Thread by @jgalt485

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Un tout petit 🧵sur Bud Light, le wokisme, la rage des femmes face à leur éviction de la société par les trans et hommasses. Avec une spéciale dédicace pour @Margueritestern @sandrousseau et le petit @CBeaune 🤣

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La problématique est partie de #DylanMulvaneyIsAMan qui a été choisi par les marques Bud Light et Nike, pour faire la publicité de leurs produits. Sauf que #DylanMulvaneyIsAMan prétend être une petite femme des années 50 pour, avec moultes simagrées, faire vendre les produits

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des Big Corp amércaines, tout en permettant à ces Big Corp de satisfaire aux exigences des scores ESG qui régentent les politiques DEI (Diversity Equity Inclusion), exigés en vertu de l'agenda 2030 poursuivi par ces multinationales. Mais tout cela, vous le savez très bien,

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@Margueritestern @sandrousseau et le petit @CBeaune .
Voilà qui est réellement #DylanMulvaneyIsAMan :

tiktok.com/@dylanmulvaney…

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Et voilà la réalité de ce que subissent ainsi les femmes, @Margueritestern et @sandrousseau :

Si un homme cherche à humilier une femme qu’il rencontre, rien n’est plus facile que de réduire son apparence à une simple caricature. Les hommes le font directement devant la femme

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qu’ils visent : ils haussent la voix au point d’être stridents, exagèrent les gestes de leurs mains, mettent en avant de faux seins, tortillent leurs fesses, font les gros yeux et se tripotent les cheveux. La plupart de ces hommes limitent leurs railleries

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à la femme qui se trouve en face d’eux, et celle-ci ressent et manifeste souvent une juste rage. Cependant, lorsqu’il s’agit de Dylan Mulvaney, l’utilisateur de Tik Tok devenu célèbre pour ses parodies grotesques de femmes, les femmes

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ne sont pas censées réagir de manière critique. Elles sont considérées comme cruelles ou "transphobes" si elles expriment leur agacement face à une insulte aussi grossière.

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En mars 2022, Dylan Mulvaney a trouvé un moyen d’élever d’un cran son mépris à peine dissimulé pour les femmes, avec le succès que l’on sait. Après que sa carrière d’acteur musical se soit arrêtée à cause de la pandémie Covid, les gens trouvant quotidiennement du réconfort

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sur Tik Tok, #DylanMulvaneyIsAMan a inventé un nouveau rôle qui garantissait sa richesse et son succès futurs. Il a annoncé qu’il se lançait dans une démarche pour "être une fille" et a commencé une série de vidéos documentant cette notion ridicule.

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Peu avant cette "transition" très publique qui a duré un an, M. Mulvaney a réalisé une vidéo pilote pour son activité lucrative actuelle. Dans cette vidéo, il explique au spectateur qu’il "a du mal à trouver des rôles" et qu’un ami lui en a donc inventé un,

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un "personnage de femme". Son personnage porte une robe rose et des perles, des gants blancs et des chaussettes à la cheville. À ce stade, Mulvaney a dû être ravi d’entrevoir une nouvelle carrière potentielle.
tiktok.com/@dylanmulvaney…

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Il a été très avisé de prolonger et de développer cette caricature de femme des années 1950. Aujourd’hui, un peu plus d’un an plus tard, #DylanMulvaneyIsAMan a conclu des "partenariats" très bien rémunérés avec un certain nombre d’entreprises, dont Budweiser, Kate Spade

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et, tout récemment, le géant du vêtement de sport Nike.
Dans une vidéo incendiaire d’un partenariat rémunéré avec Nike, Mulvaney, pieds nus et au sourire inepte, porte un soutien-gorge de sport et un legging Nike.
dailymail.co.uk/news/article-1…

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Il exécute une série de mouvements ridicules, notamment des étirements latéraux comiques, une course théâtrale en levant les talons de manière absurde et des high kicks ratés. À un moment donné, il manque de tomber à la renverse dans une haie et prend une expression comique

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de choc. Tout cela a l’air ridicule. Il se moque des femmes en suggérant qu’elles font de l’exercice de manière triviale et inefficace, tout en souriant.
Les médias mainstream ne semblent pas vouloir se concentrer sur les véritables raisons de la colère de nombreuses femmes.

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Ils se sont plutôt attachés à dire que les objections au parrainage sont dues au fait que Dylan est transgenre. Ce n’est pas la raison pour laquelle les femmes sont indignées. Lorsqu’un homme "joue à la femme" devant des femmes à un degré aussi humiliant, lorsqu’il s’agite

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et se trémousse en laissant entendre que la faiblesse et la sottise sont inhérentes au fait d’être une femme qui fait du sport, les femmes le voient à juste titre comme la misogynie délibérément construite qu’il est.

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L’utilisation des stéréotypes féminins est à la base du rôle de #DylanMulvaneyMocksWomen .
"J’ai déjà pleuré trois fois, écrit un courriel cinglant que je n’ai pas envoyé, commandé en ligne des robes que je ne pouvais pas m’offrir et quand quelqu’un

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m’a demandé comment j’allais, j’ai dit" je vais bien" mais je n’allais pas bien. Comment j’ai fait, mesdames ?

tiktok.com/@dylanmulvaney…

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Tout cela résume le stéréotype de la femme fragile émotionnellement, frivole et dépensière, imprudente en matière de vêtements et inepte financièrement. Dans le stéréotype qu’interprète Dylan, les femmes suppriment régulièrement leurs émotions et s’efforcent d’être toujours

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polies. Il s’agit d’une représentation archaïque du comportement féminin requis, qui a été gravée dans la conscience des femmes pendant des décennies. Il a fallu des décennies supplémentaires aux féministes pour démanteler cette vision de la "féminité".

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Dylan Mulvaney est en train de la reconstruire sous nos yeux.
Dans d’autres vidéos, on voit Mulvaney courir faiblement dans une forêt et tomber en talons hauts, l’idée étant que les femmes sont des personnages instables, faibles et pathétiques qui ont peur des mouches.

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Ce message à peine déguisé est omniprésent dans nombre de ses vidéos.
tiktok.com/@dylanmulvaney…

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Dans une autre, il parle de ses "nichons" comme de ses "copines" et vante le beurre de karité qu’il va leur appliquer.
A SUIVRE
tiktok.com/@dylanmulvaney…

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