1/14 "Puis-je déposer ma plainte?"
"Contre qui?"
"Le conseiller fédéral Alain Berset"
"Elle était choquée."
Pascal Najadi dépose une plainte pénale contre le ministre de la santé et futur président suisse!
Un fil qui résume le #bersetgate2.
Vidéo complète:
2/14 Reprenons. Alain Berset, conseiller fédéral suisse et en charge de l'Office Fédéral de la Santé Publique, déclare sur la télévision publique le 27 octobre 2021, un mois avant la votation sur la loi COVID, que le certificat COVID "permet de montrer qu'on n'est pas contagieux"
3/14 "Un mois avant la votation, cette déclaration a donné aux gens de l'espoir."
"Ils ont dit: "Super, on va aller se faire vacciner, et on obtient ce certificat, on pourra sortir de nouveau"
"On ne sera pas contagieux, on sera immunisé"
"Et bien sûr, ils ont voté oui à la loi!"
4/14 Mais il y a un petit souci: auparavant, le 3 août 2021, le Dr Virginie Masserey, experte au sein de l'OFSP du même Alain Berset, avait déclaré: "avec le variant Delta, le risque de transmission est analogue pour des personnes vaccinées infectées ou non-vaccinées infectées."
5/14 Donc: "Sa propre directrice de la section du contrôle des infections, dont le travail était de communiquer les données, (..) a confirmé que les vaccins ARNm ne marchent pas pour prévenir la transmission du virus."
6/14 "Nous sommes donc confrontés à deux déclarations contradictoires."
"Je présume que la déclaration de Virginie Masserey est correcte, parce que c'est étayé sur le plan scientifique."
"Par contre, la déclaration de Berset est une contre-vérité, pour ne pas dire plus."
7/14 Rappel: en effet, Anthony Fauci, directeur du NIAID (USA), l'avait également déclaré à la même époque, au moment de l'arrivée de Delta:
"Quand vous regardez le niveau du virus chez une personne vaccinée, c'est exactement la même chose que chez une personne non-vaccinée."
8/14 Rochelle Walensky, directrice du CDC (USA), elle aussi:
"Ce que (ces vaccins) ne peuvent plus faire, c'est de prévenir la transmission."
Bref, c'était un constat partagé à l'international au moment de la déclaration d'Alain Berset.
9/14 Conséquences de cette "contre-vérité"?
"Avec ce certificat, nous avons ressenti un faux sentiment de sécurité."
"Alors qu'en fait nous propagions le virus autant que les non-vaccinés."
10/14 Certains diraient que la protection contre le risque d'infection impliquait que les vaccinés restaient moins susceptibles de transmettre le virus que les non-vaccinés.
Oui, mais la protection n'était ni assez forte, ni assez durable pour justifier la déclaration de Berset
11/14 "Ces erreurs relèvent du code pénal."
"Abus de pouvoir, négligence, mise en danger."
"En utilisant le certificat, je mettais potentiellement les autres en danger."
"Mais les conséquences sont bien plus importantes car la loi a été acceptée en raison de ses déclarations."
12/14 "Nous avons des dommages psychologiques, des dommages physiques, des suicides."
"Nous avons un préjudice financier exorbitant."
"Une contre-vérité a été énoncée, et elle a eu des conséquences catastrophiques pour le pays."
"Tout le monde est égal devant la loi en Suisse."
13/14 "Nous devons veiller à ce que notre gouvernement, le corps démocratique, reste propre."
"Je crois en cette démocratie qui est unique."
"Le monde nous regarde: comment la justice et la démocratie suisse vont-elles gérer ces accusations pénales?"
14/14 Difficile de prédire le succès de la démarche de Pascal Najadi sur le plan juridique. Sur le plan moral?
Il est indiscutable qu'Alain Berset a prononcé une "contre-vérité", en exagérant les bénéfices des vaccins COVID, prenant le risque d'influencer une votation.
A suivre.
1/ On s'échauffe beaucoup sur cette nouvelle étude française Epi-Phare, qui montrerait que le risque de mortalité est réduit de 20 à 25% en cas de vaccination contre le Covid-19 selon @libe.
Cela relance les débats entre "pro" et "anti"
Que faut-il VRAIMENT en penser ?
2/ D'abord, c'est une étude de cohorte observationnelle rétrospective, donc sujette à de nombreux biais potentiels, qui est basée sur des données administratives françaises. Impossible, donc, de conclure à une relation causale (dans quelque direction que ce soit), ce que les auteurs reconnaissent.
3/ Cela étant, j'ai lu un véritable brouhaha de tweets critiquant ou défendant cette étude depuis quelques jours, avec, souvent, de la mauvaise foi et / ou des erreurs des deux côtés du débat. Je vais essayer de mettre en lumière ce qui me paraît, à moi, le plus problématique.
1/25 BOMBE SCIENTIFIQUE: transition de genre médicalisée, la fin d'une folie ?
le Département de la Santé US (HHS) publie un rapport de plus de 400 pages qui enterre officiellement le modèle de l'affirmation de genre chez les mineurs. C’est le Cass Review américain... en pire.
2/25 Le rapport est clair dès l’avant-propos :
La transition médicale pédiatrique est expérimentale et son potentiel de nocivité n’a pas été suffisamment étudié, en particulier à long terme.
Ils citent les restrictions déjà en place en Finlande, Suède, Norvège, UK.
3/25 Le HHS reprend les conclusions des revues systématiques indépendantes (Suède 2022, UK 2024, etc.) :
* Preuves de bénéfice des bloqueurs de puberté : très faibles
* Preuves de bénéfice des hormones sexuelles : très faibles
* Risques : élevés et sous-estimés.
1/ 💣Et si les études censées prouver l'efficacité des vaccins Covid-19 étaient complètement biaisées, et leur efficacité beaucoup plus faible qu'annoncée, passant de plus de 90% à... zéro dans certains cas?
C'est la thèse d'un grand épidémiologiste, @prof_shahar.
Explications:
2/ D'abord un rappel : les essais contrôlés des fabricants utilisés pour valider la vaccination massive du monde entier n'ont PAS mesuré l'efficacité ni sur la transmission, ni sur le risque d'hospitalisation ou de décès.
Cela semble surprenant, mais c'est vrai.
Mais alors...
3/ Qu'est-ce qui a servi de justification, aux yeux de nos autorités, pour nous inciter, voire, souvent, nous contraindre à nous vacciner ?
Réponse: des études beaucoup moins fiables, observationnelles, sujettes à un risque de biais bien plus élevé que les essais randomisés.
1/ 5 ans (!) plus tard, l'essai Principle sur l'hydroxychloroquine (HCQ) contre le Covid est publié. Sans surprise pour ceux qui connaissent Oxford, on y trouve petites manipulations et francs mensonges. @sudokuvariante s'est penché sur cet essai.
Que dire ?
D'abord...
2/ Rappelons que Chris Butler, l'auteur principal de Principle (huhu), a choisi d'inclure les patients au maximum 5 jours après le début des symptômes pour le Molnupiravir, un médicament qui rapporte des sous à l'industrie.
Pour HCQ et IVM, il choisit... 14 jours.
Le problème ?
3/ Quand on étudie un produit supposé antiviral, plus on le donne tard, moins il sera efficace. 14 jours après le début des symptômes, comme le savent tous ceux qui ont eu la Covid, on n'a plus tellement de virus actif (on était souvent ou bien 100% guéri ou bien mourant...).
1/23
Mon interview par @Antithese_Media est disponible sur YouTube.
(lien vers la vidéo complète au bas du fil)
"Nous sommes en 2025, cinq ans après le début de la pandémie.
Et si on faisait le bilan ?"
Mais d'abord, une question: d'après vous...
...🧵 ...
2/23 ...Quel aura été le mythe le plus toxique concernant la crise du Covid-19?
Pour moi, c’est celui selon lequel il n’existait qu’un seul récit “sensé”, celui que nous ont servi autorités politiques et médias traditionnels.
3/23 Un récit qui parlait d’un virus d’origine strictement naturelle, “comme son génome le prouve” (Le Monde), d’une épidémie terrible, d’un nombre de morts “jamais vu depuis 100 ans” (RTS),
1/ Un article dans la toute nouvelle revue Journal of Independent Medicine inaugure une série d'examens critiques de publications favorables aux vaccins Covid. Ce premier papier se penche sur la célèbre étude "les vaccins ont sauvé 15 millions de vies", Watson et al.
🧵⬇️
2/ Premier souci : la façon de calculer l'efficacité des vaccins est potentiellement biaisée. Des méthodes de "fenêtre de comptage" (biais Fenton) auraient pu surestimer les bénéfices et la sécurité des vaccins.
3/ L'étude critiquée n'a pas non plus tenu compte du fait que l'efficacité des vaccins diminue rapidement, jusqu'à même devenir négative à long terme selon une dizaine de publications.