L’objectif de ce thread est de résumer toutes les observations et mesures disponibles relatives au paradigme du GIEC et de remettre en question tous les aspects de l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique (qui n’a jamais été confirmée par une seule expérience).
I. Corrélation
Le GIEC utilise la corrélation entre le CO2 et la température des données de Vostok pour étayer sa théorie, mais l’examen approfondi des données montre que les changements de température précèdent ceux du CO2 de ~800 ans, non pas l’inverse. history-of-geo-and-space-sciences.net/2021-05-26_hgs…
Une règle cardinale en science est de rejeter une hypothèse qui contredit clairement les résultats expérimentaux dont elle est censée rendre compte. Comme les causes ne retardent pas les effets, le CO2 ne peut pas être à l’origine du réchauffement. elsevier.com/books/evidence…
Les implications des données de Vostok, ainsi que les récentes mesures effectuées, montrent que le CO2 est en retard sur la température et donc qu’elles ne correspondent pas au paradigme proclamé du GIEC, qui devrait, comme le veut la science, être rejeté.
Le concept du GIEC selon lequel l’augmentation du CO2 provoque le réchauffement est donc obsolète et incorrect. Il y a eu peu, voire aucune corrélation entre l’augmentation du CO2 et l’augmentation de la température au cours du siècle. setpublisher.com/pms/index.php/…
Les données relatives au CO2 montrent une augmentation continue à partir de 1958, tandis que la tendance de la température est à la baisse de 1958 à 1978 (corrélation négative). De 1998 à 2013, la tendance de la température est plate (pause sans corrélation), idem de 2015 à 2023.
II. Contribution de l’homme au CO2 atmosphérique
De nombreux défenseurs du changement climatique d’origine humaine, y compris GIEC, prétendent à l’aide de modèle du cycle du carbone que le CO2 anthropique durerait des siècles dans l’atmosphère. Comparons avec les observations.
L’étude la plus fiable sur la durée pendant laquelle les émissions humaines de CO2 peuvent s’accumuler est celle du prof. Tom Segalstad. Il conclut que les modèles sont sans validité scientifique et que le CO2 humain reste ~5 ans et qu’il est de 4% maximum semanticscholar.org/paper/Carbon-c…
Les émissions humaines se dissolvent rapidement dans les océans froids. Ainsi, le réservoir de CO2 émis par l’homme n’est pas l’atmosphère, mais les océans. Le CO2 atmosphérique et contrôlé principalement par la température (loi de Henry). sciencedirect.com/science/articl…
Ces études majeures, toutes basées sur les observations, confirment que Le CO2 atmosphérique est principalement d’origine océanique, contrôlé par la température et non par les combustibles fossiles. Et que la contribution du CO2 humain est insignifiante. sciencepublishinggroup.com/journal/paperi…
Les déclarations de temps de séjour séculaires sont dérivées de modèles du cycle carbone qui réfutent la réalité, ajustés pour s’adapter à l’hypothèse selon laquelle nos émissions sont le cause de l’augmentation du CO2 afin de construire un dogme. sciencedirect.com/science/articl…
III. Température
Figure tirée du rapport du GIEC de 1990, qui montre une reconstruction précoce de la température mondiale. Cela représente la période chaude médiévale bien établie (MWP), son apogée vers 1200, qui a ensuite cédé la place au petit âge glaciaire (LIA) 1400 à 1850.
Cette période plus chaude est bien documentée dans l’histoire et acceptée par les climatologues. La colonisation viking du Groenland a eu lieu pendant le MWP lorsque la végétation luxuriante a prospéré, ce qui lui a donné son nom. Voici 1200 études : google.com/maps/d/u/0/vie…
Si la période médiévale était plus chaude qu’aujourd’hui, sans contribution du CO2, qu’y aurait-il de si inhabituel à ce que les temps modernes soient également chauds ?
Comme les données de Vostok, ceci a posé un sérieux problème aux partisans du récit.
Le climat n’a et ne sera jamais stable, l’unique règle, c’est la fluctuation. Nous ne vivons rien d’exceptionnel ~1°C en ~200 ans, c’est très peu comparativement aux variations passées de 5 à 10°C en quelques décennies, sans aucun lien avec le CO2.
IV. La réalité et que les forces et les mouvements dans les océans et l’atmosphère sont principalement déterminés par les éléments suivants
1. Cycles et mouvements de la Terre par rapport au Soleil: orbite elliptique, rotation axe polaire, inclinaison, oscillation ou précession.
2. Variations de l’activité solaire qui influencent l’énergie rayonnante atteignant la Terre et modulent également l’activité des rayons cosmiques, ce qui influence la couverture nuageuse et la nébulosité.
3. La distribution de la terre et de l’eau à la surface de la Terre, qui contrôle sa distribution de température, la disponibilité de l’humidité, les effets de la mousson, les ouragans et autres trajectoires de tempête.
4. Mouvements des fluides dans les océans de la Terre qui déterminent la disponibilité de l’humidité et les températures de surface de l’océan (cycles El Nino et La Nina).
5. Éruptions volcaniques qui injectent d’énormes quantités de poussière dans l’atmosphère, augmentant l’albédo de la Terre et empêchant périodiquement la lumière du soleil d’atteindre la surface de la Terre.
6. Éruptions volcaniques sous-marines connues et non encore cartographiées, y compris les ‘black smokers’ récemment découverts qui crachent continuellement de l’eau surchauffée. Le fond de l’océan est moins bien connu de la science que les surfaces de la Lune et de Mars.
V. Effet de serre
Il a été démontré que le transport de chaleur vers le haut via le rayonnement joue un rôle insignifiant. De plus, il a diminué depuis 1983. Il n’y a donc aucune preuve scientifique du réchauffement climatique anthropique.
Leur théorie du CO2 prévoit clairement une ↗︎ de la hauteur d’émission causée par l’ajout des GES, en raison du taux de déphasage. Si le réchauffement est dû à une ↗︎ du CO2, la planète émettra MOINS d’OLR, pas PLUS. Résultat : Le CO2 est innocent.
Aucun indicateur ne montre une tendance positive claire. La supposée crise climatique n’est étayée par aucune donnée observationnelle. link.springer.com/content/pdf/10…
Historiquement, le taux de CO2 a déjà été 10 à 17 fois plus élevés sans qu’il n’y ait eu d’augmentation de température à lui imputer. L’augmentation du CO2 ne fait rien d’autre que verdir le monde, le reste c’est politique.
Comme nous l’avons démontré, les preuves empiriques n’étayent ni l’affirmation que les émissions anthropiques de CO2 sont à l’origine de l’augmentation du CO2, ni que le CO2 est la cause du réchauffement climatique, ni la notion de crise climatique. journals.sagepub.com/doi/abs/10.117…
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3) à l’époque les mêmes institutions et médias nous servaient la même folie climatique qu’aujourd’hui à savoir que les sécheresses, les inondations, les conditions météorologiques extrêmes, les mauvaises récoltes... étaient toutes attribuées au refroidissement.
Heureusement, les archives d'institutions gouvernementales, médias et études sur ces faits existent bien, malgré la tentative d'effacement de cette période que se soit sur wikipédia ou carrément de réécriture de l'histoire “ils étaient une minorité à le penser”… ce qui est faux.
La température annuelle moyenne (Tam) de la Terre était plus élevée il y a 31 000 ans. Le pôle Nord était plus chaud de 22°C
La Tam a fluctué de 35°C (aux latitudes élevées) d’une période millénaire à l’autre au cours de la dernière période glaciaire (sans lien avec le CO2).
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Smul′skii utilise des données orbitales et d’insolation établies pour calculer la température moyenne de la Terre aujourd’hui (0 k ans), 14.4°C, et à 25°N, 45°N, 65°N, 80°N, 0°, -25°S, -45°S, -65°S, et -80°S pendant 3 paléo-époques : il y a 15,9 k ans, 31,3 k ans, et 46,4 k ans.
I) Température annuelle globale de la Terre : 14.4°C - la même qu’il y a un siècle.
En accord avec des dizaines d’autres calculs, Smul′skii (2022a) a déterminé que la température annuelle moyenne de la période moderne, qui comprend 1991-2018, se situe entre 14.07 et 14.41°C.
Selon la théorie de la serre renforcée au CO2, CH4... un réchauffement de surface entraînera mois d’OLR, PAS plus.
Résultat : le CO2 est innocent.
Cette seule observation suffit, mais continuons.
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Expérience réelle en extérieur :
Sur un site d’essai extérieur en Italie, les concentrations de CO2 oscillant entre 1 000 et 750 000 ppm n’ont ni plus ni moins d’effet sur les températures locales qu’un site voisin où le CO2 est stable <400 ppm.
https://t.co/jOmdPz5QTtsciencedirect.com/science/articl…
Expérience réelle en extérieur :
Sur ce site le CO2 dans l’air au-dessus des sources de mofette est de 3400-4800 ppm. Les températures associées sont relativement basses par rapport à d’autres sites locaux (Kenya) (à ~400 ppm de CO2).
https://t.co/BhgCpMgmd8erepository.uonbi.ac.ke/bitstream/hand…
Ce n’est pas global, les données préliminaires sont non-officielles, c’est de la météo, dû à une forte anomalie en Antarctique ou l’effet du CO2 est de 0 là-bas, c’est naturel : soleil et géothermie. MWP était + chaude
https://t.co/epHwlxdS98
Pas partout, ce n’est ni le CO2, ni l’atmosphère, c’est naturel : Rayonnement solaire absorbés dû à la baisse de la couverture nuageuse observée par satellite et un peu géothermie ~15% et rien comparativement au passé.
https://t.co/Y9ur2zwZuS
Ce sur quoi compte encore le politique GIEC de l’ONU, c’est que la plupart des croyants sont ignorants. La plupart des adeptes du GIEC ne savent rien du temps de latence du CO2.
Le CO2 n’est pas la cause, il est l’effet !
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Quelle est la raison du décalage entre les températures et les niveaux de CO2 en ce qui concerne le réchauffement de la planète ?
C’est une très bonne question, car de nombreux scientifiques rémunérés tentent de l’expliquer d’une manière ou d’une autre depuis un certain temps.
Encore une fois, ce que la plupart des alarmistes ne savent pas - et ne veulent pas savoir - c’est que les carottes glaciaires et d’autres données montrent que le CO2 SUIT les changements de température.
“Il n’y a pas de crise climatique, nous vivons rien d’unique. Il y a un décalage entre les données d’observations & ce qu’on entend dans la sphère médiatique, politique & militante. La science n’est pas une institution ou un consensus & est neutre politiquement & idéologiquement”
“Un climato-réaliste c’est quelqu’un qui regarde avec un peu d’étonnement ce qui se passe dans la sphère médiatique, politique et militante autour du climat et qui considère que ça n’a rien à voir avec les données observationnelles qu’on a aujourd’hui.”
“La science c’est d'abord une méthode, ce n’est pas une institution. Elle n’est pas l’affaire de consensus, c’est pas parce qu’il y a des gens qui ont l’air très intelligents, qu’ils disent tous la même chose que c’est vrai. La science est neutre politiquement & idéologiquement.”