Point factuel : une somme d'études ont analysé la qualité nutritionnelle des œufs, qu'ils soient issus d'élevages bio, plein-air, ou de batterie.
Leur verdict ?
Le mode de production n'influe quasiment PAS sur le goût, ni sur les qualités nutritionnelles du produit. ⤵️
D'abord, parce que les poules pondeuses sont globalement issues du même fond génétique, de souches plus ou moins robustes. Les mêmes gènes, logiquement, produiront les mêmes oeufs. Ensuite, parce qu'elles sont nourries de la même manière...
65% à 75% de céréales, des protéagineux, des minéraux… Seule l'origine des produits (bio ou non-bio) peut varier, sans effet sur la composition des œufs.
Nutritionnellement, les différences sont minimes: quelques très faibles variations dans la teneur de certains acides aminés.
Bref : consommer des œufs issus d'élevages responsables est une affaire d'éthique.
Cet argument devrait suffire... !
Car il n'y a pas le moindre avantage santé. #MangezDesOeufs #BonneJournée
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Cet extrait est positivement effrayant.
Mme @laernoes, qui ne connaît visiblement pas la centrale de Palo Verde, qui tourne depuis 1976 en plein désert d'Arizona, mélange tout, et fabrique un problème à partir de... rien.
Aidons-la à clarifier quelques notions... ⤵️
Mme @laernoes confond prélèvement et consommation. En effet, l'eau utilisée pour refroidir les centrales thermiques est brièvement détournée du fleuve, mais restituée presqu'immédiatement à son milieu naturel. Ainsi, sur les 21 milliards de m3 prélevés pour refroidir...
les centrales (nucléaire ET charbon et gaz), seul 1,3 milliard de m3 ne retournent pas dans leur milieu naturel : cette eau s'évapore, et sera donc rendue ailleurs. On dit qu'elle est CONSOMMÉE, c'est-à-dire sortie du milieu où on l'avait prélevée.
Le chef d'état-major de la Marine nationale a fait, pour la première fois dans l'histoire, une visite remarquée au Salon de l'agriculture.
Dans un monde bouleversé par les crises sanitaire, militaire, climatique, repenser notre logiciel est urgent... w.lpnt.fr/2510639t
Car si on a beaucoup parlé, l'été dernier, du risque de famines que faisait peser dans de nombreux pays l'arrêt brutal des exportations ukrainiennes, une superpuissance agricole qui fournit 12 % du blé et 16 % du maïs mondial, on sait moins à quelles conditions elles ont repris..
... et les menaces que font peser sur la sécurité mondiale cette nouvelle donne géostratégique.
Merci à @sebastien_abis pour avoir braqué le projecteur sur ce sujet vital, et passionnant.
1/10 Argument très exactement contraire aux faits : la SORTIE du nucléaire, c'était la dépendance à la Russie et aux pétromonarchies du Golfe, comme l'a démontré l'allemagne.
Thread succint de rappel des faits, sur le mythe de la dépendance à la Russie du nucléaire français. 👇
2/10 La France maîtrise chaque étape du cycle du combustible. Si elle n'exploite plus ses propres gisements d'uranium, pas un gramme ne provient du sol russe… Les quelque 7 000 tonnes d'uranium naturel extraites chaque année pour alimenter le parc Français proviennent...
3/10 d'un portefeuille diversifié : Kazakhstan, Canada, Australie, Niger… La Russie ne serait pas d'une grande aide, puisqu'elle ne dispose que de 6% des réserves mondiales d'uranium.
La France n'est pas NON PLUS dépendante de Moscou pour enrichir cette matière première,
On rappellera, pour les sots qui applaudissent, que la betterave sucrière ne fleurissant JAMAIS, il est improbable que les abeilles la butinent.
Mais ce n'est pas grave : la CJUE a décidé que l'Europe importerait désormais son sucre du Brésil, de Thaïlande, d'Inde...
Un sucre extrait de champs de cannes arrosées de néonicotinoïdes, puisqu'ils restent autorisés partout, hors Europe. La seule également qui avait imposé un cadre d'usage drastique.
Il n'existe pas, à ce jour, d'alternative aux néonicotinoïdes. On a cherché, cherché...rien trouvé.
L'édition génétique, la piste la plus prometteuse, est aussi interdite en Europe (personne ne comprend pourquoi, mais c'est mal, disent les décroissants et les néo-millénaristes.)
En l'absence d'alternative, donc, personne n'ira désherber à la main sous les feuilles de betterave
@le_mmonnier Mais de quoi parlez-vous ? C’est un fait historique parfaitement documenté ! Lorsque le programme Messmer est lancé en 1974, la CFDT se structure autour des mouvements alternatifs et antinucléaires, à l’inverse de la CGT (cf. l’historien de l’énergie Yves Bouvier. À la recherche
@le_mmonnier d’alliés en 1979, François Mitterrand s’en rapproche. Bernard Laponche, architecte de la ligne antiatome de la CFDT, rejoint sa campagne et vivra comme une « trahison », dira-t-il, la mise à l’écart des antinucléaires après l’élection.
Pour consoler ses soutiens, Mitterrand crée
@le_mmonnier l’Agence française pour la maîtrise de l’énergie (AFME) – rassemblant notamment l’Agence pour les économies d’énergie et le Commissariat à l’énergie solaire – et la dote de moyens importants pour réfléchir à un nouveau modèle de société, basé sur la sobriété… Bernard Laponche
Une valse de fake news, l'air de ne pas y toucher..
-> L'usage d'antibiotiques en prévention est interdit, en France. Si cet éleveur (anonyme, c'est pratique) le fait, il est hors la loi.
-> PERSONNE en France ne mange de viande "bourrée d'antibiotiques", JAMAIS. C'est impossible
: les animaux traités sont sortis du circuit. La loi est claire, et les contrôles drastiques. Laisser croire l'inverse à vos auditeurs est de la désinformation, @franceinter.
- Pour info, la France est pionnière dans le suivi de l'exposition des animaux aux antibiotiques....
Resapath, le réseau d'épidémiosurveillance de l'antibiorésistance des bactéries pathogènes animales, est un formidable réseau d'experts, qui n'a pas ici été consulté (c'est dommage...)
Ses données sont pourtant publiques. Elles établissent que...