Il persiste un incroyable malentendu à propos des réformes dans la société Française. En effet, le mot lui-même signifie "Changement, amélioration pour obtenir de meilleurs résultats". Que ce soit en technologie, ou pour les lois sociales, elles sont en perpétuel aménagement.
Chaque réforme n'est jamais définitive, elles traduit une volonté d'adaptation aux multiples paramètres qui l'influencent. Question: pourquoi il existe en France des gens que le simple mot "réforme" donne de l'urticaire? Serait-ce un besoin de faire les fous dans la rue?
Serait-ce la nécessité de toujours faire croire que la société repose sur des conflits permanents en affirmant que seuls ces conflits font avancer la société? Pourtant ne nombreux pays pratiquent la négociation sans envahir les rues non?
Serait-ce le moyen détourné de parvenir au pouvoir sans passer les étapes difficiles qu'impose la démocratie: convaincre, déployer un programme et franchir la barrière des élections. Il existe en France deux partis extrêmes qui en sont bien capables, quitte à couler le bateau.
Les #Extremes ont toujours combattu le #réformisme et nous bassinent de "solutions radicales" qui sont toujours extraordinairement violentes et délétères. En parcourant l'histoire, il est évident que vouloir faire "table rase", tout changer, aboutit à ce que rien ne change.
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Le mot "justice" a une grande influence dans le discours politique et je ne vois pas pourquoi celui sur les #Retraites y échapperait. Quand on analyse l'historique des retraites en France, on s'aperçoit que cette justice a été bafouée dès le début:
Décidée pour les marins seulement par Colbert en 1673 puis pour les fonctionnaires de 1831 à 1928, la première caisse de retraite des fonctionnaires de l’État a été mise en place en 1790, aux lendemains de la Révolution. Les autres on été complètement mis de côté.
Le premier régime de retraite obligatoire dédié aux salariés qui percevaient plus de 15 000 francs par an a été mis en place en 1930, mais le régime par répartition est né en 1945 et inclus dans les ordonnances établissant la sécurité sociale. Les complémentaires sectorisées:1947
#Retraites : Alors qu'elles moisissaient au fond de leur panier, l'#ExtremeGauche ressort les vieilles lunes qu'elle avait piquées aux marxistes: 1) Les riches doivent payer les retraites: ils le font déjà !
- Les salaires>250 000€ ne percevront que 40% de leur salaire
- Les SMIC en toucheront 80%
- Les revenus moyen 78% 2) La réforme est injuste: elles l'est déjà en pire:
- La retraite des salariés du privé est calculée sur les 25 dernières années, les fonctionnaires c'est les 6 derniers mois
- Les régimes spéciaux RATP SNCF EDF sont injustes
Lorsqu'il a fallu "négocier" branche par branche un nombre incalculable d'exceptions et de privilèges issus de la royauté et poussés par des syndicats au pouvoir exorbitant, personne n'a réalisé l'injustice qu'ils provoquaient dans une société reconstruite à plusieurs étages
Nous avons cru que la sécurité du monde était assurée par la dissuasion nucléaire mais cela fait maintenant 70 ans que les grandes puissance utilisent cette dissuasion pour arracher indument des droits, des influences et des territoires nouveaux.
La volonté Américaine de quitter le rôle de gendarme du monde a complètement libéré la Russie de ses velléités expansionnistes et impérialistes. Elle s'est attaquée à ses voisins par petits bouts suivant un modèle Hitlérien pour finir par attaquer un plus gros morceau: l'#Ukraine
Parce que nous avons cédé à la terreur d'un ours qui pourtant grognait comme un dindon, nous n'avons pas bougé. Nous savons désormais que si un pays s'en prend militairement à un autre, le monde doit réagir dans l'heure avec des moyens assez puissants pour le renvoyer chez lui.
Nous sommes objectivement contraints à réformer sans cesse car la vie n'est pas figée. Nos décisions dépendent d'un ensemble complexe de facteurs qui changent constamment. Les retraites par répartition dépendent du nombre d'années de cotisation, de la productivité, mais aussi:
De la performance de l'argent placé en notre nom, du nombre de cotisants pendant toute la période de cotisation, du nombre de retraités arrivés à destination et enfin des possibilités financières d'un État chargé de compenser les caisses en difficulté. Ce n'est pas rien.
Un jour, il faudra bien que ce système par répartition, apparemment beaucoup moins performant qu'un système par capitalisation soit confié à un organisme indépendant consensuel qui assure les ajustements sans faire appel à la bienveillance de l’État.
Le prix ttes catégories de l'argument le plus fallacieux, dégueulasse et pourri des opposants à la réforme des retraites: "25% des plus pauvres seront morts avant 64 ans". Ils seront morts de ne pas avoir de boulot ducons ! Ce n'est donc pas le travail qui les tue mais la misère!
J'avais affirmé que nous allions subir une pluie incessante de conneries pour essayer de justifier le bazar que ces factieux vont organiser à cette occasion, nous y sommes ! L'#ExtremeGauche, main dans la main avec l'#ExtremeDroite vont tenter leur "révolution" en carton.
L'#ExtremeGauche vient d'accumuler les bévues et les scandales depuis près de deux ans, ils passent sous le tapis les agressions sexuelles de leurs dirigeants, ils foutent des baffes à leur femme, ils organisent des élections "à l'unanimité" sans vote et il faudrait les suivre?
Les journalistes et les "commentateurs" nous rabâchent que les Français attendraient d'un parti politique qu'il nous construisent un "récit", une "histoire future". Mais est-ce vraiment ce que l'on demande? je ne le crois absolument pas, pourquoi?
Notre passé commun est constellé de "visionnaires" hallucinés, paranoïaques ou délirants qui ont provoqués des cataclysmes, des guerres et des massacres d'une ampleur inédite. Hitler l'a écrit dans "mein kampf", Staline en a fait une sorte de bible communiste et Pol Pot aussi.
Personne n'y croit, mais #Poutine a théorisé ses guerres: tout était présent dans tous ses discours depuis le début. Une sorte de croisade visant à restituer un empire perdu pas les tsars. La Chine se prépare à dominer le monde au nom d'un communisme éclairé par le commerce.