«C'est un travail de fond qui n'a pas vocation à documenter les #violencespolicières». Celles-ci sont pourtant le problème «de fond», monsieur le sénateur @Jeromedurain
@Jeromedurain@franceinfo Par ailleurs, contrairement à ce que vous déclarez sur l'antenne de France Info: il y a bien eu une nasse place de la Nation hier soir.
Elle a duré deux bonnes heures. Quant à la «retenue» que vous évoquez, serait-elle dûe à votre présence dans les rangs de cette BRAV-M?
@Jeromedurain@franceinfo Pendant ce temps, une autre Brav-M (si vous le souhaitez, vous pouvez remonter le thread en question, qui traite du #RIO)
On peut saluer le service de com de la @prefpolice : le senateur-qui-a-rien-vu-sur France Info le matin, chez Grandes Gueules à midi, BFM le soir, c’est le Grand chelem.
La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté @CGLPL dénonce "une instrumentalisation des gardes à vue à des fins répressives": "interpellations violentes", "fouilles systématiques en sous-vêtements", "conditions indignes" francetvinfo.fr/societe/prison…
A l’instant, Dominique Simonnot @CGLPL vient de déclarer que le @Interieur_Gouv lui a répondu à minuit: « vous excédez vos compétences ». Visiter les cellules de GAV est pourtant bien le propre de la mission de la Contrôleuse générale des lieux de privation.
Ça se confirme. George Lucas à la manœuvre. Sur Insta, un ex-policier révoqué se vante d'être une des cagoules (copies d'écran faites à l'instant). Mais attendez...
Petit point d'étape sur la #pétition citoyenne pour la dissolution de la #BRAV-M («Ni voltigeurs, ni répression du peuple»). Plus de 180.000 signatures en moins de 6 jours. [1/4]
Alors, si on en croit ce croquis officielle, la dite pétition devrait être mise en ligne sur le site @AssembleeNat (cf. sous le point 1) «pour plus de visibilité». [2/4]
Quand les gardiens de l'ordre génèrent le désorde. Médiapart révèle l'envers du décor: les consignes folles en salle de commandements, les ordres sur les ondes radio. Dévastateur.
Dans le collimateur: Alexis Marsan, 49 ans, directeur adjoint la DOPC (direction de l’ordre public et de la circulation à la @prefpolice , a été à la manœuvre depuis 2018 dans la gestion de la plupart des manifestations dites sensibles (dont Gilets Jaunes)
Le deuxième, Paul-Antoine Tomi, 53 ans, commissaire, chef d’état-major adjoint à la DOPC, ex-dirigeant de la brigade motocycliste de la @prefpolice «avant de gravir les échelons malgré un certain passif» écrivent @p_pascariello et @SarahBrethes
Aujourd'hui, c'était le procès à Paris du commandant divisionnaire Dominique #Caffin. Le 20 avril 2019, seul «le chef» (à l'audience, l'homme a insisté sur son rôle de chef, et c'est bien le problème) a foncé sur Mélanie @n_gaham ⤵️
Un cas d'école de la fabrication de l'impunité et du déni, sous l'œil complaisant du Parquet, et d'au moins un des trois juges (sachant qu'un dormait à moitié, ça nous en laisse un, une en l'espèce, à peu près bien).
D'abord, le chef #Caffin est venu en tenue d'apparat. En uniforme.
La juge, celle qui ne dormait pas, et qui était la moins complaisante des trois, s'est dite «étonnée».
D'ordinaire, les policiers comparaissent comme tout le monde: en civil.