Petit point d'étape sur la #pétition citoyenne pour la dissolution de la #BRAV-M («Ni voltigeurs, ni répression du peuple»). Plus de 180.000 signatures en moins de 6 jours. [1/4]
Alors, si on en croit ce croquis officielle, la dite pétition devrait être mise en ligne sur le site @AssembleeNat (cf. sous le point 1) «pour plus de visibilité». [2/4]
La voyez vous ? [3/4]
(non)
Pour rappel: à 500.000 signatures, la pétition doit être débattue dans l'hémicycle. [4/4]
Ça se confirme. George Lucas à la manœuvre. Sur Insta, un ex-policier révoqué se vante d'être une des cagoules (copies d'écran faites à l'instant). Mais attendez...
Quand les gardiens de l'ordre génèrent le désorde. Médiapart révèle l'envers du décor: les consignes folles en salle de commandements, les ordres sur les ondes radio. Dévastateur.
Dans le collimateur: Alexis Marsan, 49 ans, directeur adjoint la DOPC (direction de l’ordre public et de la circulation à la @prefpolice , a été à la manœuvre depuis 2018 dans la gestion de la plupart des manifestations dites sensibles (dont Gilets Jaunes)
Le deuxième, Paul-Antoine Tomi, 53 ans, commissaire, chef d’état-major adjoint à la DOPC, ex-dirigeant de la brigade motocycliste de la @prefpolice «avant de gravir les échelons malgré un certain passif» écrivent @p_pascariello et @SarahBrethes
Aujourd'hui, c'était le procès à Paris du commandant divisionnaire Dominique #Caffin. Le 20 avril 2019, seul «le chef» (à l'audience, l'homme a insisté sur son rôle de chef, et c'est bien le problème) a foncé sur Mélanie @n_gaham ⤵️
Un cas d'école de la fabrication de l'impunité et du déni, sous l'œil complaisant du Parquet, et d'au moins un des trois juges (sachant qu'un dormait à moitié, ça nous en laisse un, une en l'espèce, à peu près bien).
D'abord, le chef #Caffin est venu en tenue d'apparat. En uniforme.
La juge, celle qui ne dormait pas, et qui était la moins complaisante des trois, s'est dite «étonnée».
D'ordinaire, les policiers comparaissent comme tout le monde: en civil.
Bouhafs, à propos des «gestes techniques» de Benalla (pour reprendre l'expression de Bennalla lui-même):
- J'ai été surpris de cette violence. Pourquoi il lui a mis une patate comme ça, à Georgios ?
Il ajoute:
- Je savais pas quoi faire...
..La seule chose que je pouvais faire, c'était filmer. Dès qu'il m'a vu, Alexandre Benalla est parti.
(ce que conteste l'intéressé qui assure, plutôt, avoir tenté de retrouver un OPJ de la @prefpolice pour embarquer Georgios et Chloé).
Bientôt 20h, fin des débats, l'écran géant remonte gentiment se cacher dans le plafond, et chacun rentre chez soi, libre et fatigué.
Procès #Benalla@benallaoff . J’ai passé la journée au tribunal. Aujourd’hui, c’était le grand jour. La vidéo de @T_Bouhafs place de la Contrescarpe, 1er mai 2018. Je vous raconte dans la soirée.
Marrant, instructif et politique.
14h, l'huissier de justice a beau être fort aimable, le règlement, c'est le règlement: pas question de garder le téléphone allumé. Ça, c'est pour les avocats et la presse (avec cartes). D'où le décalage de ce live-tweet, réalisé dans les conditions du direct. Mais en différé.
Sur les bancs des accusés: Vincent Crase, alors employé par @enmarchefr, et comparse de Benalla. Sur les vidéos de l'époque, c'est l'homme au crâne chauve et aux lunettes noires. Aujourd'hui, il n'a pas ses lunettes.