1/2 Emails envoyés par le Dr Colignon au Dr Lega :
2/2 Ainsi qu’aux auteurs de l’étude belge utilisée en référence auxquels il demande leur sentiment par rapport à cette modélisation qui les accuse d’avor tué des patients…
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1/n Le Pr Molimard estime que ma critique des chiffres belges utilisés dans la modélisation affirmant que l’HCQ a tué 16.000 personnes en Europe durant la première vague est de la désinformation. Selon lui, avec des données complètes, les chiffres belges seraient corrects.
2/n Cette modélisation présente plusieurs problèmes méthodologiques et c’est à cause de ces problèmes que les chiffres belges sont faux. (Ceux des autres pays analysés sont donc probablement faux également puisque la méthode est identique).
3/n Problème n°1 : Le nombre de patients hospitalisés pour Covid ayant reçu de l’HCQ durant la première vague. Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.
1/n Nouvelle démonstration de la manière dont les hétéroclites analysent les publications scientifiques : ici avec une étude censée démontrer que la vaccination protège les enfants du covid long mais dont les données concernent en fait... le Paxlovid 😉
2/n L’article de Nature News résume les résultats de l’étude de Yousaf et al. donnée dans les références. Il suffit de cliquer sur le lien pour avoir accès au texte complet. nature.com/articles/d4158…
3/n Et en dessous des figures illustrant les résultats de cette étude, on peut lire : « Relative Risk of Post-COVID Conditions among Patients who Received Paxlovid ». Cela n’a rien à voir avec la vaccination. academic.oup.com/ofid/article/1…
1/n Les hétéroclites (confirmés ou aspirants) auraient-ils compris la différence entre recherches RIPH (exigeant l’autorisation d’un CPP) et recherches non RIPH ? Un miracle de Noël ? J’aimerais y croire mais rien n’est moins sûr...
2/n Dans cette publication décrivant les résultats d’analyses effectuées sur des prélèvements de selles, l’IHU fait effectivement mention d’une autorisation d’un CPP. sciencedirect.com/science/articl…
3/n Cela signifie-t-il qu’il faut une autorisation d’un CPP pour TOUS les prélèvements de selles et que l’IHU aurait donc fraudé lors d’études précédentes ? Non, évidemment ! Car ce n’est n’est pas le fait d’analyser des selles qui impose l’autorisation d’un CPP.
1/n Décidément, les hétéroclites ne cessent de nous offrir des occasions en or de dévoiler leurs vilaines méthodes. Ici, ils utilisent un rapport d’inspection du site de Dielmo pour essayer de prouver leurs accusation de fraude éthique à l’encontre de l’IHU. On décortique ?
2/n Contre-vérité n° 1 : Cette visite n’a pas été été organisée pour des inquiétudes éthiques. C’est un audit du projet dont les 7 points d’observation sont décrits dans les annexes. L’éthique est un des 7 points. Il n’y a aucune mention d’inquiétude.
3/n L’analyse du volet éthique a pour objectif d’évaluer la situation actuelle et d’aborder la nécessité de partenariats éventuels avec la France, l’Europe ou l’OMS pour le futur.
1/n Je rends hommage à tous les enseignants qui ont eu ou ont encore des hétéroclites dans leurs cours 😉. Allez, c’est reparti pour quelques explications : des analyses effectuées sur les tubes de sang prélevés dans le cadre des soins ne constituent pas une recherche RIPH.
2/n Les médecins qui ont pris en charge des patients covid ont fait des prises de sang pour évaluer différents paramètres et, au minimum, une numération globulaire qui permet, par exemple, de vérifier s’il n’y a pas une lymphopénie qui indiquerait un risque d’aggravation.
3/n Pour pouvoir faire cette numération globulaire, il faut prélever du sang dans un tube EDTA ( tube à capuchon mauve). Et pour doser l’Hydroxychloroquine, il faut prélever du sang... également dans un tube EDTA.
1/n Un des plus grands détracteurs de l’IHU affirme qu’il n’y aurait PAS de fraude éthique dans les publications concernant les prélèvements de selles au Congo et qu’il ne s’agirait QUE d’un manquement aux règles éditoriales.
2/n Ainsi, lorsque la « consultante en intégrité scientifique » écrit : « There is no word about obtaining IRB approval », selon lui (qui lit l’anglais), il ne faut pas comprendre qu’on reproche à l’IHU de ne pas avoir obtenu d’autorisation éthique du Congo mais simplement...
3/n ... de ne pas avoir indiqué dans la publication qu’ils en avaient bien eu une.