Ça sera avec des photos, il faut qur je voie comment numériser le tout.
Voici le début.
Suite.
Et fin.
Je n'ai pas eu le temps de le lire. Sans surprise ça à l'air un classique: une réponse molle (c'est ce que les jurys attendent en général) du style "la démocratie est bien mais ne tient pas ses promesses idéales donc il faut l'améliorer"
C'est là où je trouve touchante la conclusion:
"Formation et morale des élites [...]. Les français *doivent avoir l'impression* qu'ils suivent l'intérêt général [...]"
Deuxième point touchant: Rosanvallon est la lecture incontournable (avec B. Manin).
Qui vient de dire ça à l'ancien professeur de culture G:
Au fond on aurait dû commencer à s'inquiéter avec les arrêtés préfectoraux illégaux d'une façon évidente (ou les GAV abusives ou l'utilisation des armes dangereuses en dehors de la loi).
Cette histoire de CP est un plutôt un signe de décadence mais finalement plus banale pour le citoyen.
Et pour ceux qui me connaissent je pense qu'il fallait s'inquiéter à partir du moment où on a commencé à faire n'importe quoi avec les droits des supporters.
Oubliez les évolutions pendant la crise du COVID.
Le changement sectoriel induit pendant les périodes avec des fermetures administratives ont biaisé l'activité vers des secteurs à forte productivité.
Ce qui nous intéresse ici c'est la comparaison fin-2022 et début 2019.
Peut-on expliquer cette baisse par un moindre effort de la part des travailleurs (ici je suis sur un champ salarié + emploi non salarié)?
Jour de publication des comptes détaillés du T4, jour de mise à jour de mes graphiques préférés pour parler du moment.
L'EBE de l'énergie, la raffinerie et des services de transport restent toujours à un niveau important dans la VA nationale (5,9 pts, contre 1,7 pré-covid)
La part des services de transport reflue (2,8 après 3,4 au T3) mais la contribution de l'énergie au sens strict augmente fortement (l'EBE du DE augmente de 8 milliards), l'EBE de la raffinerie recule légèrement (-0,5 md)
La stabilité du taux de marge macro (par rapport au T4 2018) masque l'explosion du taux dans l'énergie (DE), la raffinerie (C2) et les services de transport (HZ).
Si j'omets des petits secteurs la baisse est forte dans la fabrication de matériels de transport (C4).
[Opinion perso] Je vois des gros efforts dans la com gouvernementale pour accabler la Nupes,m tout en donnant des éloges républicaines à l'extrême droite.
Si on pense que le(s) prochain(s) ballottage(s) opposera(ont) LREM-FN, on est d'accord que c'est complètement con.
Je ne parle pas de la sagesse ou pertinence d'une telle stratégie d'un point de vue politique et morale, juste stratégique.
Déjà ça peut affaiblir le barrage (via l'abstention au 2nd tour) ou pire à force de dire que la gauche a plus de proximité avec l'ext-D avec la confusion régnante certains électeurs risquent de franchir le pas (égarés par les débats publics).
Je commence par ce 1er graphique sur l'investissement total en % de la VA (disons le PIB pour simplifier).
Il ne faut pas être un grand expert pour voir que la France se distingue par l'importance quantitative de son investissement par rapport à son activité
Mis à part le trimestre du 1er confinement le taux d'investissement français a été assez constant dans sa progression. Et pendant le confinement c'est avant tout la construction de nouveaux bâtiments (résidentiels ou pas) qui a très lourdement peser sur l'évolution
Le 31 août @InseeFr a publié les résultats détaillés du T2 2022.
Cette publication montre une croissance du PIB trimestriel de 0,5 % (chiffre qui confirme la 1ere évaluation) mais qui intéresse particulièrement les économistes car il donne une image des comptes d'agents. [1/15]
A la lecture de la publication vous pouvez apprendre la forte baisse du pouvoir d'achat des ménages (-1,2 % après -1,8 % par unité de consommation).
Cette évolution montre bien que la dynamique des salaires ne suit pas celle des prix à la consommation.
Ceci va de pair avec l'amélioration du taux de marge des sociétés non financières à 32,2 % de leur VA.
Malgré la hausse du taux de marge, leur niveau reste
inférieur à celui qui prévalait avant COVID.