Depuis plus de 6 ans, on devrait, dans un pays à peu près normal, mettre le problème de la violence sur la table, sérieusement, fermement. Je parle d'une violence générale de tous les secteurs de la société. Or, il n'en est rien: juste des "sociologues", pas d'enquête, rien.
De tous les côtés, par tous les #Medias réunis dans un élan moutonnier, on ne parle que "violence policière", comme si notre vue était subitement borgne ou qu'un cache voilait une grande partie du problème. Et là, normalement, nous devrions ressentir une alarme: on nous manipule!
Nous ne sommes pas idiots à ce point: les images nous parlent de gens qui viennent dans la rue pour en découdre, qui s'avancent crânement vers la police, la provoquent, lancent des coktails Mototov. Derrière y'a un abruti qui lance un slogan imbécile: "tout conflictualiser".
Quant aux #GiletsJaunes" on sait parfaitement qui était derrière tout cela: l'#ExtremeDroite", non pas parce que on a envie de pointer le doigt sur elle, mais parce que toutes les têtes de file ont été reconnus d’Extrême-droite et les eLpen ont reçu le soutien du #Kremlin.
On peut parfaitement discuter de l'utilité ou non des #LBD mais comment va t-on exiger de l'#ExtremeGauche qu'elle cesse ses slogans imbéciles et qui encouragent ouvertement les affrontements? Comment va t-on exiger un autre comportement de #LFI dans les assemblées?
Comment va t-on exiger des deux #Extremes de rompre solennellement leurs liens troubles avec Moscou? Il y a manifestement trop de gens qui profitent de la violence. Oui nous avons urgemment besoin de tout mettre sur la table sans rien omettre du problème.
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