindre la pédopornographie mais pas les armes ?" (…)⬇️

Ce qui est sûr, c'est qu'au-delà du photographe, il y a les choix du directeur artistique de #Balenciaga, le géorgien @DemnaGvasalia, dont le "mari" et DJ Loïk Gomez, dit #BFRND (@bfrndbfrnd), semble amateur de #bondage. (…)⬇️

Mais la plus forte influence de #DemnaGvasalia, sa "muse", c'est la russe #LottaVolkova, designer pour #Balenciaga jusqu'en 2018 et @Adidas, dont l'esthétique affichée sur son compte Instagram mêle #satanisme, sacrifices d'enfants, #gore, bondage. (…)⬇️

Autre exemple de l'obsession de ce milieu de la mode pour la symbolique des abus d'enfants, cette photo d'un bébé qui pleure (bandeau ajouté ensuite) en tenant une cannette "Liquid Death", postée par #ElizaDouglas, "artiste" américaine et mannequin star de #Balenciaga. (…)⬇️

Pour ceux d'entre vous qui pensent encore qu'il s'agit de coïncidences ou d'interprétations exagérées, voici une campagne #Balenciaga, publiée dans le même temps, ici la ligne Garde-Robe présentée par #NicoleKidman. Sur certaines photos apparaissent des détails troublants. (…)⬇️

Sur ces photos #Balenciaga de l'icône bobo #IsabelleHuppert, on peut déchiffrer le titre des livres placés sur le bureau. Dans "Fire from the Sun" Michaël #Borremans représente des enfants nus recouverts de sang et jouant avec des membres détachés. (galerie @DavidZwirner) (…)⬇️

Autre livre dans la pile : "The Cremaster Cycle" de #MatthewBarney, au sujet d'un cycle de films dont le titre vient du muscle qui recouvre les testicules, et qui, s'il ne montre pas d'enfants, mêle en revanche symbolisme, sexualité et macabre. Mais il y a plus explicite. (…)⬇️

Sur une autre photo de ce shooting #Balenciaga, on voit à côté de #KhadimSock un diplôme encadré. En zoomant, on voit le nom de John Phillip Fisher, un américain de 80 ans inculpé d'inceste sur sa petite-fille quand elle avait 4 ans. Mais le pire du photoshoot est à venir. (…)⬇️

Même campagne, sous un sac de la collaboration #Balenciaga x @Adidas, on voit un document dont on arrive à lire qu'il s'agit d'une opinion de la Cour suprême américaine : « Le large pouvoir de proscrire la pédopornographie n'est pas illimité. » (law.cornell.edu/supct/html/06-…) (…)⬇️

Pour cette campagne, #Balenciaga a menacé de procès l'agence de production #NorthSix et le décorateur #NicholasDesjardins avant de se rétracter, puisque que ces éléments correspondent au monde du directeur artistique #DemnaGvasalia. Si vous doutez toujours, un élément choc (…)⬇️

Dans un post Instagram de 2016 toujours en ligne, le directeur artistique de #Balenciaga #DemnaGvasalia se cite « #LottaVolkova, #GoshaRubchinskiy et moi avons grandi avec la pédopornographie et les radiations de Chernobyl, c'est pourquoi nous sommes si dérangés. » (…)⬇️

Malgré l'avalanche de preuves, ni #DemnaGvasalia ni le CEO #CedricCharbit (qui l'a embauché) n'ont été licenciés. Aucune star n’a rompu son contrat avec #Balenciaga, ni @KimKardashian, ni #IsabelleHuppert, ni #NicoleKidman sans doute habituée au scénario d'Eyes Wide Shut. (…)⬇️

La presse n'a fait que très modestement écho du scandale #Balenciaga avec un biais évident. Pour @MadameFigaro et @Artnet, il s'agit de complotisme d'extrême-droite (et l'on coupe une des photos fautives). Quel levier d'influence peut-il donc ainsi terroriser les médias ? (…)⬇️

Qui est le propriétaire de #Balenciaga ? @KeringGroup. Qui est le propriétaire de #Kering ? #FrançoisHenriPinault, marié à @SalmaHayek et son père François #Pinault.
Pourrait-on les soupçonner de cautionner l'imagerie pédopornographique ? Eh bien ce n'est pas impossible. (…)⬇️

La Collection #Pinault inclut des œuvres de Jake & Dinos #Chapman, qui vendent chez @ChristiesInc (propriété de @KeringGroup et Pinault) leurs statues d'enfants prépubères affublés d'organes génitaux sur le visage.
⚠️Partagez et postez votre conclusion sur l'affaire #Balenciaga !

De nombreux clients de #Balenciaga détruisent, découpent, brûlent leurs produits de la marque. Autre possibilité : les donner aux pauvres. Des manifestations ont lieu devant les boutiques. Le mouvement s’étendra-t-il à tout @KeringGroup ? Silence des #Pinault-Hayek pour l’instant

⚠️ Les derniers arguments de défense de #Balenciaga, #DemnaGvasalia et #CedricCharbit viennent de s’effondrer. Ils dénonçaient des erreurs externes (photographe, décorateur, etc.) or voici leur défilé Spring/Summer 2023 à Paris : un faux bébé et un sac d’affaires ensanglantées.

Incroyable mais vrai : le styliste responsable des choix artistiques de #Balenciaga, #DemnaGvasalia, qui reconnaissait sur son Instagram avoir été éduqué à la pédopornographie, venait d’être nommé par le président ukrainien Volodymyr @ZelenskyyUa « ambassadeur Ukraine Recovery ».

On attend toujours une prise de distance des "artistes" qui ont collaboré avec #Balenciaga : @KimKardashian, #BellaHadid, #NicoleKidman, #IsabelleHuppert, #Madonna, @DuaLipa, @PinkMartiniBand, @AyaNakamuraa
On attend aussi un message d’@Adidas, coresponsable d’une des campagnes. twitter.com/i/web/status/1…

Il n'y a pas que les "artistes" qui sont complices de #Balenciaga, il y a ces "médias" du microcosme parisien dont on se demande s'ils parlent sous l'influence de leur idéologie ou celle de @KeringGroup/#Pinault. @LeMondeFr ne voit ainsi que des "fake news" (…)⬇️

L'article est 100% à décharge. Lena Mauger, atteinte de cécité physique et mentale, ne voit que des objets de luxe, flûte à champagne, gamelle pour chien (l'absence de chien ne l'étonne pas), et des sacs "punk" mais ni cagoule ni collier à pointe ni ruban adhésif ni BDSM. (…)⬇️

Puis Lena nous informe qu'une petite fille (d'employé #Balenciaga) avait passé un "moment fantastique", comme si dès lors qu'il n'y a pas eu viol — encore heureux ! — l'utilisation de son image à son insu, dans un contexte de déviance sexuelle, n'avait pas d'importance. (…)⬇️

Pour Lena, ce qui est stupéfiant, ce sont les proportions de la polémique et non pas qu'un texte ayant trait à la pédopornographie ait "étrangement été glissé". Lena ne fait "étrangement" pas mention du nom du pédophile John Phillip Fisher ni du livre de Michaël Borremans. (…)⬇️

Dans les commentaires sur l'article, tandis qu'une moitié des lecteurs ignore naïvement les codes BDSM et parle d'obsession complotiste, l'autre moitié désavoue la rédaction. Qu'importe, @LeMondeFr ayant nié l'évidence, sera sans doute récompensé par une campagne de @KeringGroup.