Procès Di Vizio : le tribunal a rejeté les exceptions de nullité de la citation et de prescription. L’affaire a été examinée au fond.
M. Di Vizio n’a finalement cité aucun des cinq témoins qui devaient venir prouver la vérité de ce qu’il avançait.
Finalement sa défense à la barre aura été non pas « ce que j’ai dit est vrai » (c’est bon pour Twitter, mais pas devant un tribunal) mais « ce n’est pas moi qui l’affirme mais celui qui m’a rapporté ces rumeurs » qu’il n’a pas hésité à balancer.
« Pourquoi est-ce moi que l’on poursuit et non celui qui m’a colporté ces rumeurs? » résume bien sa défense. Ça et cela se rattachait à la défense d’un client par un avocat.
En tout cas voici les preuves irréfutables qu’il avait promises. (Oui c’est une pièce produite par lui).
Délibéré le 17 juin.
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