Thread by @jgalt485

1.
Un court 🧵sur l'interférence flagrante des USA et de l'UE dans l'élection prédientielle turque, qui a lieu le 14 mai 2023.
#Erdogan a raison d'accuser les USA de #BidenDestroysAmerica de tener de le renverser par voie électorale.

https://twitter.com/stojulcinj/status/1657535343661391873

2.
Erdogan accuse Biden de s'immiscer dans l'élection présidentielle
"Biden a dit qu'il fallait renverser Erdogan, je le sais. Tout mon peuple le sait. Demain, les urnes donneront également une réponse à Biden".

t.me/StoryOfBlackBo…

3.
L'Occident veut que la défaite d'Erdogan aux élections débarrasse la Russie d'un partenaire important, selon les médias mainstream.
Si l'actuel président turc Recep Tayyip Erdogan perd les élections présidentielles, qui auront lieu en Turquie demain (14 mai 2023),

4.
l'Occident ressentira un "soulagement" tandis que Moscou sera inquiet, écrit le New York Times.
Selon l'édition, c'est avec Erdogan que la Turquie est devenue un "problème pour l'Otan", tandis que pour la Russie, Ankara est devenue un partenaire

5.
commercial irremplaçable et un important médiateur diplomatique.
Les élections de demain dépendent de la capacité de la Turquie à continuer d'être un médiateur dans les relations tendues entre la Russie et l'Occident, de sorte que la course présidentielle sera

6.
très étroitement surveillée par les capitales occidentales et le Kremlin, a conclu le journal.
Voici la Une récente du NYT, qui espère la chute électorale de #Erdogan . Bien se rappeler que les dirigeants du NYT sont issus de la CIA.

https://twitter.com/177_mit/status/1657427993688518656?s=20

7.
Voici les Unes des journaux mainstream de la presse mondialiste de l'UE:

8.
Voici #BidenCrimeFamilyExposed annonçant qu'il espère que #Erdogan perde l'élection présidentielle du 14 mai 2023. A défaut d'un coup d'Etat, le deep state US se contentera d'un changement de régime en Turquie par les urnes.

9.
Bien évidemment, #Erdogan a donc toutes les raisons d'accuse l'opposition de travailler avec #BidenCrimeFamilyExposed pour le renverser.
#Erdogan a également critiqué son adversaire, Kemal Kilicdaroglu, pour ses propos sur la Russie,

10.
et a attiré l'attention sur le fait que Moscou a été un partenaire important pour la Turquie et son économie.

Who’s Really Meddling In The Upcoming Turkish Elections? open.substack.com/pub/korybko/p/…

11.
Une lecture très intéressante sur les révolutions de couleur:

syncreticstudies.com/2014/12/03/the…

12.
Le principal rival d'Erdogan, Kemal Kilicdaroglu, promet de débloquer le processus d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne et d'arrêter le processus d'"islamisation" du pays en cas de victoire.
Si aucun des candidats ne parvient à obtenir

13.
50% des suffrages, le second tour des élections aura lieu le 28 mai.
Selon de récents sondages, il n'y a pas de favori absolu. la moitié des sondages est en faveur d'Erdogan, l'autre moitié est en faveur de Kilicdaroglu.

14.
Kemalism vs Kemalism in Turkish elections:
The Turkish presidential election on Sunday may appear to be one of the most crucial non-violent political events of this year. But appearances can be deceptive in Turkish politics.
In the surcharged polarisation of “West versus

15.
Rest” in international politics, western media is rooting for the defeat of incumbent President Recep Erdogan so that one of the leading proponents of multipolarity and strategic autonomy in the emerging world order who is setting a horrible example for the Global South,

16.
walks into the sunset.
Truly, the importance of Erdogan is that unlike many self-styled proponents of the Global South, who have mushroomed lately, he practices what he preaches.
The Western media’s excitement stems out of a simplistic notion that Erdogan, a charismatic

17.
“strong man” who has been riding the wings of his immense popularity and astuteness to exploit the fragmentation of Turkish electoral scene is meeting his nemesis in the unified opposition candidacy of Kemal Kilicdaroglu.
Although Sunday’s election may seem too close to

18.
call, it may well produce a clear-cut victory for Erdogan in the first round itself (with over 50% votes) that would obviate the need for a runoff.
The known unknown today is whether Kilicdaroglu’s eclectic brand of party politics that helped him clinch

19.
the presidential nomination and paper over ideological divides that are as much historical as cultural, would be sufficient to persuade enough voters to help him win the race.
Erdogan is a man of history with a formidable track

20.
record in power in consolidating civilian supremacy in a working democracy.
Kilicdaroglu, on the contrary, has nothing to show and never held an elected post. Yet, if Western capitals are dreaming about a Kilicdaroglu victory,

21.
it underscores the high stakes in Sunday’s election.

t.me/theriotimes/99…

22.
En cas de victoire à l'élection présidentielle du 14 mai 2023, Kilicdaroglu veut renouer les liens avec l'UE:

euractiv.com/section/global…

23.
Et bien évidemment l'UE espère la victoire de Kilicdaroglu, et elle diabolise #Erdogan .

euractiv.com/section/global…

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