La guerre, c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas.
Jul 20 • 5 tweets • 29 min read
La Bataille de Soueïda : là où Israël et la Turquie s’affrontent sur les routes commerciales de la Syrie.
Dans la Syrie de l’après-Assad, Suwayda, à majorité druze, émerge comme le point zéro de la guerre régionale pour dominer les routes terrestres reliant le golfe Persique à la Méditerranée.
Avec la chute de l’ancien président syrien Bachar al-Assad et l’ascension d’Ahmad al-Sharaa (l'ex terroriste d'Al Qaeda, Abou Mohammed al-Joulani) au pouvoir à Damas – avec le soutien de la Turquie et d'Israël – la Syrie est passée d’une partie intégrante de l’Axe de la résistance à un terrain contesté entre des projets régionaux rivaux.
Deux visions concurrentes ont émergé : la "Route du développement" de la Turquie, un projet de corridor de transport reliant la région de Bassorah en Irak, à la Turquie et au-delà vers l’Europe ; et la "ligne de paix" d’Israël, qui vise à relier le golfe Persique à la Méditerranée via la Jordanie et le port de Haïfa.
La bataille régionale pour la porte d’entrée sud de la Syrie :
Ces corridors d’infrastructure ne sont pas de simples initiatives économiques ; Ils sont les champs de bataille d’un nouvel ordre économique et géopolitique régional. Suwayda, longtemps considérée comme périphérique, est devenue une poudrière stratégique dans cette guerre de la logistique. Cette province à majorité druze est devenue une porte d’entrée potentielle vers une guerre régionale sur les corridors de commerce et de transport. Ces plans s’étendent également au Liban voisin.
"une tentative de raviver les hostilités sectaires contre lesquelles le défunt secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait mis en garde peu de temps avant son assassinat :
"Les agences de renseignement pourraient chercher à raviver les conflits sectaires après la fin de l’inondation d’Al-Aqsa, afin de supprimer l’une de ses issues – l’unité musulmane face au projet sioniste"
"Ce projet sectaire n’est pas nouveau, il évolue en fonction du contexte. Son objectif est la destruction interne des sociétés musulmanes à travers l’Asie de l’Ouest et l’Afrique du Nord, détournant les efforts de résistance de la confrontation avec Israël en noyant la région dans des luttes intestines".
"Les bénéficiaires finaux sont les intérêts économiques de l’Occident. L’exploitation des lignes de fracture – sectaires, ethniques, idéologiques – est le carburant, et une fois allumées, la descente est totale. Le Liban, l’Irak et la Syrie, avec leurs tapisseries sectaires complexes et leur valeur stratégique, se trouvent en tête de liste".
"Cette fois, le récit de la sédition a trouvé son entrée par la Syrie. La violence s’est rapidement propagée aux villes frontalières libanaises, empoisonnant davantage les relations intercommunautaires et semant le ressentiment entre Syriens et Libanais".
"Les tentatives de manipulation de la perception du public étaient manifestes : des campagnes de désinformation médiatiques délibérées ont tenté d’impliquer le Hezbollah dans les affrontements. Même le gouvernement de Sharaa a poussé cette ligne".
Le poids stratégique de Suwayda provient de sa situation au cœur de ces projets rivaux. La province pourrait servir d’artère vitale pour les ambitions terrestres d’Ankara ou de point d’étranglement menaçant les efforts de Tel Aviv pour contourner les territoires turcs et iraniens.
Ainsi, le gouvernorat vital de Suwayda, dans le sud de la Syrie, se retrouve soudainement en première ligne – non pas en raison d’un différend sur un conflit localisé, mais parce qu’il s’agit d’une clé stratégique dans la bataille ferroviaire où les routes deviennent des frontières et les pipelines se transforment en fronts.
Pendant ce temps, les dirigeants religieux druzes de Suwayda ont publié une déclaration ferme rejetant l’utilisation de leur région comme pont pour des projets étrangers qui ignorent leur souveraineté ou leur existence. La déclaration déclarait : "Ceux qui parient sur la violation de Suwayda perdront. Le destin de la montagne sera décidé dans la montagne elle-même".
Les anciens ont mis l’accent sur la géographie de Soueïda en tant que carrefour et ont exigé l’ouverture de couloirs terrestres avec la Jordanie et avec les zones tenues par les Forces démocratiques syriennes (FDS) (les Kurdes syriens) dans le nord.
Le projet Old-New Katz :
En novembre 2018, le ministre des Transports de l’époque et actuel chef de la Défense israélienne, Israel Katz, a dévoilé lors d’une conférence internationale sur les transports à Oman le projet "Chemin de fer de la paix", visant à relier les pays du golfe Persique à Israël via la Jordanie, dans le cadre d’un plan stratégique visant à stimuler l’intégration économique et à relier les marchés d’Asie occidentale aux ports méditerranéens israéliens.
Katz, qui est arrivé moins de deux semaines après la rencontre surprise de #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocide le 26 octobre 2018 avec le défunt sultan Qaboos à Mascate, a présenté le projet comme une entreprise d’infrastructure massive impliquant des lignes ferroviaires reliant le port de Haïfa dans le nord d’Israël aux villes du Golfe via la capitale jordanienne Amman, avec la possibilité de relier les Palestiniens au port de Haïfa pour faciliter les échanges commerciaux.
"Ce projet n’est pas seulement un pont pour le transport, mais aussi un pont pour la paix et l’économie entre les peuples de la région. Notre objectif est de créer des transports plus rapides, moins coûteux et plus sûrs, en ouvrant de nouveaux horizons à la coopération économique et politique".
Et Katz a ajouté :
"Le chemin de fer de la paix permettra d’éviter les risques de sécurité dans le détroit d’Ormuz et de Bab al-Mandab [donc d'éviter le Yemen et de contourner l'Iran] et d’ouvrir des alternatives vitales pour le transport de marchandises entre le Golfe et l’Europe".
Le projet se distingue comme une alternative importante, permettant aux États du golfe Persique de contourner les menaces à la sécurité dans le détroit d’Ormuz et Bab al-Mandab, offrant ainsi une route terrestre plus sûre et moins chère pour le transport de marchandises, avec des avantages économiques significatifs pour tous les pays participants, y compris la Jordanie, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, d’autres États du Golfe et potentiellement l’Irak et la Syrie.
"Les attaques du Yémen contre les routes maritimes vitales d’Israël, Ansarallah agissant en solidarité avec les Palestiniens de Gaza, ont contraint l’État d’occupation à chercher un corridor terrestre alternatif via l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et la Jordanie, dont la légitimité est en train de se corroder dans la rue arabe, tandis que celle de Sanaa est en plein essor".
Le projet prévoit également de mettre en place des centres logistiques modernes, tels que la zone de fret d’Irbid, en Jordanie, afin de stimuler l’économie locale.
Katz a souligné l’importance du projet pour les Palestiniens, en déclarant : "En connectant les Palestiniens au port de Haïfa, nous leur donnons une chance de participer au commerce mondial, ce qui leur apportera des avantages économiques et sociaux".
L’inclusion de la Jordanie et de la Palestine occupée a été présentée comme un édulcorant économique. Mais le véritable objectif est et reste l’hégémonie régionale d'Israël par le biais des infrastructures.
Alors que les déclarations de Katz étaient truffées d’euphémismes sur la paix et le développement, la logique sous-jacente était claire : utiliser les infrastructures de transport pour normaliser le rôle d'Hegemon régional d’Israël, tout en excluant les concurrents iraniens et turcs.
Bien que la plupart des États arabes impliqués n’aient pas de relations diplomatiques officielles avec Israël, le projet a reçu un soutien américain évident, l’envoyé américain de l’époque, Jason Greenblatt, le considérant comme faisant partie des efforts de Washington pour promouvoir l'"accord du siècle" pour la paix régionale.
La géoéconomie comme guerre politique :
Parallèlement à la concurrence turco-israélienne sur les corridors ferroviaires traversant le sud de la Syrie, l’ambitieux projet de ville dans le désert (projet NEOM - The Line) de l’Arabie saoudite – ainsi que le système d’infrastructure lié à Al-Ain 2030 aux Émirats arabes unis – apparaît comme un troisième acteur qui remodèle le jeu géopolitique.
"Une fois achevé, NEOM devrait accueillir 9 millions de résidents dans 300 000 nouveaux logements, ce qui en fait le plus grand giga-projet annoncé à ce jour"
Le projet israélien vise à transformer le nord-ouest de l’Arabie saoudite en un centre économique et logistique mondial, comprenant des lignes de chemin de fer et des réseaux de transport s’étendant du cœur de la péninsule arabique à la mer Rouge, repositionnant inévitablement les routes commerciales régionales.
Ce changement est directement lié aux projets de Tel-Aviv de construire une ligne de chemin de fer s’étendant d’Eilat (adjacente à NEOM) à Aqaba, puis au sud de la Syrie, et plus loin à Beyrouth ou Tripoli.
Il s’agit d’une extension terrestre de NEOM – et d’un complément stratégique à l’ambition de Riyad de contourner les goulets d’étranglement comme le détroit d’Ormuz en reliant le Golfe à la Méditerranée.
"En utilisant des extrémistes salafistes, l’Arabie saoudite cherche à relancer un oléoduc stratégique à travers Al-Mahra au Yémen pour contourner le détroit d’Ormuz et obtenir l’hégémonie sur ses voisins arabes. Mais une résistance locale féroce et des luttes de pouvoir internationales pourraient faire dérailler les ambitions de Riyad".
"L’escalade militaire rapide dans le gouvernorat d’Al-Mahra au Yémen – historiquement épargné par la guerre – est directement liée à des changements régionaux plus larges. La nouvelle poussée de l’Arabie saoudite en faveur de la construction d’un oléoduc d’exportation de pétrole à travers la mer d’Oman, via Al-Mahra, marque un nouveau chapitre dans la bataille mondiale sur les routes énergétiques et le contrôle des côtes".
"Cet effort est plus qu’une manœuvre économique ; il s’agit d’un jeu géopolitique calculé visant à remodeler les équilibres de pouvoir en Asie occidentale, avec des effets d’entraînement bien au-delà des frontières du Yémen".
"La carte salafiste"
"Les tensions montent dans le gouvernorat d’Al-Mahra, la province la plus orientale du pays, qui partage des frontières avec l’Arabie saoudite et Oman. Ces derniers jours, les manifestations publiques se sont intensifiées contre le recrutement par l’Arabie saoudite de milices salafistes radicales sous la bannière de Dera' al-Watan (Bouclier de la nation), une force censée être chargée de maintenir la sécurité".
"Simultanément, des instructeurs militaires américains ont atterri à l’aéroport international d’Al-Ghaydah – transformé en base militaire saoudienne en 2017 – avant d’être transportés au camp de Qishn, où Riyad forme ses nouvelles unités armées".
"L’Arabie saoudite a des ambitions de longue date dans ce gouvernorat. Le Royaume Saoudien a tenté à plusieurs reprises d’exercer un contrôle sans succès, en utilisant des tactiques telles que le recrutement de tribus locales et l’octroi de la citoyenneté à de nombreux résidents. Le royaume a également cherché à construire un oléoduc à travers Al-Mahra jusqu’à la mer d’Oman, insistant pour que les terres traversées par l’oléoduc soient considérées comme un territoire saoudien – une demande que les tribus locales ont rejetée".
"L’importance d’Al-Mahra s’étend au-delà de ses réserves de pétrole inexploitées. Son emplacement en fait une cible de choix pour l’Arabie saoudite, qui est impatiente de construire un oléoduc qui réduirait sa dépendance à l’égard du détroit d’Ormuz – contrôlé par l’Iran, par lequel transitent actuellement plus de 90 % de ses exportations de pétrole".
"L’Arabie saoudite finance et soutient désormais les groupes salafistes, les déplaçant de diverses provinces à Al-Mahra pour influencer la population locale, modifier sa composition démographique et répandre le sectarisme".
"Comme toute puissance occupante, Riyad utilise l’intervention militaire pour faire avancer son propre programme. Le gouvernement yéménite internationalement reconnu – qui opère à partir de Riyad – est entièrement complice, légitimant le contrôle saoudien sur Al-Mahra".
"La valeur stratégique du contrôle du littoral yéménite a été un facteur clé dans la décision saoudienne d’intervenir dans la guerre au Yémen. Le contrôle des côtes du Yémen permettrait à l’Arabie saoudite de contourner entièrement le détroit d’Ormuz. Dans ce contexte, Riyad vise à transformer Al-Mahra et Hadramaout en régions semi-autonomes sous son influence".
"Cependant, les ambitions saoudiennes se heurtent à la résistance des Émirats arabes unis, qui ont consolidé leur emprise sur l’île de Socotra – géographiquement proche d’Al-Mahra – la transformant en un centre militaire stratégique. La réponse de Riyad a été d’accroître sa présence militaire à Al-Mahra pour faire contrepoids à l’influence d’Abou Dhabi à Socotra. Selon Hasani : L’Arabie saoudite reproduit son modèle militaire observé ailleurs, comme en Libye et dans le sud du Yémen, en établissant des unités militaires dominées par les salafistes comme les Brigades des géants, Dera' al-Watan et les Ceintures de sécurité – toutes servant directement les intérêts saoudiens".
Pour revenir à la stratégie d'Israël, qui vise à devenir l'Hegemon régional, Suwayda devient un nœud stratégique indispensable qui pourrait servir de passerelle entre le Golan occupé de la Syrie et les zones contrôlées par les Kurdes en Syrie et en Irak.
Les médias et les responsables israéliens ont parfois fait référence à ce tracé comme au "corridor de David" – un corridor qui réinvente le rôle d’Israël dans la région grâce à la domination des infrastructures, en fusionnant le colonialisme de peuplement avec la logistique.
En d’autres termes, l’essor de NEOM en tant qu’axe maritime-terrestre renforce la valeur géopolitique de la ligne Aqaba-Suwayda, poussant l’État d’occupation à être plus strict. Pour Tel-Aviv, toute expansion turque vers le sud est une menace existentielle pour ces desseins. Pour Ankara, la sécurisation de Suwayda est essentielle pour affirmer son influence sur le flanc sud du Levant.
Les plans de la Turquie pour gouverner Tripoli, via des opérations secrètes à Damas. Insatisfaite de son contrôle significatif sur le nord de la Syrie et de l’Irak, Ankara cherche à établir un point d’ancrage politique, sécuritaire et économique dans le nord du Liban – tandis que Beyrouth regarde impuissant.
"Alors que le Liban est aux prises avec une myriade de crises intérieures et les répercussions géopolitiques de la récente guerre israélo-iranienne, la Turquie s’étend furtivement sur le territoire libanais, en particulier dans la ville de Tripoli, dans le nord du pays, et dans ses environs".
"Le projet d’Ankara ne se limite plus à des programmes d’aide ou d’éducation aux communautés sunnites favorisées de l’État libanais ; elle englobe désormais des outils beaucoup plus complexes : naturalisation, sensibilisation religieuse, pénétration d’infrastructures vitales et un appareil de sécurité géré directement par les services de renseignement turcs opérant à partir de Damas".
"Depuis plus d’une décennie, Ankara a amassé des infrastructures de soft power dans le nord du Liban. Des organisations telles que l’Agence turque de coopération et de coordination (TIKA) et la Fondation Diyanet ont renforcé la présence humanitaire, religieuse et éducative de la Turquie, ciblant les communautés sunnites appauvries de Tripoli, Minieh, Dinnieh, Akkar et ailleurs. Ces agences fournissent de la nourriture et une aide financière, des centaines de bourses annuelles et gèrent des mosquées, des écoles et des centres culturels".
"Mais l’outil le plus sensible qu’ils ont utilisé est l’octroi de la citoyenneté turque à des centaines de familles libanaises, sous prétexte d’ascendance ottomane ou turkmène. Cette pratique a donné naissance à une démographie à double loyauté – libanaise-turque – qu’Ankara peut activer dans tout conflit régional ou national futur. Il s’agit à la fois d’une base de soft power et d’un levier potentiel d’influence politique".
"Les cibles : Port, aéroport, raffinerie:
Les ambitions de la Turquie dans le nord du Liban - comme dans le nord de la Syrie et de l’Irak - vont bien au-delà de l’influence communautaire ; Il vise à établir et à contrôler des infrastructures stratégiques vitales"
"Tout d’abord, Ankara cherche à transformer le port de Tripoli, l’un des plus grands de la Méditerranée orientale – plus grand que le port de Tel Aviv en taille et en profondeur – en une plaque tournante logistique pour transporter des marchandises turques vers la Syrie et potentiellement l’Irak. Des entreprises turques ont déjà exprimé leur intérêt à investir et à moderniser les installations portuaires, situées près de la frontière syrienne, pour les mettre aux normes internationales".
"Deuxièmement, la Turquie vise à réactiver la piste d’atterrissage de l’aéroport de Qlayaat, situé au nord de Halba, grâce à un financement indirect et à un lobbying politique local. Son objectif est d’établir un corridor aérien stratégique entre la Turquie et le nord du Liban, avec des utilisations militaires ou logistiques potentielles à l’avenir".
"Troisièmement, et peut-être le plus dangereux de tous, Ankara manœuvre pour prendre le contrôle de la raffinerie sous-utilisée de Beddawi, qui est toujours connectée aux vestiges de l’infrastructure du gazoduc transarabe (TAPLINE)".
"Avec le retrait du Courant du futur de l’ancien Premier ministre Saad Hariri de la scène politique libanaise et l’érosion de la domination saoudienne sur les populations sunnites du pays, la Turquie se positionne pour des gains politiques lors des prochaines élections législatives. Selon les sources de The Cradle, Ankara soutient un certain nombre de candidats à Tripoli, Minieh et Akkar – certains d’origine tribale turkmène, d’autres formés politiquement et médiatiquement en Turquie".
"L’objectif d’Ankara n’est pas seulement de siéger au Parlement, mais de créer un bloc de pression loyal qui permette à la Turquie de tirer les ficelles de la dynamique de l’État libanais – d’autant plus que cette stratégie politique complète ses plans axés sur les infrastructures dans le nord".
"Dans le calcul stratégique d’Ankara, Tripoli n’est pas seulement une ville côtière. C’est la porte d’entrée nord du Levant, un flanc mou dans le système étatique fragmenté du Liban et une rampe de lancement vers la Syrie, l’Irak et la Jordanie. Le modèle reflète l’activité turque dans le nord de la Syrie : gouvernance locale, sécurité parallèle et économie liée à la livre turque".
Israël, pour sa part, observe ce changement avec inquiétude. Le port de Tripoli – plus grand, plus profond et plus extensible que celui de Tel Aviv – pose un risque stratégique, en particulier s’il devient une plaque tournante logistique ou sécuritaire pour la coopération turco-iranienne via le corridor de Tripoli.
"Bilad al-Sham" à nouveau ?
Les médias d’État turcs se réfèrent de plus en plus au Liban comme faisant partie du "Bilad al-Sham" (Grande Syrie, ou Levant) au lieu de s’adresser aux États-nations de la région par leur nom. Un rapport récent de l’agence Anadolu, faisant référence au commentaire de l’ambassadeur américain Thomas Barrack sur le retour du Liban dans la région du Levant, a déclaré :
"Historiquement, le Bilad al-Sham s’étendait des montagnes du Taurus dans le sud de la Turquie au désert du Sinaï en Égypte, et de la Méditerranée au désert irakien... À l’époque de l’Islam – en particulier les périodes omeyyade et abbasside – le Liban faisait partie de la province d’Al-Sham. À l’époque ottomane, le Liban était divisé entre les vilayets (provinces) de Beyrouth et de Damas.
De telles références ne sont pas une coïncidence. Ils font écho à la doctrine néo-ottomane plus large du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui cherche à rétablir la sphère d’influence de la Turquie par le biais d’outils non traditionnels : l’éducation, le commerce, la religion, la double citoyenneté et la gouvernance localisée".
Donc pour Tel-Aviv, toute expansion turque vers le sud est une menace existentielle, et un frein au projet de Grand Israël, poursuivi par le gouvernement de #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocide , et qui englobe toute la Cisjordanie, la Jordanie actuelle, le Liban, la Syrie, plus de la moitié de l'Irak, une partie de l'Egypte et le tiers du territoire de l'Arabie Saoudite. Et Israël prévoit également de s'approprier des parties du territoire de la Turquie pour faire le lien avec les Kurdes ....
Suwayda devient un champ de bataille :
Avant de jeter son dévolu sur Suwayda, l’ascension de Sharaa a été marquée par des campagnes brutales dans la région côtière, y compris des massacres de communautés alaouites qui ont ouvert la voie à la domination soutenue par la Turquie. Une fois ces opérations terminées, l’attention s’est tournée vers le sud en direction du bastion druze.
"Des affrontements meurtriers éclatent entre les combattants druzes et les forces de sécurité syriennes. Les appels à la violence sectaire ont inondé les réseaux sociaux après qu’un religieux druze a été accusé d’avoir insulté le prophète Mahomet".
Dans le vide post-Assad, Sharaa a choisi Soueïda comme base pour consolider son pouvoir et faire avancer le projet de la Turquie – dans le but de sécuriser les points de passage de la frontière sud de la Syrie, de créer une profondeur stratégique et d’étendre son influence vers le Liban et la Jordanie.
La Turquie a soutenu cette trajectoire par des accords directs et indirects avec des factions syriennes qui lui sont alignées, en particulier Hayat Tahrir al-Sham (HTS), qui joue maintenant un rôle central dans l’administration de zones allant d’Idlib à la campagne orientale de Hama, où le désert rencontre les routes menant au sud en direction de Suwayda.
Les ambitions d’Ankara se sont également étendues au Liban – en particulier à la ville de Tripoli, dans le nord du pays, et à ses environs – où elle a construit une influence sociale, politique et économique par le biais de réseaux d’institutions, d’associations et de citoyens nouvellement naturalisés.
Le port de Tripoli, que la Turquie espère transformer en une alternative au port de Beyrouth, est envisagé comme une gare clé le long de la route de transit régionale.
Shaara a fondé une partie de cette conviction sur des accords secrets conclus dans la capitale azerbaïdjanaise, Bakou, impliquant des personnalités syriennes et israéliennes sous les auspices non officiels de la Turquie. Ces accords ont été interprétés comme une approbation implicite de son expansion vers le sud, en échange de garanties contre le retour de l’influence iranienne et de l’engagement turc de ne pas menacer la sécurité israélienne.
La Syrie et l’Azerbaïdjan renouent leurs liens dans le cadre de pourparlers secrets avec Israël. Les pourparlers entre les responsables syriens et israéliens n’impliqueraient aucun retrait israélien du plateau du Golan occupé.
Mais cette ambition a déclenché une ligne rouge israélienne. #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocide a mis en garde contre l’émergence d’un "nouveau Sud-Liban" en Syrie. #Katz a déclaré : "Les Druzes sont nos frères, et nous ne les laisserons pas seuls face à cette expansion", signalant qu'Israël étaient prêts à intervenir. Peu après, des avions de guerre israéliens ont pris pour cible Damas et les unités alignées de Shaara qui avançaient vers le sud.
Israël bombarde des chars syriens à Soueïda alors que les Druzes appellent à une "protection internationale". Les dirigeants religieux druzes ont accusé le gouvernement syrien de soutenir les groupes extrémistes dans leurs attaques contre la communauté minoritaire.
Le 14 juillet 2025, l’armée israélienne a bombardé le gouvernorat de Suwayda, dans le sud de la Syrie, coïncidant avec de violents affrontements entre factions armées druzes et groupes extrémistes affiliés à Damas.
L’armée israélienne a déclaré dans un communiqué qu’elle avait "attaqué il y a peu plusieurs chars dans le village de Sami (Suwayda) dans le sud de la Syrie", ajoutant que plus de détails suivraient.
La Douzième chaîne israélienne a rapporté que "les chars syriens ont franchi les frontières fixées par Israël dans le sud de la Syrie, alors l’aviation israélienne les a frappés".
L’attaque a eu lieu alors que les affrontements se poursuivaient à Suwayda entre les milices extrémistes et les membres des tribus pro-gouvernementales d’une part, et les factions armées druzes d’autre part.
Les combats ont éclaté dimanche après que des combattants bédouins ont mis en place un poste de contrôle sur l’autoroute Damas-Suwayda, où ils ont volé et brutalement battu un jeune homme druze, déclenchant une série d’attaques de représailles.
Le ministère syrien de la Défense a annoncé le 14 juillet 2025 que ses forces étaient entrées dans la province de Suwayda pour rétablir l’ordre et mettre fin aux combats. Cependant, les forces de l’État syrien ont été accusées de participer à des combats contre les factions druzes aux côtés des milices tribales et d’autres groupes.
Plus tard dans la journée, les troupes syriennes ont bombardé des villages dans la campagne de Suwayda, dans l’ouest du pays.
En réponse à l'explosion de violence, le chef spirituel de la communauté druze syrienne, Hikmat al-Hijri, a lancé un appel à la "protection internationale" de la communauté druze.
Hijri a dénoncé l’entrée des forces de sécurité syriennes dans certaines zones de Suwayda. Il les a accusés d’être entrés dans le gouvernorat sous le "prétexte" de protéger la population, mais au lieu de cela, ils ont bombardé des villages et soutenu les "gangs takfiris" avec des armes lourdes et des drones lors des derniers affrontements.
Israël avait précédemment affirmé qu’il souhaitait soutenir la minorité druze et empêcher sa "persécution par Damas" – qui a récemment engagé des négociations avec Tel Aviv sur une éventuelle normalisation et des arrangements de sécurité.
Les frappes israéliennes ont visé des combattants liés à Damas lors d’une précédente série de combats avec les Druzes fin avril.
Les forces d’occupation israéliennes continuent de consolider leur emprise sur le sud de la Syrie, après l’avoir occupé à la suite de la chute du gouvernement de l’ancien président syrien Bachar al-Assad et avoir fait pression pour une démilitarisation complète de la région.
La Turquie, quant à elle, a réaffirmé publiquement ses propres lignes rouges. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré à l’issue d’une réunion du cabinet le 17 juillet 2025 :
"Nous n’avons pas accepté la division de la Syrie hier, ni aujourd’hui, et nous ne serons catégoriquement pas d’accord demain. Ceux qui descendent du puits, en s’accrochant à la corde d’Israël, se rendront compte tôt ou tard de la grave erreur qu’ils ont commise".
En réalité, il n’y a pas de confrontation ouverte entre la Turquie et Israël, mais un partage tacite du butin, chacun poursuivant ses propres ambitions de corridor tout en gérant le conflit par procuration et par des voies détournées.
Malgré les gesticulations publiques, Israël et la Turquie ne sont pas des adversaires en Syrie, mais des acteurs coopératifs qui découpent le pays selon des lignes tracées par les desseins régionaux dirigés par les États-Unis.
L’explosion violente entre Druzes et les milices et armées de Shaara qui vient d'avoir lieu à Suwayda, n’est pas le résultat d’une décision politique explicite, mais a été déclenchée par un incident apparemment mineur : un différend au sujet de la cargaison d’un camion de légumes à un poste de contrôle. Les informations des services de renseignement ont révélé plus tard que cet incident avait été l’étincelle déclenchant un vaste affrontement impliquant des groupes druzes locaux, les factions de Sharaa dirigées par HTS et les restes de groupes armés réintégrés officieusement sur le terrain avec le soutien indirect de la Turquie.
L’incident s’est rapidement transformé en une bataille ouverte impliquant des drones de reconnaissance israéliens, des unités blindées locales et des groupes armés portant des drapeaux en conflit – certains proches d’Ankara, d’autres liés à des organisations extrémistes récemment réactivées. En l’espace d’une semaine, plus de 700 personnes sont mortes.
Et la bataille continue encore à ce jour (au 19 juillet 2025).
La présidence syrienne a annoncé le 19 juillet un cessez-le-feu immédiat et complet dans la province méridionale de Suwayda, alors même que des tribus bédouines lourdement armées alignées sur Damas poursuivent leurs attaques contre le gouvernorat à majorité druze.
Dans une déclaration, le président autoproclamé Ahmad al-Sharaa (ancien commandant de l’EI et d’Al-Qaïda, Abou Mohammed al-Jolani) a appelé tout le monde à permettre à l’État syrien, à ses institutions et à ses forces de "mettre en œuvre ce cessez-le-feu de manière responsable, en assurant la consolidation de la constitution et la cessation de l’effusion de sang".
La présidence a déclaré qu’elle déployait ses forces à Suwayda pour faire respecter le cessez-le-feu et a mis en garde contre toute partie qui pourrait le violer.
Cependant, des sources druzes ont rapporté samedi après-midi 19 juillet 2025, que les attaques contre Suwayda par des groupes armés bédouins locaux alignés sur Damas se poursuivaient.
Suwayda 24 a rapporté que des groupes armés venus de l’extérieur de la province ont rejeté l’accord de cessez-le-feu parrainé par la communauté internationale et tenté d’avancer sur la ville de Suwayda, au milieu d’une résistance farouche de la part des factions druzes locales.
Les groupes armés attaquants sont tombés dans des embuscades alors qu’ils tentaient d’avancer dans la ville, ce qui a semé la confusion dans leurs rangs entre les groupes fuyant la ville et d’autres retranchés dans certains quartiers résidentiels.
Des groupes armés bombardent sans discernement des quartiers résidentiels avec des obus de mortier, tandis que des enregistrements vidéo montrent des militants venant de l’extérieur de Suwayda disant qu’ils rejettent tout accord de cessez-le-feu.
Certaines des personnes tuées dans ces groupes portent des cartes d’identité militaires du ministère syrien de la Défense, a ajouté Suwayda 24.
Une faction druze connue sous le nom d’Hommes de dignité a publié une déclaration accusant les groupes soutenus par le gouvernement de continuer à "attaquer des villages et des villes, agresser des civils pacifiques, brûler leurs biens et commettre des violations au vu et au su du monde entier".
Plus tôt dans la journée, le cheikh Hikmat al-Hajri, le chef spirituel de la communauté druze du gouvernorat de Suwayda, et le rassemblement des tribus du sud de Deraa ont tous deux publié des déclarations approuvant un cessez-le-feu.
Des combattants bédouins armés, suivis par des troupes de l’armée syrienne et des forces de sécurité intérieure, ont envahi le gouvernorat de Suwayda en début de semaine. Les milices druzes locales défendaient le gouvernorat.
Des habitants interrogés par Reuters jeudi "ont décrit des amis et des voisins abattus à bout portant dans leurs maisons ou dans la rue. Ils ont dit que les meurtres avaient été perpétrés par des soldats syriens, identifiés par leurs treillis et les insignes qu’ils portaient".
"La violence s’est fortement aggravée après l’arrivée des forces gouvernementales", a rapporté Reuters, citant des habitants de Suwayda, deux journalistes sur le terrain et un groupe de surveillance.
Washington observe, réglemente, mais ne décide pas:
Les États-Unis n’étaient pas absents de la scène. Washington a exprimé à plusieurs reprises son accueil de la prise de pouvoir de Sharaa, le considérant comme une figure internationalement acceptable par rapport au gouvernement précédent. Cependant, il ne lui accorda pas le libre mandat de se déplacer vers le sud.
L’envoyé américain en Syrie, Tom Barrack, a clairement déclaré que Washington soutenait l’unité territoriale de la Syrie, mais a simultanément mis en garde contre des actions unilatérales qui pourraient menacer la stabilité régionale.
En vérité, le rôle de Washington s’est accru – mais en tant qu’observateur plutôt qu’en tant qu’acteur actif. Cette passivité a permis aux puissances régionales comme la Turquie et Israël de dessiner de nouvelles cartes d’influence à travers une géographie syrienne dévastée.
Washington semblait désireux de réguler le rythme, mais n’était pas disposé à prendre une décision décisive. Il cherche à éviter une confrontation directe avec la Turquie ou Israël, mais n’est pas non plus prêt à permettre une expansion turque incontrôlée.
La guerre des projets :
La bataille pour Suwayda n’est pas vraiment une question de sectarisme (sectarisme généralement encouragé par Israël dans tout le monde arabe, dans le but de "diviser pour mieux régner") ou de gouvernance. C’est une guerre entre deux visions infrastructurelles : l’une turque, l’autre israélienne. Chaque projet vise à dicter les routes du commerce, de l’énergie et de l’influence dans la Syrie de l’après-Assad.
Sharaa, malgré ses racines dans Al-Qaïda et l’EI, est devenu un substitut pour les intérêts turcs. Mais en l’absence de véritables alliances ou de légitimité interne, il fait face à tout le poids de l’hostilité israélienne.
La bataille de Suwayda est le premier véritable test de l’ère post-Assad. Son issue façonnera non seulement les futures frontières de la Syrie, mais aussi l’ensemble de la carte des transports et de l’énergie de la région. Il déterminera également si la nouvelle Syrie suivra la route de développement de la Turquie ou la soi-disant ligne de paix d’Israël.
Les israéliens viennent de présenter leur nouvelle carte du "Grand Israël". Les israéliens visent la Turquie puisque les tribus arabes et bédouines sont soutenues par la Turquie face aux Druzes ....
Bien écouter également la remarquable analyse de @CGalacteros sur le plan Clean Break, qui est la base de la doctrine de #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocide depuis 1996 (vidéo du 30 juin 2025). Cette doctrine explique parfaitement pourquoi #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocide a fait mener par les Américains la guerre en Irak, dans le but de casser ensuite la Syrie, afin de couper toute aide aux Palestiniens. Et pourquoi lsraël s'appuie sur la Turquie (même s'il s'en méfie), et l'Azerbaidjan, afin de pouvoir casser l'Iran, qui est le grand rival d'Israël ... mais là, Israël s'est cassé les dents.
Syrie - Israël - There are two Syrias today - Joshua Landis, Director of the Center for Middle East studies at the University of Oklahoma - 20 juillet 2025 - translatemom
⤵️
Jul 19 • 4 tweets • 5 min read
Le discours prononcé par l'excellent journaliste @TuckerCarlson devant le public de TPUSA, le groupe de jeunes conservateurs fondé par l'influenceur républicain Charlie Kirk, au cours duquel @TuckerCarlson a dénoncé les questions que les américains se voient interdits de se poser, sur les liens entre l'affaire Epstein, la CIA et le Mossad (voir la vidéo en VOSTFR ci-dessous), a déclenché la fureur d'Israël.
L'ancien premier ministre israélien Naftali Bennett a affirmé que l'idée qu'Epstein ait opéré une opération pour le compte d'Israël (via le Mossad), de chantage à l'égard des dirigeants américains avec des vidéos filmées de leurs déviances sexuelles, est totalement fausse. Et Naftali Bennett d'ajouter que les américains croient les mensonges de Tucker Carlson, parce qu'ils concernent Israël ... Bennett pratique donc l'inversion accusatoire habituelle, utilisée de la propagande israélienne ... et il menace implicitement Tucker Carlson !
@TuckerCarlson est un homme libre, profondément croyant dans sa patrie américaine, très populaire, avec une énorme audience, et il parle et dénonce librement, quelques soient les menaces à peine voilées d'Israël à son égard.
Amichai Chickli, le responsable israélien des affaires de la diaspora aux Etats-Unis, personnage insidieux et louche, véritable espion israélien aux Etats-Unis, a dans une lettre ouverte, flatté l'égo de l'influenceur républicain Charlie Kirk, fervent appliquant du consensus pro-israélien habituel, en lui reprochant d'avoir permis à Tucker Carlson de répandre "ses mensonges", en dénonçant Tucker Carlson, Candace Owens et Dale Cooper comme étant des nazis, et que Charlie Kirk doit les déplateformer, ne plus leur sonner la parole. Si Kirk continue, Israël prendra des mesure ..... Donc menaces renouvelées par Chickli, pour le compte d'Israël, à l'encontre des excellents journalistes et citoyens américains libres et chrétiens que sont @TuckerCarlson et @RealCandaceO .
Il faut toujours se rappeler ce qu'a dit Julian Assange: "Oubliez la Russie, la véritable menace pour l’Amérique est Israël et le lobby israélien".
Et ce qu'à dit Edward Snowden:
"Lorsque la dénonciation d’un crime est considérée comme la commission d’un crime, vous êtes gouverné par des criminels"
Lorsqu’un responsable israélien nie fermement quelque chose, cela signifie que c’est vrai. Ne jamais oublier la devise originelle du Mossad: "Par la tromperie, tu feras la guerre".
Et il faut lire "One Nation Under Blackmail" de l'excellente journaliste d'inveestigation @_whitneywebb
Whitney Webb est écrivaine, chercheuse et journaliste professionnelle depuis 2016. Elle a écrit pour plusieurs sites Web et, de 2017 à 2020, a été rédactrice et journaliste d’enquête principale pour @MintPressNews . Elle écrit actuellement pour @UnlimitedHangR . Elle est l’auteur du livre "One Nation Under Blackmail". Récemment, son travail a été référencé par @IanCarrollShow sur le podcast @joerogan , lequel a une audience de dizaines de millions d'auditeurs.
Anya Parampil, Aaron Mate et Max Blumenthal, journalistes dans l'excellent journal d'investigation @TheGrayzoneNews , évoquent TPUSA, le groupe de jeunes conservateurs fondé par l'influenceur républicain Charlie Kirk, où le consensus pro-israélien autrefois rigoureusement appliqué par Kirk a volé en éclats suite au scandale Jeffrey Epstein. Ils couvrent également le retrait pathétique de Kirk après les critiques du cercle intime de Donald Trump.
Voici enfin ci-dessous, en VOSTFR, la vidéo de l'entretien de l'excellent journaliste @TuckerCarlson avec l'historien le plus honnête des Etats-Unis, @Darylcooper01 , daté du 18 juillet 2025. Dans cet long entretien, @Darylcooper01 et @TuckerCarlson répondent aux dénégations et menaces voilées de Naftali Bennett, et détaillent les liens entre Epstein et les agences de renseignements CIA et Mossad.
La véritable histoire de l’affaire Jeffrey Epstein, par l’historien le plus honnête des États-Unis. Darryl Cooper, en direct.
Je conseille à tous, de bien regarder cette vidéo, avant qu'elle soit supprimée d'internet .
:0:00 Les origines étranges de Jeffrey Epstein et son lien avec Bill Barr
9:05 Le blanchiment d’argent d’Epstein
16:53 Epstein appartenait-il aux services de renseignement ?
29:02 Le lien d’Epstein avec l’Iran-Contra
45:22 Qui était vraiment Robert Maxwell ?
58:12 La mort mystérieuse de Robert Maxwell
1:02:49 Comment Epstein s’est lié à la famille Maxwell 1:06:20 Comment Epstein a intimidé et menacé les journalistes qui ont osé poser des questions
1:12:53 Comment Epstein s’est enrichi et son étrange relation avec Les Wexner
1:25:06 Existe-t-il des documents financiers documentés sur le supposé fonds spéculatif d’Epstein?
1:30:19 Comment Epstein a utilisé Victoria’s Secret pour repérer ses victimes
1:35:04 Les crimes sexuels d’Epstein et de Ghislaine Maxwell à Palm Beach
1:46:46 Pourquoi Epstein s’est échappé en Israël 1:54:40 Le Lolita Express, l’art satanique et Tony Podesta
2:15:22 La vraie définition du mal
2:26:16 Epstein s’est-il suicidé ?
2:35:56 Message de Cooper à la Maison Blanche 2:40:46 Pourquoi Mark Levin a-t-il peur de Darryl Cooper ?
Conclusion :
"S’ils sont noirs, alors c’est un gang. S’ils sont italiens, c’est une foule", a déclaré Chappelle. "Mais s’ils sont juifs, c’est une coïncidence et vous ne devriez jamais en parler" ~ Dave Chappelle sur SNL .....
Et je conseille à @TuckerCarlson , Daryl Cooper, et à @MaxBlumenthal de bien mentionner partout qu'ils ne sont pas suicidaires !
USA - Israël - l'influenceur républicain Charlie Kirk I'm done talking about Epstein - TPUSA pro-israeli consensus explosed with Trump speech about Epstein - Max Blumenthal - 19 juillet 2025
⤵️
USA - affaire Jeffrey Epstein - Tucker Carlson's full speech - not allowed to ask – Tucker Carlson exposes Epstein, Mossad, US CIA Intel secrets - 10 juillet 2025 - translatemom
⤵️
La courageuse et excellente journaliste @RealCandaceO , après s'être attaquée avec @XavierPoussard à l'affaire Brigitte Macron, aka Jean-Brichel, dans un feuilleton devenu viral sur internet, X et YouTube, s'attaque maintenant à l'affaire Epstein. Elle la décortique dans un feuilleton sur YT et sur son site internet dédié. @RealCandaceO est d'autant plus attachée à démonter l'affaire, qu'elle ne croit pas, comme de très nombreux électeurs et influenceurs MAGA, qui ont porté Trump au pouvoir le 5 novembre 2024, afin qu'il effectue son 2ème mandat de POTUS, aux désormais multiples et de plus en plus grossiers mensonges de Trump concernant l'affaire de la prétendue inexistante liste des clients du pédophile Epstein ... et que ce même Epstein se serait réellement suicidé.
Voici en VOSTFR les deux premières vidéo de @RealCandaceO sur l'affaire Epstein et les raisons de son cover up par Trump.
Ecoutez bien ....
The Epstein Files - Dead Men Tell No Tales - An Introduction - Candace Owens - 17 juillet 2025 - translatemom
⤵️
La stratégie américano-israélienne d'encerclement et l'Iran, et de containment de la Russie dans le Caucase du Sud: le rêve des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Un 🧵 sur le sujet.
1.
Première étape de la mise en oeuvre de la stratégie d'enveloppement de l'Iran : l'Azerbaïdjan, Israël et la Turquie se rapprochent de l'Iran.
L’alliance triangulée de Bakou avec Tel-Aviv et Ankara remodèle discrètement les équations régionales de sécurité et d’énergie, du Caucase du Sud au cœur de l’Axe de Résistance.
Le renforcement d’une alliance tripartite entre l’Azerbaïdjan, Israël et la Turquie modifie l’équilibre des pouvoirs en Asie occidentale et dans le Caucase du Sud.
Cet axe, en préparation depuis des décennies mais fonctionnant en grande partie dans l'ombre, est devenu un puissant outil géostratégique et géoéconomique – notamment dans les guerres en Syrie (dont les bombardements récents d'Israël sur Damas, visant à prendre le contrôle d'une large part du territoire syrien), le génocide en cours à Gaza et les provocations américano-israéliennes croissantes contre l’Iran.
Une relation secrète prend racine :
Tel Aviv n’a pas perdu de temps pour nouer des liens avec Bakou après que l’Azerbaïdjan a déclaré son indépendance de l’Union soviétique en août 1991. En 1993, une ambassade israélienne opérait déjà dans la capitale.
Cette alliance – souvent comparé à un iceberg dont la majeure partie de la masse est cachée – repose sur quatre intérêts croisés : affronter la République islamique d’Iran, collaborer dans le domaine des technologies énergétiques et d’armement, tirer parti du pouvoir de lobbying sioniste à Washington (en particulier contre le lobby arménien) et démontrer la capacité d’Israël à créer des liens avec une nation à majorité musulmane pour contrer les récits d’isolement.
L'Azerbaïdjan a ainsi donné à Israël "accès à l'Iran" dans le cadre d'une alliance stratégique. Dans le cadre de cette alliance, dès 2023 l’Azerbaïdjan a reçu d’Israël le matériel militaire le plus avancé, et a permis au Mossad d’établir une présence près de la frontière iranienne.
Une enquête menée par le média israélien @Haaretz publié le 6 mars 2023, détaillait les relations stratégiques entre Israël et l'Azerbaïdjan, à travers lesquelles Tel Aviv a fourni à Bakou des milliards de dollars d'armes en échange "de pétrole et d'un accès à l'Iran".
L'enquête cite des données aéronautiques accessibles au public et souligne qu'au cours des sept dernières années, "92 vols cargo effectués par Azerbaijani Silk Way Airlines ont atterri sur la base aérienne d'Ovda, le seul aérodrome d'Israël par lequel des explosifs peuvent entrer et sortir du pays".
L'Azerbaïdjan aurait autorisé l'agence de renseignement israélienne Mossad à établir une présence dans le pays pour "surveiller" la situation en Iran, voisin du sud du pays. Elle a également mis en place un aérodrome permettant à Israël de frapper les installations nucléaires iraniennes depuis son territoire.
En échange, l’Azerbaïdjan a reçu les "armes les plus avancées", notamment des missiles balistiques, des systèmes de défense aérienne et des drones kamikazes.
Grâce à ce partenariat, l’Azerbaïdjan est devenu le plus grand fournisseur de pétrole d’Israël, tandis que ce dernier est devenu le plus grand fournisseur d’armes du premier.
Les relations entre l'Azerbaïdjan et Israël sont "discrètes mais étroites", a déclaré Rob Garverick, chef du département politique et économique de l'ambassade américaine à Bakou, en 2009. Selon @Haaretz , le documents nucléaires volés par des agents du Mossad à Téhéran en 2018 ont été "transférés" en Israël via l'Azerbaïdjan.
C'est à se demander d'ailleurs si le Mossad, opérant de fait librement en Azerbaidjan, n'a été pour rien dans le crash de l'hélicoptère transportant le président iranien Ebrahim Raisi, qui est survenu le 19 mai 2024 dans une zone montagneuse à la frontière entre l'Iran et l'Azerbaidjan, alors qu'il n’y avait aucune prévision météorologique mentionnant des perturbations météorologiques pour rendre la situation dangereuse ..
Pour les Israéliens, l’Azerbaïdjan constitue donc une base stratégique avancée à la frontière nord de l’Iran. Les postes de surveillance électronique du Mossad – actifs depuis les années 1990 – surveillent l'Iran depuis le sol azerbaïdjanais.
Des rapports, bien qu'officiellement non confirmés, soulignent le rôle de l'Azerbaïdjan dans les récentes attaques américano-israéliennes contre l’Iran, notamment des frappes de drones et l’utilisation de bases aériennes. Fin juin 2025, Téhéran a d'ailleurs exhorte Bakou à enquêter sur les informations selon lesquelles Israël aurait utilisé l'espace aérien azerbaïdjanais pour bombarder l'Iran. Du point de vue de Bakou, Tel-Aviv offre une assurance contre l’affirmation de puissance régionale qu'est l’Iran et contre l’héritage soviétique persistant de la Russie.
Le facteur démographique ajoute une couche supplémentaire : on estime que 15 millions d'Azerbaïdjanais iraniens – soit près du double de la population azerbaïdjanaise elle-même– rendent l'approche de Téhéran à l'égard de Bakou particulièrement difficile, et permettent au Mossad et à la CIA de tenter de déstabiliser l'Iran et faire éclater le pays (comme la Yougoslavie, la Somalie, la Lybie, la Syrie, etc) via ses minorités ethniques, de façon à assurer un changement de régime en Iran ...
Du pétrole contre des armes : le pacte tacite
Au cœur de l’axe Azerbaïdjan–Israël se trouve un accord transactionnel – pétrole contre armes. L'État colonial s'approvisionne en près de la moitié de son brut en Azerbaïdjan via le Gazoduc Bakou–Tbilissi–Ceyhan (BTC).
En échange, Bakou reçoit des armements israéliens de pointe. Depuis 1991, l’Azerbaïdjan a investi des milliards Matériel militaire israélien:Drones Hermes et Harop, systèmes antichars et patrouilleurs navals. Ces plates-formes ont joué un rôle décisif dans la guerre du Haut-Karabakh de 2020, représentant jusqu’à 90% des pertes blindées et de défense aérienne arméniennes.
Israël est l’un des plus importants fournisseurs d’armes de l’Azerbaïdjan, il a fournit Bakou à hauteur de 69% de ses importations d'armes entre 2016 et 2020, représentant 17% des exportations d'armes de Tel Aviv au cours de cette période. Israël a augmenté ses exportations d’armes vers l’Azerbaïdjan lors du conflit du Haut-Karabakh de 2020 entre Bakou et Erevan, qui a entraîné la mort de plus de 6 000 soldats et l’Azerbaïdjan a revendiqué le contrôle des territoires contestés dans la région du Haut-Karabakh.
Mais Bakou cherche plus qu’une simple puissance militaire. Ses liens avec Tel-Aviv servent de fossé politique à Washington, sapant l’influence arménienne. Pour Israël, présenter une alliance stratégique avec une république nominalement chiite à majorité musulmane est un atout de propagande précieux, pour renforcer son récit de coexistence avec le monde islamique, malgré l'Axe de résistance majoritairement façonné par les mouvements dirigés par les chiites.
L’alliance de la Turquie avec l’Azerbaïdjan découle de parenté ethnique et l’histoire partagée – "une nation, deux États" n’est pas qu'un simple slogan. Ankara a toujours soutenu Bakou militairement et diplomatiquement, en particulier au sujet du Haut-Karabakh.
Alors que la Turquie et Israël maintiennent un partenariat stratégique mouvementé – interrompu par des événements comme le raid du Mavi Marmara en 2010, la guerre israélienne en cours à Gaza en octobre 2023 et des intérêts concurrents en Syrie –, leur interdépendance persiste.
Bakou a souvent joué le rôle d’intermédiaire. Avec les deux armées retranchées en Syrie – la Turquie au nord, Israël au sud – l'Azerbaïdjan a accueilli au moins trois séries de pourparlers de sécurité, conduisant à mesures de déconfliction et une hotline pour prévenir l’escalade.
Malgré l'officiel suspension du commerce entre la Turquie et Israël, alors qu'Israël est en pleine guerre génocidaire contre la population de Gaza, le pétrole azerbaïdjanais continue de circuler à Ceyhan, entre Bakou et Tel Aviv. Selon des sources israéliennes, Bakou contourne les restrictions d'Ankara, en modifiant les registres douaniers afin de masquer Israël comme destination finale – une solution de contournement que Ankara semble tolérer.
En approfondissant davantage l'axe, la société pétrolière publique azerbaïdjanaise SOCAR a acquis une participation de 10% dans le champ gazier israélien de Tamar pour 900 millions de dollars et a obtenu de nouveaux droits d'exploration dans les eaux israéliennes. Ces mesures laissent entrevoir de futures exportations de gaz d’Israël vers la Turquie – contournant la posture publique et exposant les courants stratégiques sous-jacents qui unissent le triangle Tel-Aviv - Ankara - Bakou.
Iran - Raisi's chief of staff Gholam Hossein Esmaili, describes downed helicopter's final moments, Ebrahim Raisi's chopper disappeared from view - 22 mai 2024
⤵️ 2. Zangezur : Le couloir de la confrontation :
Les relations entre Bakou et Ankara évoluent également à travers la controverse du Corridor de Zangezur – destiné à relier l'enclave azerbaïdjanaise du Nakhitchevan à son continent via la province arménienne de Syunik. Soutenu par les deux États, mais totalement opposé par Téhéran, le corridor faciliterait une liaison directe avec le Turkménistan et les républiques turques d'Asie centrale, sous surveillance temporaire russe.
Erevan a résisté à ce qu’il considère comme une atteinte à sa souveraineté. Mais de récentes fuites suggèrent que le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan pourrait avoir conclu un accord préliminaire lors d’une visite inopinée en Turquie en juin 2025. Si cette décision est confirmée, elle souligne l’influence d’Ankara en coulisses et la portée croissante de l’alliance tripartite. Les observateurs relient les rumeurs d'un accord secret au récent coup d'État manqué en Arménie, révélant une opposition interne farouche à toute concession sur le corridor stratégique.
Vers des accords d’Abraham 2.0 ?
Les responsables israéliens considèrent désormais l’Azerbaïdjan comme un candidat de choix pour un projet de normalisation élargi mené par les États-Unis – "Abraham Accords 2.0." Le pacte envisagé inclut l’Arabie saoudite, la Jordanie, l’Égypte, le Maroc, la Syrie sous la direction du président par intérim Ahmad al-Sharaa, et des monarchies du golfe Persique.
L’objectif est de constituer un bloc de sécurité et de commerce anti-iranien intégré au corridor économique Inde–Moyen-Orient–Europe soutenu par les États-Unis (IMEC) – une route commerciale potentielle destinée à rivaliser avec l'initiative chinoise Belt and Road (BRI), déjà opérationnelle et valant plusieurs milliards de dollars, reliant l'Asie à l'Europe et au-delà.
Le corridor a déjà été testé, réacheminant les marchandises vers le port israélien de Haïfa via Dubaï, Riyad et Amman – contournant la mer Rouge suite au blocus imposé par le Yémen aux navires liés à Israël.
Mais des fissures apparaissent. La guerre de la terre brûlée menée par Tel-Aviv contre Gaza a forcé Ankara à modérer ses relations, du moins publiquement. Le spectre d’une réduction des flux de pétrole à travers Ceyhan et de frictions non résolues en Syrie pourrait détruire certaines parties du triangle. Bakou anticipe également deux défis : sa dépendance réduite aux armes israéliennes après la reconquête du Haut-Karabakh, et la capacité potentielle d'Israël à répondre aux besoins énergétiques via ses partenaires du Golfe Persique, en contournant la Turquie.
En réponse, l’Azerbaïdjan couvre et étend ses échanges commerciaux avec Israël dans les secteurs du gaz, des diamants et de la technologie, et propose une coopération en matière de renseignement contre l'Iran et l'Asie centrale. Mais cela ne fait qu’amplifier les soupçons de Téhéran.
Téhéran reste profondément inquiet des liens croissants de Bakou avec Tel Aviv. Les médias iraniens liés au Corps des gardiens de la révolution islamique (IRGC) d'Iran préviennent que l'Azerbaïdjan pourrait servir de porte d'entrée exporter les accords d'Abraham dans le cœur turc – Kazakhstan, Ouzbékistan et au-delà.
Il est clair que Téhéran considère toute mise en œuvre forcée du corridor de Zanzegur comme une menace directe à son intégrité territoriale et à son influence régionale.
"La possibilité d’étendre l’accord de compromis ("Accords d'Abraham") au Caucase et à l’Asie centrale:
"En mars de l'année 2025, un groupe de 50 rabbins juifs américains a rendu visite à Trump et a eu des discussions concernant l’élargissement de l’accord de compromis aux pays turcs, dont l’Azerbaïdjan, et à certains pays d’Asie centrale, comme le Kazakhstan.
Selon le rapport de l'Agence de presse Tasnim, l'accord de compromis, qui était le résultat du processus de normalisation des relations du régime sioniste avec les pays musulmans d'Asie du Sud-Ouest, a été proposé dans le cadre de l'idée de l'accord du siècle de Donald Trump, lors de son précédent mandat de président de Etats-Unis.
Il semble que le régime sioniste et les États-Unis n’aient pas abandonné cette initiative. C’est pourquoi, avec le désir de certains cercles politiques américains et les provocations du régime sioniste, cette idée est à nouveau poursuivie.
La réintroduction de questions telles que la reconnaissance du régime sioniste par l’Arabie saoudite en échange de l’obtention de certaines concessions politiques est considérée comme faisant partie de cette initiative américano-sioniste dans la région.
À cet égard, il semble que des pays comme la République d’Azerbaïdjan, considérés comme les principaux alliés du régime sioniste, figurent en tête de cette liste. Selon certaines informations, l'un des objectifs de la visite reportée du Premier ministre israélien Netanyahu à Bakou était de finaliser l'adhésion de l'Azerbaïdjan à l'accord de compromis.
En avril 2025, le bureau du Premier ministre du régime sioniste a explicitement souligné dans un communiqué que ce régime cherche à éliminer tous les obstacles auxquels est confronté le développement des relations trilatérales "Amérique-Israël-Azerbaïdjan".
À cet égard, Newsweek a récemment déclaré dans un rapport lié à cette question que les meilleurs amis du régime sioniste dans le monde islamique sont l’Azerbaïdjan et d’autres pays turcs. Ce rapport indique qu’après l’opération de tempête Al-Aqsa, ces pays, comme l’Azerbaïdjan et le Kazakhstan, non seulement n’ont pas réduit leurs relations avec le régime sioniste, mais les ont également renforcées.
Stephen Blank, le célèbre écrivain américain dans ce domaine, affirme que l’élaboration d’un accord de compromis avec le Caucase du Sud pour créer un arc de coopération plus large peut garantir les intérêts américains.
Il souligne également que l'adhésion de pays comme l'Azerbaïdjan à cet accord peut aider à contrôler l'Iran, à exercer davantage de pression sur Téhéran et à établir le rôle de l'Azerbaïdjan en tant que leader régional dans le Caucase du Sud.
Dans une telle situation, il semble que l’Azerbaïdjan prenne également des mesures sous forme de lobbying avec une volonté particulière sur cette question. En mars de cette année 2025, un groupe de 50 rabbins juifs américains a rendu visite à Trump et a évoqué l’élargissement de l’accord de compromis aux pays turcs, dont l’Azerbaïdjan et certains pays d’Asie centrale.
Bien entendu, l’objectif principal de la visite était de faire appel du paragraphe 907 contre l’Azerbaïdjan. Selon ce paragraphe, sous le titre de la loi américaine sur la protection de la liberté, toute forme d’aide directe à l’Azerbaïdjan est interdite.
Bien entendu, les déclarations du porte-parole du Département d'État américain selon lesquelles la mise en œuvre de cette sanction est temporairement suspendue depuis le 26 avril 2025 montrent que ces mesures ont été efficaces. À cet égard, il semble que l’Azerbaïdjan offrira davantage de concessions à l’Amérique et au régime sioniste pour bénéficier de cet avantage.
L’un de ces privilèges consiste à ajouter des pays d’Asie centrale comme le Kazakhstan et l’Ouzbékistan à l’accord de compromis. C’est alors qu’auparavant, depuis 2021, l’Azerbaïdjan accueillait des réunions de dialogue dans ce domaine.
En mai de cette année 2025, une réunion a eu lieu sous le titre «Accord d’Ibrahim comme opportunité de transformer l’Asie centrale et l’Azerbaïdjan», qui a explicitement souligné le rôle de l’Azerbaïdjan dans la facilitation de l’adhésion des pays d’Asie centrale à l’accord de compromis.
À cet égard, l'Institut d'études sur la route de la soie des États-Unis a également souligné dans un rapport qu'avec l'adhésion de l'Azerbaïdjan au Traité de compromis (Accords d'Abraham), les États-Unis d'Amérique peuvent influencer la géopolitique des relations avec l'Asie centrale et, en étendant leurs initiatives à la côte du Kazakhstan, l'hégémonie commerciale de la Chine pour stopper la montée en puissance de l'Eurasie occidentale.
Cette question peut également réduire l’isolement de l’Inde en Asie centrale et créer un large cadre de coopération pour le régime sioniste. Ce rapport considère l’adhésion de l’Azerbaïdjan puis des pays d’Asie centrale comme un cadeau stratégique pour l’Amérique et le régime sioniste.
C’est pour cette raison qu’il est prévu qu’après l’Azerbaïdjan, d’autres pays d’Asie centrale deviendront également membres de ce traité. En attendant, Bakou joue le rôle principal de persuader ces pays, et il semble que l’extension de cette idée à fera progresser l’adhésion des pays turcs à l’accord de compromis".
L’axe azerbaïdjanais–israélien–turc, alimenté par les ambitions incontrôlées de Bakou, représente un défi multidimensionnel à la posture régionale de l’Iran.
Pourtant, Téhéran ne semble pas encore avoir élaboré de contre-stratégie cohérente. Les Iraniens continuent d'appliquer le traitement du gant de velours à l'Azerbaïdjan, comme en témoigne la visite du président iranien Masoud Pezeshkian à Bakou le 4 juillet 2025, lors du sommet ECO, en marge duquel le président iranien Pezeshkian a rencontré ses homologues azéri et turc.
Pezeshkian s'est donc rendu en République d'Azerbaïdjan pour participer au 17ème Sommet des chefs d'État de l'ECO à l'invitation de son homologue azéri, Aliyev. L'ECO est une organisation intergouvernementale politique et économique fondée par la Turquie, le Pakistan et l'Iran pour servir de plate-forme pour discuter et améliorer le développement et promouvoir le commerce et l'investissement.
Actuellement, elle compte sept autres membres, à savoir l’Afghanistan, l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan
Compte tenu des spéculations publiques selon lesquelles l’Azerbaïdjan a aidé et a soutenu Israël dans ses frappes contre l'Iran, l'approche "fraternelle" de Téhéran vis-à-vis de l'Azerbaidjan peut être interprétée à tort comme une vulnérabilité et une naïveté à Bakou - et même encourager le président Ilham Aliyev à tester davantage les frontières de l'Iran.
La réticence de la République islamique à exploiter les vulnérabilités du triangle – qu’elles soient temporaires (comme Gaza) ou géographiques (via l’Arménie)– pourrait s’avérer coûteuse.
Le temps, pour une fois, n’est peut-être pas du côté de l’Iran.
L'excellent journaliste américain Tucker Carlson soulève la question la plus controversée à ce jour : Jeffrey Epstein travaillait-il pour le Mossad ou une autre agence de renseignement étrangère ? Dans ce commentaire explosif, Carlson exige des réponses sur la fortune soudaine d’Epstein, sa protection politique et le silence suspect des responsables américains et israéliens. Pourquoi est-il interdit de poser ces questions ? Qui était réellement protégé, et pourquoi ?
Pourquoi est-il interdit de nommer l'influence d'Israël et du Mossad dans l'affaire Epstein.
@TuckerCarlson dénonce également la culture de la censure, le sombre passé de la CIA et l’attention injustifiée accordée par les Etats-Unis aux menaces étrangères comme l'Iran, la Russie, alors que les Américains luttent contre les dettes, les addictions et l’insécurité.
@TuckerCarlson insiste : il est temps d’arrêter de chuchoter et d’exiger des réponses.
Vidéo du discours complet de @TuckerCarlson à @TPUSA du 10 juillet 2025, en VOSTFR.
VDL #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG est le nouveau Staline de l'#UERSS : comment la reine non élue de l'#UERSS compte garder son emprise sur le pouvoir du politburo ... Si Bruxelles suivait les idéaux et les "vaaaleurrrs" professés, la Commission européenne (le poliburo) et sa tête tomberaient.
#VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG , la présidente de la Commission européenne qui dirige l'#UERSS , fait enfin face à une motion de censure attendue depuis longtemps (depuis sa première élection à l'arrache, soutenue par #MacronLaHonte #MacronDémission en 2019). Tous les observateurs s’accordent à dire que les chances de succès de cette motion de censure sont très faibles. Et pourtant, il s’agit d’un moment important.
1. Bien évidemment, VDL a contre attaqué, agitant le narratif éculé, en dénonçant les fausses nouvelles '"fake news", la "désinformation", évoquant le "plus vieux manuel des extrémistes" et qualifiant ses détracteurs de "conspirationnistes", d'"anti-vaxxers" et d'"apologistes de Poutine". Acculée par la fureur du Parlement, VDL a sorti ses armes à feu. C’est l’initiatrice de la motion de censure, l’eurodéputé de droite Gheorghe Piperea, qu’elle a qualifiée d'"extrémiste".
"Il y a un choix ici", a déclaré VDL . "Nous pouvons suivre M. Piperea dans son monde de complots et de complots sinistres présumés de ce qu’il appelle "Bruxelles", ou nous pouvons clairement dénoncer cela pour ce qu’il est – une autre tentative grossière de creuser un fossé entre nos institutions, entre les forces pro-européennes et prodémocratiques de cette Chambre". Bref, la langue de bois habituelle ...
Von der Leyen et le chef du PPE, @ManfredWeber , ont tous deux fait valoir que la motion de censure était une tentative des forces d’extrême droite de déstabiliser l’UE. "Poutine aimera ce que ses amis font ici", a déclaré Manfred Weber, qualifiant les partis d’extrême droite AUR roumain et Alternative pour l’Allemagne AfD – tous deux signataires de la motion – de "marionnettes de Poutine".
Comme toujours dans le narratif otano-kiévien, "clafotorus" ...
VDL a déclaré : "Nous voyons la menace alarmante des partis extrémistes qui veulent polariser nos sociétés avec la désinformation", et il y a de nombreuses preuves "que beaucoup sont soutenus par nos ennemis et par leurs marionnettistes en Russie ou ailleurs".
Avant le débat, l’ancien Premier ministre russe Dmitri Medvedev a qualifié VDL de "gynécologue diabolique" et de "vieille femme toxique".
Jamais du genre à franchir une ligne sur la pointe des pieds alors qu’il peut faire un saut massif, Medvedev, l’actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a déclaré que la présidente de la Commission avait "agacé tout le monde", affirmant qu’elle était "malhonnête" et avait commis une "fraude" dans l’achat des vaccins Pfizer pendant la pandémie de Covid-19.
"It’s about to hit the fan for nasty Ursula
Looks like the spiteful gynecologist hag has finally frayed everyone’s last nerve. It has also turned out that her hands aren’t clean, having been involved in a shady Pfizer vaccine procurement scheme during the pandemic. What she got out of this and how much is anyone’s guess, but it has left a very sour taste in everyone’s mouth. And that’s what set this whole shit show in motion.
This week, Ursula’s fate will be in in the hands of the European Parliament – an institution as pointless as it is malevolent. It’s a toss-up: the toxic old crone might just manage to cling to her post.
But the writing’s on the wall: this dumpster fire is about to go nuclear for rabid Russophobes (if you don’t get it now, you will late"
L’homme politique le plus puissant de l’#UERSS n’est pas, par exemple, le chancelier allemand #MerzRücktritt #MERZmussWeg #MerzNichtMeinKanzler ou le président français #MacronDestitution #MacronDEGAGE #macronescu #MacronLaHonte (malgré leur propre folie des grandeurs), mais VDL , la présidente de la Commission européenne. Parce que dans l’Europe de l’OTAN et de l’#UERSS , la véritable mesure du pouvoir aujourd’hui est la capacité de gâcher ce qui reste de démocratie encore debout. Et en dépit d’une concurrence très rude, VDL est la pire et la plus corruptrice des trouble-fêtes.
Cela est dû à trois raisons. La première est structurelle : l’#UERSS n’a pas été conçue pour être une "démocratie" – aussi imparfaite soit-elle – mais un "déficit démocratique" important, enraciné et croissant. Son but n’a jamais été de s’en prendre aux États-Unis, même si le président américain Donald Trump ne peut s’empêcher de se plaindre à ce sujet. La véritable fonction centrale de l’#UERSS est d’éteindre la démocratie en Europe en transférant le pouvoir réel des États-nations ayant une certaine participation populaire, bien que déjà maigre, à la prise de décision politique à une bureaucratie non élue, dont la Commission est le centre et le sommet.
La deuxième raison est une question de caractère individuel et donc de responsabilité : #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG est l’incarnation d’une soif insatiable de pouvoir personnel et irresponsable. Elle ne l’admettra pas, bien sûr, mais son comportement en dit long : #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG ne se considère pas comme une fonctionnaire, mais croit fermement que c’est le public qui doit la servir.
Considérez ces deux facteurs – structurel et individuel – si vous voulez, comme étant globalement similaires à ce qui s’est passé lors de l’ascension de Joseph Staline dans l’ancienne Union soviétique : comme l’#UERSS , le parti communiste post-révolutionnaire a été construit pour restreindre la prise de décision politique à un petit groupe de vrais croyants qui s’auto-sélectionnent. Et seuls ceux qui confessaient les "valeurs" correctes se voyaient offrir une chance de les rejoindre. Comme #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG , Staline a réussi à tourner à son avantage ce "déficit démocratique" délibérément créé en basant son despotisme personnel sur celui-ci.
Et puis il y a la troisième raison qui a facilité la performance de #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG en tant que principal trouble-fête de l’OTAN-UE. À cet égard, elle ne ressemble certainement pas du tout à Staline, mais plutôt à l’un des nombreux satrapes d’Europe de l’Est de la guerre froide. Comme le fidèle Walter Ulbricht de l’Allemagne de l’Est ou le Boleslaw Bierut de Pologne qui a subi une crise cardiaque lorsque Khrouchtchev a fait de Staline l’homme de la chute, #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG est une dirigeante vassale, travaillant simplement pour un autre empire extérieur, l'Hegemon américain. De toute évidence, si impudemment que même Politico l’a – à juste titre – qualifiée de "présidente américaine" de l’#UERSS .
Les accusations que les adversaires politiques de #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG au Parlement européen viennent d’utiliser pour initier le vote de défiance, sont moins fondamentales – tout en reflétant une inconduite stupéfiante – et plus spécifiques, comme elles doivent l’être.
En substance, ils ont ciblé la gestion scandaleuse de la crise du Covid-19 par #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG – et l’ensemble de la Commission – (scandaleuse d’ailleurs sous tous les angles, que vous approuviez ou désapprouviez les vaccins) ; son refus ultérieur et illégal de fournir des informations clés sur ce qu’elle et le PDG de Big Pharma Pfizer faisaient pendant cette période dans des messages privés mais qui n’auraient pas dû l’être ; gaspillage (c’est le moins qu’on puisse dire) dans la gestion d’un fonds de relance post-crise de 650 milliards d’euros ; l’utilisation abusive d’une faille juridique pour augmenter les dépenses d’armement via l’#UERSS ; et enfin, l’utilisation de la législation numérique comme arme pour interférer dans les récentes élections roumaines et allemandes.
Ce que toutes ces transgressions ont en commun, ce n’est pas seulement qu’elles peuvent très bien être criminelles. Ils sont aussi tous des variantes d’une même ruse fondamentalement simple : la manipulation ou même la fabrication d'"urgences" qui sont ensuite exploitées comme couverture pour des abus de pouvoir en constante augmentation. S’il y a bien un grand principe de la prise de pouvoir de #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG , c’est bien celui-ci. Encore une fois, Staline savait une chose ou deux sur cette astuce.
En résumé, les parrains de la motion de censure concluent "que la Commission dirigée par la présidente Ursula von der Leyen n’a plus la confiance du Parlement pour faire respecter les principes de transparence, de responsabilité et de bonne gouvernance essentiels à une Union démocratique". Ils appellent la Commission "à démissionner en raison de ses manquements répétés à garantir la transparence et de son mépris persistant pour le contrôle démocratique et l’État de droit au sein de l’Union".
Et ils ont manifestement raison. Si l’#UERSS était une organisation à moitié légale, honnête et sensée, ce serait un cas de défiance et la Commission, avec #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG à sa tête, tomberait. Il y a aussi un précédent : en 1999, toute une Commission européenne a démissionné, même sans vote de censure. Un rapport dévastateur sur la corruption, la fraude, le népotisme et la mauvaise gestion a suffi.
De toute évidence, l’#UERSS n’a fait que régresser depuis lors. Aujourd’hui, l'#UERSS dispose d’une Commission que le propre chef de la transparence de l’UE a réprimandée comme non seulement non élue et opaque, mais aussi composée de "consiglieri", un terme issu du jargon de la mafia. Et là où la bande est composée de "consiglieri", le patron doit être un "Don".
"Le médiateur européen a décrit une culture puissante, non élue et opaque au sommet de la Commission européenne, rejetant carrément la faute sur sa présidente, Ursula von der Leyen.
Emily O’Reilly, qui a été l’organisme de surveillance de la responsabilité et de la transparence de l’UE pendant plus d’une décennie, a déclaré au podcast EU Confidential de POLITICO que l’opacité de la Commission s’est aggravée au fil du temps.
O’Reilly, qui quitte son poste en février, a déclaré qu’au cours de son mandat de 11 ans, elle n’avait pas rencontré une seule fois von der Leyen et qu’elle n’était « jamais à l’aise » avec les « puissants consiglieri » qui siègent dans le cabinet du président de la Commission. « Consiglieri » est généralement utilisé en anglais comme terme pour désigner les conseillers d’un chef de la mafia".
Pourtant, l’#UERSS est aujourd’hui non seulement très dysfonctionnelle, mais aussi fondamentalement corrompue au sens large du terme. La tactique l’emportera sur les principes n’importe quel jour, sans exception. C’est pourquoi la plupart des plus de 700 parlementaires du Parlement européen ne feront pas ce qu’il faut et éjecteront VDL et sa Commission.
Entre-temps, les coups bas habituels ont été utilisés contre les challengers de #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG . Ne nous attardons même pas sur les tactiques procédurales mesquines et effrontées déployées par la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, pour étouffer le débat sur la motion de censure, comme l’a fustigé à juste titre la députée de l’AfD, Christine Anderson.
Ou la tentative indigne de VDL de rejeter une fois de plus toute critique à son encontre sur "l’extrémisme", la "polarisation" et la manipulation par – comme elle l’a clairement laissé entendre – les grands méchants Russes et "Poutine" personnellement. Dans un esprit tout aussi stupide, le chef du groupe conservateur de #VonLycaon #VonDerLeyenMUSSWEG au Parlement européen, @ManfredWeber , a déclaré que l’ensemble du vote était une "perte de temps" – du moins il est honnête sur son mépris pour les procédures démocratiques et les droits des parlementaires, pourrait-on dire – et, bien sûr, une aubaine pour la Russie.
Bien écouter le direct de l'excellente journaliste @Houdiakova sur le vote de la motion de censure contre VDL, donnant le micro aux députés @v_joron @GheorghePiperea , et au juriste @GBenhessa
UE - Motion of No Confidence against VDL - VDL is Reeling - Christine Anderson, Afd - 8 juillet 2025 - translatemom
⤵️
UE - vote de censure contre VDL - €35 Billion via SMS - EU Erupts Over VDL’s Pfizer Deal Pfizergate Fallout - 8 juillet 2025
⤵️
UE - VDL chooses Ukraine spotlight over facing EU Parliament’s No-Confidence Vote - 8 juillet 2025 - translatemom
⤵️
Motion de censure contre VDL - Tocsin en direct du Parlement européen, avec Virginie Joron et George Pipera - au micro de Clémence Houdiakova - 10 juillet 2025
⤵️ 2. Périsse l’idée que si quelque chose "fait le jeu" de tous les opposants à l’#UERSS , c’est précisément l’autoritarisme et la corruption de la Commission, ainsi que les tentatives démagogiques et bon marché de faire taire les critiques légitimes en criant "Russie, Russie, Russie !"
Le leader de la motion de censure, Gheorghe Piperea, qui a une expérience d’avocat et de juge à Bucarest, est régulièrement qualifié d'"extrême droite", par exemple dans le New York Times. Cette étiquette est ensuite étendue à tous ceux qui osent se révolter contre la Commission et, troisième étape, utilisée pour justifier le refus de soutenir leur initiative. Si sournois, si simple ...
En réalité, la question de savoir quelle est exactement la position de Piperea et de ses partisans sur l’échiquier politique n’est tout simplement pas pertinente. Ce qui compte, c’est qu’ils avancent, et c’est à toute épreuve. En effet, si cela doit être fait par les "marges" du Parlement européen, alors honte à son "centre" autoproclamé – et encore plus pour avoir contribué à protéger davantage VDL en aidant à vaincre cette contestation attendue depuis longtemps de sa mauvaise gouvernance.
Mais c’est, bien sûr, le vrai problème ici : VDL porte une énorme responsabilité individuelle, y compris pour le soutien criminel et diabolique de l’UE – il n’y a pas d’autres mots – à Israël alors que l’État d’apartheid sioniste commet le génocide de Gaza et une guerre d’agression après l’autre contre ses voisins, proches et lointains. Mais VDL ne peut être ce qu’elle est que grâce à des structures conçues à la fois pour imiter et, en réalité, pour tuer la démocratie.
Et aussi grâce à la grande majorité de ceux qui n’ont pas de conscience – à tout le moins – au Parlement européen. VDL , comme tous les méchants de l’histoire, n’est pas seule ; elle est simplement la pire.
Résultat du vote de la motion de censure déposée par des députés : VDL survit à la motion de censure de l’#UERSS , mais le résultat a été une victoire à la Pyrrhus, selon l’eurodéputé roumain à l’origine de la motion.
Les législateurs de l’#UERSS ont voté jeudi 10 juillet 2025 le rejet d’une motion de censure à l’encontre de la présidente de la Commission européenne, VDL . Les critiques ont allégué un abus de pouvoir de sa part, tandis qu’elle a imputé la tentative de la destitution à la Russie.
La motion avait besoin de 357 voix pour être adoptée, mais n’a recueilli que 175 voix en sa faveur. Au total, 360 membres du Parlement européen ont voté contre, avec 18 abstentions. Le résultat était largement attendu.
Sur les 720 membres de la chambre, seuls 553 ont participé au vote. De nombreux absents auraient été membres de partis qui avaient publiquement soutenu VDL. Bien que certains groupes centristes aient d’abord menacé de s’abstenir en signe de protestation, ils se sont finalement opposés à la motion pour se distancer de ses parrains.
Au cours du débat de lundi 7 juillet 2025, VDL a qualifié ses adversaires de "théoriciens du complot" et a affirmé que les législateurs appelant à sa destitution étaient "soutenus par nos ennemis et par leurs marionnettistes en Russie ou ailleurs".
L’eurodéputé nationaliste roumain Gheorghe Piperea, qui a présenté la motion, a déclaré que VDL avait remporté une victoire à la Pyrrhus, affirmant qu’elle avait fait des promesses contradictoires pour obtenir le soutien de différents groupes politiques.
VDL aurait promis de préserver le Fonds social européen dans le prochain budget de l’#UERSS afin de convaincre le groupe des Socialistes & Démocrates (S&D). Piperea a déclaré que les factions de centre-droit telles que Renew Europe et le Parti populaire européen (PPE) préféreraient réaffecter ces fonds à la défense, comme la Commission l’avait précédemment prévu.
Les analystes politiques ont remarqué que même les factions dominantes ont utilisé la procédure comme un exutoire pour exprimer leur frustration à l’égard de la direction de VDL, qui, selon les critiques, manque de transparence et consolide trop d’autorité dans le bureau du président de la Commission.
Pour l'armée israélienne, et pour l'immense majorité des habitants d'Israël soumis à une intense propagande depuis leur plus jeune âge, tous les traitements inhumains et dégradants, et toutes les tortures à l'encontre des Palestiniens sont légitimes. Après tout, les Palestiniens sont totalement déshumanisés, qualifiés d'animaux (par l'ex ministre de la Défense Yoav Gallant), et d'ennemis héréditaires ancestraux (surnommés "Amalek" , "barbares" par le Premier ministre #NetanyahuWarCriminal #NetanyuGenocidaire ).
Déjà il y a un an, des soldats des IDF avaient violé collectivement un prisonnier Palestinien. "Tout est légitime", ont déclaré les dirigeants israéliens qui ont défendu des soldats accusés de viol.
La société israélienne était (et est encore) divisée sur l’arrestation de 10 soldats pour le viol collectif brutal d’un prisonnier palestinien filmé. Une vidéo avait émergé d’un viol collectif d’un prisonnier palestinien par des gardiens dans le sinistre centre de détention de Sde Teiman, situé dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
La vidéo, qui a été vérifiée par Al Jazeera, montre le prisonnier sélectionné parmi un groupe plus important allongé ligoté sur le sol. La victime est ensuite escortée jusqu’à un mur, où les gardes, utilisant leurs boucliers pour cacher leur identité à la caméra, procèdent à son viol.
L’attaque aurait été si brutale qu’après son transfert à l’hôpital, les médias israéliens ont rapporté que la victime était incapable de marcher.
Dix soldats ont finalement été arrêtés pour le viol commis le 29 juillet 2024, et cette affaire a secoué la société israélienne. Les soldats appartiennent à une unité connue sous le nom de Force 100, qui est chargée de garder l’installation de Sde Teiman, selon @Haaretz .
Les procureurs militaires ont libéré trois des soldats arrêtés le 4 août 2024, qui s’ajoutent aux deux précédemment libérés par les enquêteurs à l’issue d’une audience devant un tribunal militaire à Kfar Yona le 30 juillet 2024, au cours de laquelle des manifestants se sont rassemblés en soutien aux soldats arrêtés.
La vidéo a toutefois choqué de nombreux membres de la société israélienne. Certains observateurs, dont un groupe local de défense des droits de l’homme et deux agences de l’ONU, ont exprimé leurs inquiétudes quant au traitement des prisonniers palestiniens.
Cependant, pour certains, y compris pour Bezalel Smotrich, le ministre des Finances d’extrême droite du gouvernement de #NetanyahuWarCriminal #NetanyuGenocidaire , l’indignation s’est concentrée sur le "crime" d’avoir filmé et enregistré la vidéo, plutôt que sur le viol présumé lui-même.
S’exprimant sur X, anciennement Twitter, Bezalel Smotrich a exigé "une enquête criminelle immédiate pour localiser les auteurs de la fuite de la vidéo tendancieuse, qui était destinée à nuire aux réservistes et qui a causé d’énormes dommages à Israël et dans le monde, et à mettre en oeuvre toute la sévérité de la loi contre eux".
D’autres, y compris la droite dure et des politiciens ultranationalistes, comme le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir, en Israël, ont fait valoir que toute action – même le viol collectif – est autorisée si elle est entreprise pour la sécurité de l’État.
Défendre l’indéfendable :
Les soldats soupçonnés de ces abus ont été détenus pour être interrogés, ce qui est rare en Israël pendant un conflit en cours, et cela a suscité une réaction furieuse de la part d’Israéliens d’extrême droite, y compris de hauts responsables gouvernementaux. Un groupe d’Israéliens a tenté de prendre d’assaut une autre installation militaire, un manifestant menaçant d’un soulèvement contre le gouvernement si les suspects restaient en détention.
Après l’arrestation des réservistes le 29 juillet 2024, des foules d’extrême droite, dont certaines comprenaient des ministres du gouvernement, ont pris d’assaut l’établissement pénitentiaire de Sde Teiman, dans le sud d’Israël, plus tard dans la journée.
Incapables de trouver et de libérer les soldats emprisonnés, ils se sont ensuite tournés vers la base de Beit Lid, à 60 km de là, où les soldats étaient détenus pour être interrogés, afin d’appeler à leur libération.
D’autres hauts responsables israéliens, cependant, dont #NetanyahuWarCriminal #netanyahugenocide et le commandant de l’armée, le lieutenant-général Herzi Halevi, ont condamné l’attaque de la base militaire par les manifestants d’extrême droite.
"Entrer par effraction dans une base militaire et y perturber l’ordre est un comportement grave qui n’est en aucun cas acceptable", a déclaré Halevi dans un communiqué, ajoutant : "Nous sommes au milieu d’une guerre et des actions de ce type mettent en danger la sécurité de l’État".
#NetanyahuWarCriminal #netanyahugenocide a appelé au calme, ajoutant sa propre condamnation ferme des manifestants pour avoir tenté de pénétrer dans la base de Tsahal, tandis que le ministre de la Défense Yoav Gallant a averti que "même dans les moments difficiles, la loi s’applique à tout le monde – personne ne peut pénétrer dans les bases de Tsahal ou violer les lois de l’État d’Israël".
Ces troubles se sont poursuivis lors d’une audience de la Haute Cour, convoquée mercredi pour entendre les pétitions des prisonniers de Sde Teiman qui auraient été torturés. La procédure a été interrompue par des manifestants, dont des victimes de l’attaque menée par le Hamas le 7 octobre, qui ont crié "Honte" et "Nous sommes les souverains".
Le groupe de pression israélien Guarding the Soldiers – une nouvelle organisation formée pour défendre les soldats accusés de viol – a été cité par les médias israéliens comme ayant déclaré : "L’audience devant la Haute Cour ce matin est absurde et constitue un cadeau à [le chef du Hamas Yahya] Sinwar et aux meurtriers".
Des politiciens israéliens, y compris des membres du gouvernement, ont également défendu les accusés. Ben-Gvir, qui est responsable de l’administration pénitentiaire, a déclaré aux médias israéliens le jour de l’arrestation des réservistes qu’il était "honteux" pour Israël d’arrêter "nos meilleurs héros". Le même jour, Smotrich, qui faisait partie de la foule de droite qui a pris d’assaut la prison, a publié un message vidéo, affirmant que "les soldats de Tsahal méritent le respect" et ne doivent pas être traités comme des "criminels".
Lorsqu’on a demandé à Ahmad Tibi, l’un des députés arabes de la Knesset israélienne, s’il était légitime "d’insérer un bâton dans le rectum d’une personne", Hanoch Milwidsky, membre du Likoud, le parti au pouvoir du Premier ministre #NetanyahuWarCriminal #NetanyuGenocidaire , a répondu : "S’il est un Nukhba [militant du Hamas], tout est légitime à faire ! Tout !"
La vidéo du viol collectif commis par des soldats réservistes agissant comme gardiens dans la prision de Sde Teiman, est la dernière pièce d’un ensemble croissant de preuves d’abus, d’agressions sexuelles et de privation systématique de nourriture et de soins médicaux que les Palestiniens subissent dans le système carcéral israélien.
Un rapport intitulé Welcome to Hell, publié par le groupe israélien de défense des droits de l’homme, B’Tselem, comprend des entretiens avec 55 prisonniers palestiniens détenus dans des centres de détention israéliens depuis le 7 octobre 2023. Les prisonniers, dont la majorité ont ensuite été libérés sans inculpation dans les territoires palestiniens occupés, à Gaza et en Israël, racontent avoir été agressés, insultés et abusés sexuellement par des gardiens.
"Les conditions à Sde Teiman ne sont pas uniques. Elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg", a déclaré le porte-parole de l’organisation, Shai Parnes, à Al Jazeera par téléphone depuis Jérusalem.
"Nous avons entendu des témoignages similaires d’abus sexuels, de famine et d’agression de la part de prisonniers détenus dans 16 endroits différents à travers Israël. C’était déprimant. En rassemblant les témoignages, nous nous sommes rendu compte que tous les témoignages étaient presque identiques, quel que soit leur âge, leur sexe ou leur lieu de résidence. Il n’y a aucun doute. Ce genre d’abus est systématique", a-t-il déclaré.
"En désaccord avec le droit international" :
Les allégations d’abus systématiques contre des prisonniers au sein d’un système judiciaire qui, selon les critiques, est fondamentalement en contradiction avec le droit international, ont également été détaillées dans un rapport distinct publié lundi par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCR) et dans un rapport non publié – consulté par Al Jazeera en mars – de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).
En réponse aux avertissements de l’agence de sécurité Shin Bet sur la surpopulation carcérale au début du mois de juillet 2024, Ben-Gvir a réitéré son appel à l’exécution des prisonniers palestiniens, tweetant que l’un de ses principaux objectifs depuis son accession au pouvoir avait été d'"aggraver les conditions des terroristes dans les prisons et de réduire leurs droits au minimum requis par la loi". Il a déclaré : "Tout ce qui a été publié sur les conditions abominables" des Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes "était vrai".
Les droits de l’homme en débat :
Les États-Unis, principal allié d’Israël, ont qualifié "d'horribles" les allégations d’abus sexuels sur des prisonniers palestiniens, affirmant qu’Israël devait enquêter "rapidement" et "pleinement".
Le porte-parole du département d’État, Matthew Miller (administration Biden), a déclaré aux médias: "Il devrait y avoir une tolérance zéro pour les abus sexuels, le viol de tout détenu. Période. C’est une conviction fondamentale des États-Unis".
l’#UERSS également exprimé sa consternation. Peter Stano, porte-parole du service diplomatique de l’UE, a déclaré à Politico : "L’UE est gravement préoccupée par les allégations de violations des droits de l’homme et d’abus, y compris la torture et les abus sexuels sur des détenus palestiniens à la base militaire de Sde Teiman en Israël et ailleurs".
Néanmoins, de très nombreux défenseurs en Israël continuent de défendre les conditions de détention des prisonniers palestiniens, ainsi que les viols qui auraient été commis par les soldats à Sde Teiman.
"Écoutez, la question ne concerne pas vraiment le viol", a déclaré à Al Jazeera Ori Goldberg, un analyste politique basé à Tel Aviv. "La question est la suivante : peut-on reprocher à Israël, ou aux Israéliens, tout ce qu’ils font pour défendre l’État ?" De l’avis de certains, a expliqué Goldberg, aucun acte, aussi immoral qu’il puisse paraître au monde extérieur, n’est interdit, s’il est commis pour promouvoir la sécurité d’Israël.
"Nous avons même eu un journaliste à la télévision qui a critiqué non pas le viol mais la manière "désorganisée" dont il a été mené", a ajouté Goldberg.
Cette perspective reste minoritaire, a-t-il averti. Néanmoins, même parmi les libéraux israéliens qui s’opposent à cette vision de leur pays et de ses actions, peu de considération est accordée aux victimes palestiniennes. "Oh, cela n’a rien à voir avec les victimes", a déclaré Goldberg, "tout cela concerne Israël".
Israël prévoit de déplacer la population entière des 2 millions de Palestiniens Gazaouis vers une seule "ville humanitaire" de tentes vers Rafah, selon le ministre de la Défense Israel Katz, et que les Palestiniens ne seront pas autorisés à la quitter, sauf s’ils émigrent "volontairement" vers d’autres pays.
Israël se prépare à établir une soi-disant "ville humanitaire" sur les ruines de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où toute la population de l’enclave palestinienne doit être déplacée, a annoncé le ministre de la Défense du pays, Israël Katz. Les détracteurs de l’initiative ont rapidement qualifié la "ville" de camp d’internement ou camp de concentration, et ont mis en garde contre des violations des droits humains potentiellement généralisées.
La "ville humanitaire" devrait initialement accueillir quelque 600.000 Palestiniens, principalement des personnes déplacées vivant dans la région côtière de Mawasi, au nord-ouest de Rafah, a déclaré Israel Katz à la presse lundi 7 juillet 2025. Finalement, les quelque 2,2 millions de Gazaouis seront placés dans la "ville", qui doit être sécurisée par l’armée israélienne à distance et gérée par des organisations internationales non spécifiées, a déclaré le ministre.
Finalement, toute la population de Gaza y sera logée, et Israël vise à mettre en œuvre "le plan d’émigration, ce qui se produira", a déclaré Katz, cité par @Haaretz .
Les Palestiniens subiront un contrôle avant d’être placés dans la "ville" pour s’assurer qu’aucun membre du Hamas ne s’y glisse, a noté Katz. Le programme est finalement conçu pour déplacer l’ensemble de la population de Gaza et l’encourager à "émigrer volontairement" de l’enclave ailleurs, a admis le ministre. Ceux qui se retrouveront dans la zone ne seront pas autorisés à retourner dans d’autres parties de Gaza, a-t-il ajouté.
Le ministère de la Défense a déjà commencé à planifier la zone, selon Katz. Cependant, les autorités du pays n’ont fait aucune déclaration publique sur le programme ni indiqué s’il avait effectivement été approuvé. On ne sait pas non plus quand le plan sera mis en œuvre.
Il n’est pas clair si la zone serait utilisée comme point de transit, comme décrit dans un rapport de @Reuters du 7 juillet 2025 qui détaillait des plans pour des "zones de transit humanitaire" où les Gazaouis pourraient "résider temporairement, se déradicaliser, se réintégrer et se préparer à se réinstaller s’ils le souhaitent".
Le directeur général du ministère de la Défense, Amir Baram, a déjà commencé à faire avancer la planification de la zone, qui, selon Katz, ne sera pas gérée par Tsahal, mais plutôt par des organismes internationaux comme le GHF.
Katz ne précise pas quelles organisations internationales exploiteraient la ville, et à part la Fondation humanitaire de Gaza (GHF) soutenue par Israël et les États-Unis, il est peu probable qu’une quelconque d’entre elles coopérera étant donné que le plan vise à déplacer toute la population palestinienne de la bande de Gaza.
On craint également qu’Israël n’établisse des colonies dans les zones qu’il évacue de force. Le Premier ministre #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida a déclaré que ce n’était pas son plan, mais qu’il était redevable à ses partenaires de coalition d’extrême droite qui sont déterminés à le mener à bien.
Katz dit qu’Israël cherche à s’accrocher au corridor de Morag, au nord de Rafah, dans le cadre d’un accord d’otage avec le Hamas. Au cours d’un éventuel cessez-le-feu de 60 jours, Israël s’efforcerait d’établir la nouvelle zone humanitaire au sud du corridor, a déclaré Katz. Katz a également déclaré dans le briefing que l’armée israélienne détient près de 70% du territoire de la bande de Gaza.
Le projet de "ville humanitaire" a été critiqué par les défenseurs des droits de l’homme et les militants, qui l’ont qualifiée de camp interne et mis en garde contre de potentielles exactions. Michael Sfar @sfardm , un éminent avocat israélien des droits de l’homme, a qualifié le projet proposé de "plan opérationnel pour un crime contre l’humanité".
"Bien que le gouvernement qualifie toujours l’expulsion de "volontaire", les habitants de Gaza sont soumis à tellement de mesures coercitives qu’aucun départ de la bande de Gaza ne peut être considéré juridiquement comme consensuel", a déclaré @sfardm au @guardian .
"Le stratagème de Katz enfreint le droit international", a déclaré @sfardm , l’un des principaux avocats israéliens des droits de l’homme. "Cela a également contredit directement les affirmations faites quelques heures plus tôt par le bureau du chef de l’armée israélienne, qui a déclaré dans une lettre que les Palestiniens n’avaient été déplacés à l’intérieur de Gaza que pour leur propre protection".
"(Katz) a élaboré un plan opérationnel pour un crime contre l’humanité. Ce n’est rien de moins que cela", a déclaré @sfardm . "Il s’agit de transférer la population vers la pointe sud de la bande de Gaza en vue de la déportation hors de la bande de Gaza".
Les inquiétudes concernant les plans d’Israël visant à déplacer les Palestiniens avaient déjà été soulevées par des ordres militaires pour l’opération lancée ce printemps 2025.
Sfard @sfardm représentait trois réservistes de l'armée israélienne qui avaient déposé une pétition devant les tribunaux israéliens, exigeant que l’armée révoque les ordres de "mobiliser et concentrer" la population civile de Gaza et d’interdire tout plan de déportation des Palestiniens hors de la bande de Gaza.
Dans une lettre en réponse à leurs affirmations, le bureau du chef d’état-major d’Israël, Eyal Zamir, a déclaré que le déplacement des Palestiniens ou la concentration de la population dans une partie de Gaza ne faisaient pas partie des objectifs de l’opération.
Cette déclaration a été directement contredite par Katz, a déclaré le professeur @AmosGoldberg , historien de l’Holocauste à l’Université hébraïque de Jérusalem.
Le plan de "ville humanitaire" intervient après qu’Israël a rejeté les modifications proposées par le Hamas à un accord de cessez-le-feu à Gaza. Le groupe militant palestinien aurait voulu que l’accord garantisse une trêve permanente et le retrait israélien de Gaza.
@Haaretz rapporte que le périmètre du camp serait gardé par l’armée israélienne, et que Katz dit qu’il "cherche des partenaires internationaux pour gérer la zone", et que quatre autres sites de distribution d’aide humanitaire seraient établis dans la région.
Il n’est pas clair si ce plan, annoncé par Katz lors d’une visite du Premier ministre israélien #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida à la Maison Blanche, a le soutien d’autres ministres israéliens. #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida et les États-Unis ont collaboré sur un plan pour l’expulsion forcée de tous les Palestiniens de Gaza, mais @Haaretz rapporte que les responsables israéliens ne croient pas que le plan ira de l’avant et que d’autres pays n’ont pas accepté d’accueillir les Palestiniens expulsés.
#NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida a déclaré : "Je pense que le président Trump a une vision brillante. C’est ce qu’on appelle le libre choix. Si les gens veulent rester, ils peuvent rester, mais s’ils veulent partir, ils doivent pouvoir partir ... "
"Nous travaillons en étroite collaboration avec les États-Unis pour trouver des pays qui chercheront à réaliser ce qu’ils disent toujours – qu’ils voulaient donner aux Palestiniens un avenir meilleur".
Trump a déclaré : "Nous avons bénéficié d’une excellente coopération de la part de... pays voisins, une grande coopération de la part de chacun d’entre eux. Donc, quelque chose de bien va se produire".
Le @TimesofIsrael a déclaré qu’il était probable que la seule organisation qui serait disposée à s’impliquer dans le plan serait la Fondation humanitaire pour Gaza (GHF), soutenue par les États-Unis et Israël, actuellement sous un examen minutieux en raison des centaines de décès qui ont eu lieu dans et autour de ses centres de distribution de nourriture à Gaza, l'armée israélienne visant et tirant sur tous les Gazaouis venus chercher de l'aide humanitaire dans ces couloirs gérés par le GHF.
"Katz a présenté un plan opérationnel pour un crime contre l’humanité. Ce n’est rien de moins que cela. Il s’agit d’un transfert de population vers la pointe sud de la bande de Gaza en préparation de l’expulsion en dehors de la bande de Gaza", a déclaré @sfardm au @guardian .
"Alors que le gouvernement continue de qualifier l’expulsion de "volontaire", les habitants de Gaza sont soumis à de telles mesures coercitives qu’aucun départ de la bande de Gaza ne peut être considéré juridiquement comme consensuel".
"Lorsque vous expulsez quelqu’un de sa patrie, ce serait un crime de guerre, dans le contexte d’une guerre. Si c’est fait à grande échelle comme il l’a prévu, cela devient un crime contre l’humanité", a expliqué @sfardm .
@AmosGoldberg , historien de l’Holocauste à l’Université hébraïque de Jérusalem, a déclaré que le plan de Katz revenait à déplacer des gens de tout Gaza dans "un camp de concentration ou un camp de transit pour les Palestiniens avant qu’ils ne les expulsent".
"Ce n’est ni humanitaire ni une ville. Une ville est un endroit où vous avez des possibilités de travailler, de gagner de l’argent, de nouer des liens et de circuler librement. Il y a des hôpitaux, des écoles, des universités et des bureaux. Ce n’est pas ce qu’ils ont à l’esprit. Ce ne sera pas un endroit vivable, tout comme les "zones sûres" sont invivables maintenant".
@AmosGoldberg s’est également demandé ce qui se passerait si les Palestiniens refusaient de se rendre dans le camp ou montaient une résistance déterminée.
On craint également que le plan de Katz ne crée un vide qui rendrait possible la colonisation israélienne de la bande de Gaza. Le Premier ministre #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida a toujours déclaré qu’il n’était pas en faveur de l’entrée des colons, mais son gouvernement est soutenu par des ministres d’extrême droite de son cabinet qui font pression pour exactement cela.
En février, Katz a dévoilé des plans visant à accorder aux résidents de Gaza le droit de se réinstaller dans n’importe quel pays qui les accepterait, à la suite de la proposition du président américain Donald Trump pour que les États-Unis prennent le contrôle de Gaza, relocalisent les Palestiniens dans les pays voisins et redéveloppent la bande pour en faire la "Riviera du Moyen-Orient".
La proposition de Katz est arrivée peu après l’arrivée de #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuGenocida à Washington pour des pourparlers avec Trump. Au cours d’un dîner à la Maison Blanche, les deux hommes ont déclaré qu’ils espéraient un succès dans le cycle actuel de négociations avec le Hamas pour un cessez-le-feu en échange de la libération des otages toujours détenus à Gaza.
Dans un communiqué publié mardi 8 juillet 2025, le Hamas a déclaré que les "efforts persistants d’Israël pour déplacer de force notre peuple et imposer un nettoyage ethnique ont rencontré une résilience légendaire. Notre peuple a tenu bon face aux meurtres, à la faim et aux bombardements, rejetant tout avenir dicté par les quartiers généraux des services de renseignement ou les tables de négociation politique".
Les Palestiniens craignent en effet une répétition de la Nakba – le mot arabe pour "catastrophe" – lorsque 750.00 Palestiniens ont fui ou ont été chassées de leurs foyers avant et pendant la guerre qui a suivi la création de l’État d’Israël en 1948.
Beaucoup de ces réfugiés se sont retrouvés à Gaza, où ils représentent les trois quarts de la population avec leurs descendants. Selon l’ONU, 900.000 autres réfugiés enregistrés vivent en Cisjordanie occupée, tandis que 3,4 millions d’autres vivent en Jordanie, en Syrie et au Liban.
L’armée israélienne a lancé une campagne pour détruire le Hamas en réponse à une attaque transfrontalière le 7 octobre 2023, au cours de laquelle environ 1.200 personnes ont été tuées (dont la majeure partie par l'armée israélienne en application de la doctrine Hannibal) et 251 ont été prises en otage.
Plus de 57.500 personnes ont été tuées à Gaza depuis lors, selon le ministère de la Santé du territoire.
La majeure partie de la population de Gaza a également été déplacée à plusieurs reprises. On estime que plus de 90% des maisons sont endommagées ou détruites ; les systèmes de santé, d’eau, d’assainissement et d’hygiène ont été systématiquement détruits par l'armée israélienne ; Et il y a des pénuries de nourriture, de carburant, de médicaments et d’abris.
Un diplomate de haut rang des Émirats arabes unis, considéré comme l’un des pays clés dans tout plan pour l’après-guerre à Gaza, a déclaré que l’expulsion des Palestiniens de l’enclave serait inacceptable. "Les Émirats arabes unis ont publiquement et catégoriquement rejeté le déplacement forcé des Palestiniens... notre position publique et notre position privée est que nous rejetons la dislocation forcée de tous les Palestiniens du territoire maintenant pour reconstruire Gaza", a déclaré Lana Nusseibeh à @CNN .
Le Qatar, qui accueille actuellement des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas, a également rejeté l’expulsion de la population de Gaza. "Nous avons dit très clairement que nous sommes contre toute réinstallation forcée des Palestiniens, ou toute réinstallation des Palestiniens en dehors de leur terre", a déclaré mardi Majed Al Ansari, porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères.
Trump a proposé une pause de 60 jours dans les hostilités en échange du retour de 10 otages israéliens vivants et des restes de 18 autres décédés.
Le Hamas a répliqué avec des amendements qui demandent aux États-Unis des garanties de ne pas reprendre l’action militaire à la fin du cessez-le-feu de 60 jours et la responsabilité des opérations d’aide humanitaire à restituer aux Nations Unies et aux ONG d’aide internationale.
Décidément le criminel de guerre Tony Blair, mouillé jusqu'au cou dans la guerre illégale, le bombardement pendant 78 jours et le dépeçage de la Serbie pour créer l'Etat mafieux qu'est le Kosovo, moullé dans la guerre illégale en Irak, puis en Lybie ... continue ses ignominies.
L’Institut Tony Blair @InstituteGC qu'il dirige en tant président du Board, est lié au plan israélien de nettoyage ethnique de Gaza. Des documents divulgués ont révélé l’implication de @InstituteGC dans un plan visant à expulser les Palestiniens et à attirer des investisseurs pour reconstruire l’enclave de la Bande de Gaza ...
Décidément, même pour un profiteur de guerre qui a gagné des dizaines de millions de dollars grâce à l'invasion de l'Irak par les armées des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne en 2003, et grâce aux ventes d'armes qui s'en sont suivies et accélérées, dessiner les plans et le projet d'une riviera sur la terre gorgée de massacres et du génocide des Palestiniens, est le comble de l'horreur. Tony Blair s'enfonce toujours plus bas ...
Le personnel de l’Institut Tony Blair @InstituteGC a en effet participé à une entreprise immobilière d’après-guerre à Gaza visant à transformer l’enclave en une zone commerciale à but lucratif, selon le Financial Times (FT).
Le projet envisageait des îles artificielles, des biens immobiliers basés sur la blockchain et ce qui a été appelé la "Riviera Trump".
Le plan, intitulé "The Great Trust", a été dirigé par des hommes d’affaires israéliens et a utilisé des modèles financiers développés au sein du Boston Consulting Group (BCG). Il a été partagé avec l’administration du président américain Donald Trump et proposait de "payer un demi-million de Palestiniens pour qu’ils quittent la région et d’attirer des investisseurs privés pour développer Gaza" – une incitation au nettoyage ethnique présentée comme un soulagement économique.
FT a confirmé que deux membres du personnel de @InstituteGC ont participé à des appels et à des messages avec le groupe.
Un document interne du TBI intitulé "Plan économique de Gaza" a été partagé entre les participants, comprenant des propositions d’îles artificielles, d’un port en eau profonde reliant Gaza au corridor Inde-Asie occidentale-Europe (IMEC), d’une infrastructure commerciale blockchain et de zones économiques spéciales à faible taux d’imposition.
Le document décrivait la guerre comme ayant "créé une occasion unique de reconstruire Gaza à partir des principes de base... en tant que société sûre, moderne et prospère".
Bien qu’il reflète certaines parties de la proposition israélienne, le Financial Times a noté qu’il "ne faisait pas référence à la réinstallation des Palestiniens", une politique "défendue par le président américain Donald Trump plus tôt cette année".
@InstituteGC a d’abord déclaré au FT qu’il n’avait eu "aucune contribution" dans le projet et que l’histoire était "catégoriquement fausse". Mais après avoir reçu des preuves de participation au groupe de messages et le document interne du @InstituteGC , un porte-parole a précisé : "Nous n’avons jamais dit que le @InstituteGC ne savait rien de ce sur quoi ce groupe travaillait ou qu’il n’était pas présent lors d’appels au cours desquels le groupe discutait de ses plans".
Le porte-parole a ajouté : "Il serait faux de suggérer que nous travaillions avec ce groupe pour produire leur plan pour Gaza".
La proposition de "The Great Trust" consiste à placer toutes les terres publiques de Gaza dans une fiducie, les actifs devant être vendus via des jetons blockchain. Les propriétaires fonciers privés pourraient échanger leur propriété contre une unité d’habitation permanente.
Le plan prévoit que 25% de la population de Gaza sera expulsée, ce qui réduirait les coûts de reconstruction. "23 000 dollars d’économies sur chaque Palestinien qui déménage", pouvait-on lire sur une diapositive. Cette ingénierie financière du déplacement a reconditionné les crimes de guerre comme une réduction des coûts.
Les diapositives présentaient l’image de marque de Tesla, Ikea et Amazon Web Services "dans une tentative cynique de courtiser les capitaux du Golfe et les entreprises technologiques américaines", a déclaré le FT - bien qu’aucun de Etats du Golfe ’était au courant de leur inclusion dans la proposition établie par le @InstituteGC
Le Financial Times révèle l’implication de @InstituteGC dans un plan israélien visant à vider Gaza, à vendre ses terres sur la blockchain et à remplacer les Palestiniens par des centres de villégiature et des investisseurs – un plan que le @BCG a désavoué après avoir licencié deux consultants associés qui l’avaient modélisé.
Une source proche du projet a déclaré au Financial Times qu’il s’agissait d’une "exploration économique des idées apportées par le président Trump", qui a proposé en février que Gaza soit dépeuplée et transformée en "Riviera du Moyen-Orient", tandis qu’une autre source a insisté sur le fait que l’effort visait à créer "un avenir meilleur pour Gaza".
Selon le Financial Times, le @BCG a été engagé en octobre 2024 par Orbis, un entrepreneur basé à Washington, pour aider à la mise en place de la très controversée Fondation humanitaire pour Gaza (GHF), un projet d’aide soutenu par Israël et les États-Unis. L’opération d’aide est militarisée, menée par des entrepreneurs privés américains et gardée par les forces israéliennes. Les organisations humanitaires ont boycotté l’initiative tandis que l’ONU a décrit le GHF comme un écran permettant d'accomplir les objectifs de guerre israéliens.
Dans une modélisation interne, le @BCG a calculé que l’expulsion des Palestiniens de Gaza coûterait 23.000 dollars moins cher par personne que de les aider sur place. Selon un scénario, 25% de la population, soit environ 500.000 personnes, partirait "volontairement" avec une "indemnité de réinstallation " de 9.000 $. Les critiques, cependant, affirment que tout plan visant à "inciter" les Palestiniens à quitter l’enclave assiégée équivaut à un transfert forcé, interdit par le droit international.
@InstituteGC , tout en niant être l’auteur d’un plan d’après-guerre intitulé "The Great Trust", a admis que deux de ses membres du personnel avaient pris part à des appels de planification et à des groupes de discussion sur l’avenir de Gaza. Ce plan comprend des propositions pour des îles artificielles, des zones économiques spéciales et le développement du secteur technologique. Bien que @InstituteGC ait nié approuver la réinstallation de la population, l’inclusion de son personnel dans les groupes de planification a suscité des inquiétudes.
Phil Reilly, un ancien officier de la CIA qui dirige maintenant la sécurité du GHF, aurait présenté le projet au criminel de guerre Tony Blair en mars 2025. Bien que @InstituteGC affirme que l’ancien Premier ministre britannique était seulement "en mode écoute" @InstituteGC a reconnu que son personnel avait examiné le plan économique.
L’ensemble du plan a été préparé pour être présenté à des personnalités de l’administration du président Donald Trump et des États alliés du Golfe. Rappelons que Trump avait précédemment préconisé de transformer Gaza en "Riviera du Moyen-Orient" et d’évacuer complètement sa population Palestinienne.
Les critiques soulignent le déploiement létal de la distribution de nourriture par le GHF à Gaza, qui a fait des centaines de morts, comme preuve de la nature militarisée et coercitive de l’opération. Associé à la modélisation économique des transferts forcés, cela renforce les craintes que de tels projets fassent partie d’une stratégie plus large visant à dépeupler Gaza de manière permanente.
Le personnel du groupe de réflexion du criminel de guerre Tony Blair, @InstituteGC , a été impliqué dans des discussions sur la transformation de la Gaza "d’après-guerre" (après la guerre génocidaire menée par Israël à Gaza) en une station balnéaire méditerranéenne et un centre technologique.
Ils ont préconisé des îles artificielles de style Dubaï, un port en eau profonde (afin d'y faire accoster les cargos et pétroliers remontant le couloir IMEC) et des zones économiques spéciales à faible taux d’imposition, dans un groupe de discussion de 12 personnes comprenant des hommes d’affaires israéliens et du personnel du @BCG , a rapporté le @FinancialTimes .
Le rapport non publié ajoutait qu’il y avait une chance de construire une "société sûre, moderne et prospère".
Peu de leurs idées ont été retenues pour le montage final de "The Great Cut", une proposition de 35 pages élaborée par le personnel du @BCG et les Israéliens, qui comprend un plan pour une "Riviera Trump" et une zone de fabrication intelligente à la Elon Musk, avant que l’homme d’affaires multimilliardaire ne se brouille avec le président.
Plus controversé, il comprenait une proposition de payer jusqu’à un demi-million de Palestiniens pour qu’ils quittent Gaza afin de permettre son développement.
Devant la controverse montante, une porte-parole du @InstituteGC a déclaré que le personnel de @InstituteGC et qu’il était opposé à tout plan visant à faire quitter Gaza aux Gazaouis.
La porte-parole du @InstituteGC a déclaré au @DailyMail que son personnel n’avait rien à voir avec le plan final qui a été créé, affirmant qu’il s’adressait à "de nombreux groupes et organisations différents ayant des "plans" d’après-guerre pour Gaza". "Le personnel de TBI a participé à deux appels, comme ils l’ont fait avec beaucoup d’autres personnes ayant des ''plans pour Gaza'' et interagir avec eux ne signifie pas approuver", a-t-elle ajouté. "Bien sûr, nous sommes opposés à tout plan qui tente de faire quitter Gaza aux Gazaouis. Nous voulons qu’ils puissent rester et vivre à Gaza".
Quelle hypocrisie ignoble de la part de @InstituteGC , pris la main dans la pot de confiture ... Panique au @BCG et au @InstituteGC ... 🤣🤮
L’idée d’expulser les Palestiniens de leur maison et de transformer Gaza en lieu de villégiature a été suggérée par Donald Trump plus tôt cette année 2025 et les membres de son administration ont reçu le paquet de 35 pages, a déclaré le @FinancialTimes .
"Le document @InstituteGC auquel il est fait référence est un document interne, @InstituteGC examinant les propositions faites par diverses parties couvrant tous les différents aspects de ce à quoi pourrait ressembler une Gaza d’après-guerre, bien qu’il s’agisse de l’un des nombreux documents internes de ce type ; mais il n’a pas été produit en relation avec le travail du @BCG ni donné au @BCG .
"Le travail de @InstituteGC dans la région, depuis sa création, a toujours été consacré à la construction d’une meilleure Gaza pour les Gazaouis. Tony Blair a travaillé pour cela depuis qu’il a quitté ses fonctions. Il n’a jamais été question de relocaliser les Gazaouis, ce qui est une proposition que TBI n’a jamais rédigée, développée ou approuvée".
Le7 juillet 2025, le @BCG , cherchant lui aussi à se dédouaner en catastrophe, a déclaré que le travail avait été "orchestré et exécuté secrètement en dehors de toute portée ou approbation du @BCG par deux anciens partenaires qui avaient "catégoriquement reçu l’ordre de ne pas le faire". "Nous désavouons totalement ce travail. Le @BCG n’a pas été payé pour ce travail", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Ce qui est bien évidemment faux !
L’article du Financial Times mentionne que l’investisseur technologique Liran Tancman et le capital-risqueur Michael Eisenberg faisaient partie du groupe d’hommes d’affaires israéliens à l’origine du projet.
Phil Reilly, un allié des hommes d’affaires "qui dirige maintenant les opérations de sécurité pour le GHF, a courtisé Tony Blair lors d’une réunion à Londres en mars".
Reilly est un ancien officier de la CIA et conseiller du BCG, a déclaré TBI, et avait demandé la réunion. "Encore une fois, M. Blair a écouté. Mais comme vous le savez, les traumatismes crâniens ne font pas partie du GHF".
Le journal a déclaré qu’un porte-parole de Safe Reach Solutions de Reilly "a déclaré que le bureau de Blair avait demandé la réunion pour en savoir plus sur le travail que son entreprise avait accompli en tant que gardien d’un poste de contrôle lors d’un bref cessez-le-feu pendant la guerre plus tôt cette année".
"La grande confiance":
Le dernier diaporama s’intitule "The Great Trust : From a Demolished Iranian Proxy to a Prosperous Abrahamic Ally" et a été partagé avec des membres de l’administration américaine actuelle et ancienne, a noté le rapport, citant des sources familières avec le projet.
Le jeu a été produit en avril 2025, avant qu’Israël et les États-Unis n’attaquent l’Iran ...
"Il prévoyait que toutes les terres publiques de Gaza soient placées dans une fiducie pour le développement, dont les actifs pourraient être vendus à des investisseurs via des jetons numériques échangés sur une blockchain", ajoute le rapport. Il a déclaré que les Palestiniens de Gaza "se verraient offrir la possibilité de faire don de leurs terres privées à la fiducie en échange d’un gage qui leur donnerait le droit à une unité de logement permanente".
Dix "mégaprojets" sont mentionnés, dont les autoroutes "MBS Ring" et "MBZ Central", du nom des dirigeants de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis, Mohammed bin Salman et Mohamed bin Zayed al-Nahyan, respectivement.
Une "zone de fabrication intelligente Elon Musk" serait mise en place à la frontière entre Gaza et Israël, où les entreprises américaines de véhicules électriques construiraient des voitures destinées à l’exportation vers l’Europe, selon le rapport.
Le diaporama "décrit comment les nouvelles autoroutes, le port et l’aéroport transformeraient Gaza en une plaque tournante commerciale", a-t-il ajouté, et "sécuriseraient l’accès de l’industrie américaine à 1,3 milliard de dollars de minéraux de terres rares dans le Golfe" depuis l’ouest de l’Arabie saoudite.
Frais de déménagement et retours:
La présentation comprenait également les logos d’entreprises que "les auteurs aspiraient à attirer à Gaza", telles que Tesla, Amazon Web Services et Ikea.
Selon le plan, la réinstallation des Palestiniens hors de Gaza coûterait 5 milliards de dollars, selon le rapport, mais elle générerait "23 000 dollars d’économies sur chaque Palestinien qui s’installe".
La vérité sur le 7 octobre 2025, un documentaire d'investigation réalisé par le journaliste Ben Swann.
Des rapports confirment que #NetanyahuWarCriminal , le Mossad et les forces armées israéliennes (IDF) ont sciemment permis la survenance de l'attaque par le Hamas. Ils savaient déjà un an avant que le Hamas attaquerait, et n'ont rien fait pour stopper cette attaque. Ils n'ont délibérément pas agi pendant l'attaque, permettant aux attaquants du Hamas de massacrer de très nombreux Israéliens innocents, de façon à obtenir le soutien international nécessaire pour mener une guerre contre Gaza et contre l'Iran.
Comment les évènements du 7 octobre 2023 ont-ils pu survenir ?
Le 7 octobre 2023, le Hamas a pu mener son attaque terroriste contre Israël, malgré l'appareil de renseignement israélien, Tsahal, et l'appareil de sécuritaire israélien qui sont tous considérés comme les meilleurs du monde.
Le premier Ministre #NetanyahuWarCriminal lui-même a tweeté et très rapidement supprimé un communiqué niant avoir eu préalablement connaissance de la survenance de l'attaque du 7 octobre 2025. Le tweet effacé par #NetanyahuWarCriminal disait que "jamais, et sous aucune circonstance, n'a été averti le premier Ministre #NetanyahuWarCriminal des intentions guerrières du Hamas". Pourquoi les équipe de #NetanyahuWarCriminal ont-elles supprimé ce tweet ?
Parce qu'en fait, #NetanyahuWarCriminal a eu connaissance préalable, via des rapports des services de renseignement israéliens, qu'une attaque du Hamas aurait lieu, et #NetanyahuWarCriminal a tenté de cacher ce fait, à la face du monde entier.
Les services de renseignements étrangers, les services de renseignement et de sécurité en Israël, et tout les Israéliens, tous savaient que le Hamas était en train de planifier une incursion violente en territoire israélien, au cours de laquelle les commandos du Hamas tenterait de prendre d'assaut et d'envahir les communautés israéliennes des kibboutz du Sud, et de prendre des otages pour les ramener à Gaza.
Et pourtant cette attaque par le Hamas a réellement eu lieu. Pourquoi ?
Dix jours avant l'attaque du Hamas, et à nouveau trois jours avant l'attaque, des officiers du renseignement Egyptien ont transmis des avertissements répétés, adressés au plus hauts niveaux du gouvernement d'Israël. Un de ces avertissements a même été donné par le ministre du renseignement d'Egypte, le Général Abbas Kamel. Celui-ci a personnellement appelé #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague , pour l'avertir que le Hamas allait commettre "quelque chose d'inhabituel, une terrible opération".
Des officiers égyptiens ont déclaré sous anonymat à la presse israélienne YNET News, qu'ils avaient été choqués par l'indifférence de #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague aux avertissements renouvelés transmis par les services de renseignements d'Egypte.
Mais Israël n'avait pas besoin de faire confiance ou de croire l'Egypte, parce qu'en fait la plupart des avertissements concernant l'organisation d'une attaque imminente par le Hamas, venait des sources civiles comme de source militaire israéliennes elles mêmes.
Les civils et les militaires qui ont transmis ces avertissements urgents auprès de la hiérarchie de Tsahal, ont été ignorés, voire même étrangement, dans certains cas, ont été menacés d'actions judiciaires à leurs encontre.
En 2020, l'armée israélienne a obtenu, en recourant à des sources de renseignement et d'espionnage dans Gaza, les plans détaillés de l'attaque Al Aqsa Flood. Codifiée par Israël sous le nom "Jericho Wall", les plans d'incursion du Hamas devaient commencer par un tir de barrage de roquettes et par des commandos armés déboulant sur le territoire israélien en parapentes, à moto et à pied, afin de prendre des otages et les ramener dans la Bande de Gaza.
Tout ceci est réellement arrivé le 7 octobre 2023. Le Hamas a exactement suivi les plans, dont la copie était déjà en possession d'Israël depuis plus de trois ans.
Donc Israël était déjà en possession de la copie des plans du Hamas depuis près de trois ans avant l'attaque. Ces plans ont-ils été étudiés sérieusement par l'armée israélienne ? Oui, ces plans ont été soigneusement étudiés. Une présentation officielle de ces plans a été délivrée à des officiers au sein de la division Gaza de Tsahal.
Cette présentation a été conclue par la phrase suivante: "Cette invasion constitue la menace la plus grave à laquelle doivent faire face l'armée israélienne dans sa mission de défense d'Israël".
Donc en réponse à une telle menace, l'appareil sécuritaire de l'Etat israélien a-t-il été renforcé, et la surveillance des militants du Hamas par la sécurité à la frontière et le renseignement israélien ont-ils été augmentés ?
Non, et c'est étonnement exactement le contraire qui s'est passé.
La direction de l'armée et des services de renseignement israéliens ont décidé de stopper entièrement de surveiller le trafic radio des militants du Hamas. Parce qu'une telle surveillance a été considérée comme des efforts (une allocation de ressources) inutiles. E ce même si pendant cette même époque en 2022, les Israéliens vivant dans les kibboutz communautaires proches de la frontière avec le territoire fermé de la Bande de Gaza, kibboutzim dont la plupart avaient un entraînement militaire, du fait des lois obligeant tous les jeunes Israéliens à effectuer un service militaire d'une durée de trois ans, rendaient compte, comme l'ont rapporté des médias israéliens, de ce qu'ils entendaient clairement que le Hamas s'entraînait à la destruction du mur et au franchissement de la frontière, à la conquête des kibboutz et à la prise d'otages, en détruisant tout en chemin.
Puis en avril 2023, soit 6 mois avant l'attaque du 7 octobre 2023, comme l'ont rapporté les médias israéliens, Tsahal a réduit la possibilité pour les Israéliens habitant près de la frontière avec la Bande de Gaza, "de continuer à surveiller le trafic radio du Hamas".
En septembre 2023, moins d'un mois avant l'attaque du 7 octobre 2023, le responsable de l'unité de renseignement "Avocat du Diable" au sein de l'armée israélienne, unité qui remettait en cause le narratif officiel prévalant dans l'armée, a alerté par deux fois les officiers et les sphères décisionnaires aussi bien militaires que politiques, rapportant à chaque fois les plans du Hamas d'une opération militaire avec invasion à grande échelle à travers la frontière de la Bande de Gaza. Le responsable de l'unité de renseignement "Avocat du Diable" a réitéré en personne ces avertissements, au cours des sessions d'évaluation stratégiques les 26 et 27 septembre 2023. Soit quelques jours avant l'attaque du 7 octobre 2023.
Il était donc clair que non seulement le Hamas prévoyait quelque chose d'horrible, mais que les décideurs de l'armée israélienne et du gouvernement #NetanyahuWarCriminal #NetanyahUToTheHague savait exactement en quoi consisterait le plan du Hamas.
Selon le témoignage d'une soldat de Tsahal recueilli par la chaine de TV israélienne Channel 12, elle a constamment essayé d'avertir ses supérieurs de la gravité des exercices d'entraînement militaire de militants du Hamas de l'autre côté de la frontière. Cette soldat a été menacée d'action judiciaire. Ses supérieurs lui ont dit que si elle continuait à harceler la hiérarchie sur le sujet de la menace grave qu'organisait le Hamas, elle subirait un procès.
Donc reprenons. L'Egypte savait, la hiérarchie de Tsahal savait, et les civils israéliens savaient.
Et pourtant, deux jours avant le 7 octobre 2025, la hiérarchie de l'armée israélienne a réaffecté deux brigades entières (soit environ 100 soldats) loin de la frontière de la Bande de Gaza, frontière qui allait être violemment franchie par les commandos du Hamas. Ces 100 soldats israéliens ont été envoyés à l'autre bout d'Israël, jusque dans le village de Huwara en Cisjordanie, où bien évidemment la menace du Hamas était inexistante.
De la même façon, le lieu du festival techno Nova a été déplacé deux jours avant le 7 octobre 2023, afin qu'il se tienne juste à la frontière avec la Bande de Gaza .... juste de l'autre côté de la frontière, où le Hamas s'entraînait à casser et franchir le mur frontière et kidnapper des otages.
Selon des rapports d'enquêtes menées par des médias israéliens, le Lt. Col. Sahar Fogel, un officier au sein de la division Gaza de Tsahal, s'est opposée à la tenue du festival Nova Party, qui venait d'être déplacé le long de la frontière de Gaza, sur la base d'une demande d'autorisation transmise à la dernière minute. Le Lt. Col. Sahar Fogel a argué des exercices du Hamas qui s'intensifiaient derrière la frontière, et de ce que si un incident majeur devait survenir, de trop nombreux soldats étaient en vacances, à l'occasion des vacances de la fête juive de Sukkot.
Le Lt. Col. Sahar Fogel a donc expliqué à se supérieurs son opposition à l'autorisation de dernière minute de la tenue du festival Nova Party. Mais les supérieurs du Lt. Col. Sahar Fogel lui ont donné instruction d'autoriser la tenue du festival Nova Party.
Le quotidien israélien Haaretz @haaretzcom a rapporté que d'autres officiers de la division Gaza lui ont confié en privé, l'existence "de conduites irrégulières et de pressions qui ont entouré l'autorisation de la tenu du Nova Party". En février 2024, Elkana Federman, la responsable de la sécurité du festival Nova, a donné une interview sur la chaine de TV israélienne Channel 14. Elle y a fait une déclaration qui n'a bien évidemment été reprise par aucun média américain. "J'avais un garde employé par le festival Nova, qui avait servi dans la division Re'im (postée de long de la frontière de Gaza. Et une semaine avant le festival, il m'a laissé un message téléphonique, m'avertissant "Elkanna, quelque chose va survenir pour Sukkot. Je voulais juste te dire, il y a de très nombreux avertissements, j'ai transmis ces messages vocaux aux officiers locaux de l'armée, et ils m'on dit que tout allait bien".
Les attaques du Hamas ont été violentes et brutales. Elles ont été comparées à l'attentat du 11 septembre, et à la Shoah. Il est donc surprenant (ou pas ... ) que #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague et les membres de son parti Likoud aient décrit les attaques du 7 octobre 2023 comme un cadeau politique. Nissim Vaturi, un membre du parti du Likoud à la Knesset, qualifie le attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas, comme étant un cadeau de Dieu, parce qu'elles sont utilisées pour justifier la guerre contre Gaza, contre le Liban et contre l'Iran. Nissim Vaturi affirme: "nous devions mener cette guerre contre le Hamas, comme c'est le cas maintenant, et heureusement pour nous, cette guerre nous et tombé des cieux".
#NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague a expliqué qu'Israël n'avait pas de raison ni au plan intérieur, ni au plan international pour envahir et détruire Gaza. Il a déclaré que le 7 octobre avait été la solution à se deux problèmes, affirmant "Nous ne pouvions pas avoir le consensus politique pour obtenir une solution définitive au problème qu'est le Hamas. C'est à dire, personne n'aurait accepté dans l'opinion publique israélienne d'entrer dans la Bande de Gaza et de détruire le Hamas. Nous n'avions pas non plus le consensus international; personne n'aurait compris pourquoi nous devions le faire. Toutes ces conditions sont dorénavant créées à cause (grâce) à l'attaque du Hamas à l'encontre d'Israël le 7 octobre 2023".
Est-ce que l'armée israélienne, les services secrets et les dirigeants israéliens ont laissé sciemment se produire l'attaque monstrueuse commise par le Hamas le 7 octobre 2023, pour justifier l'éradication de la population de Gaza ? Les preuves le démontre en effet.
Où était l'armée le 7 octobre 2023 ? Pendant les attaques du Hamas le 7 octobre, qu'a fait l'armée israélienne ? Elle n'a pas bougé pendant des heures, il y avait un ordre délibéré de ne pas bouger.
Il est important de se rappeler qu'Israël n'est pas plus grand en taille que l'Etat du New Jersey aux Etats-Unis, ou que deux petits départements français. Mais pour certaines raisons (bien cyniques et criminelles, que l'ont comprend parfaitement quand on pose la question "cui bono" ... à la volonté guerrière et génocidaire mainte fois affirmées par tous les membres du Likoud, et du gouvernement #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague ), une fois que les attaques du Hamas ont commencé, le temps nécessaire pour que l'armée israélienne et les équipes de secours arrivent, se battent et ne sauvent les habitants israéliens des différentes communautés kibboutzim attaquées et les festivaliers de la Nova Party, il s'est passé entre 4 heures et 20 heures.
Le New York Times a rapporté : "Des milliers de soldats étaient à moins de 40 minutes des villes qui étaient attaquées". Une vidéo d'un pilote d'hélicoptère de l'armée israélienne, obtenue par un média israélien, corroborée par les survivants israéliens, démontre qu'il y avait plus de 500 soldats israéliens juste à l'entrée du Kibboutz, armés jusqu'aux dents, avec des Humvies et des tanks, et pourtant il aura fallu 10 heures pour ces soldats n'arrivent.
Avital, un survivant du kibboutz Be'eri, a décrit la situation au journal @haaretzcom : "500 soldats se tenaient au dehors, avec des équipements et des véhicules. Je me rappelle leur avoir crié "nous somme en train d'être massacrés, venez, sauvez nous", et personne n'a rien fait et rien dit. Pourquoi l'aide a-t-elle mis si longtemps à arriver ?"
@haaretzcom rapporte: " A 7h A.M., les organisateurs du festival Nova ont appelé le Lt. Col. Elad Zandani, le militaire responsable de l'autorisation du festival, et lui ont dit que des terroristes tiraient sur les festivaliers. Le Lt. Col. Elad Zandani a suggéré que les festivaliers se défendent eux mêmes. Les premiers militaires sont arrivés à 3 P.M., soit 8 heures après les attaques des terroristes du Hamas, .... 8 heures comme temps de réponse, pour l'une des armées les plus efficaces, capables et fortement équipées du monde, opérant dans un pays de la taille de l'Etat du New Jersey, avec la division Gaza à seulement quelques kilomètres ....
Et ce qui rend cela encore plus étrange, .... c'est qu'au bout d'environ 4 heures d'assauts par les terroristes du Hamas, à 10:46 A.M, Israël était déjà en train de lancer des opérations et de bombarder Gaza ....
Donc si Israël était capable de commencer l'offensive contre Gaza en 4 heures, pourquoi l'armée a-t-elle mis plus de 6 heures, et dans la plupart des cas plus de 10 heures (voire 20 heures) pour se mobiliser au secours de sa population, au sein même de l'Etat d'Israël ??
Le NewYork Times a cité Ben Zion, un réserviste de l'armée israélienne, qui a parlé aux médias israéliens. Il a déclaré que "son unité avait volontairement quitté en convoi le centre d'Israël à 1:30 P.M, qu'ils se sont organisés et sont partis d'eux mêmes vers le Sud d'Israël. Il s'attendait à voir les routes embouteillées par des soldats, des tanks et des véhicules de transports de troupes. Les routes étaient vides !"
Au bout de 7 heures de combats contre les terroristes du Hamas, Ben Zion se tourne vers le réserviste à côté de lui, et lui demande "mais où est l'armée?".
L'attaque brutale et sanglante du Hamas contre la population civile israélienne est tellement centrale, elle constitue le justificatif à toute la guerre génocidaire contre la population de Gaza, l'extension à la guerre contre le Liban, l'annexion du tiers de la Syrie, et la guerre contre l'Iran ... Le narratif de l'attaque terroriste sanglante contre la population civile israélienne sans défense, "le nouveau pogrom", le "nouvel holocauste" "le nouveau Pearl Harbour", doit être sauvegardé à tout prix, moyennant le sacrifice assumé de son peuple par le gouvernement #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague .
la Knesset a immédiatement passé une loi punissant de peines allant jusqu'à 5 ans d'emprisonnement tous les Israéliens qui oseraient questionner et répandre des informations contraires au narratif gouvernemental officiel sur les évènements du 7 octobre 2023, répandre "des mensonges et de la propagande".
Entre l'abondance des preuves concrètes qui démontrent que les chefs de l'armée israélienne et le le gouvernement #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuToTheHague ont permit la survenance de l'attaque terroriste sanglante et les prises d'otages par le Hamas le 7 octobre 2023, en ignorant des douzaines d'avertissements raisonnables et spécifiques, en menaçant de procédures judiciaires les soldats qui ont tenté d'alerter leurs supérieurs, en enlevant volontairement des troupes de la surveillance de la frontière avec Gaza, en faisant volontairement s'abstenir de toutes interventions les troupes pendant de longues heures le 7 octobre 2023, il est maintenant essentiel de se demander ce qu'a réellement été le 7 octobre 2023, et quel est le genre de guerre israélienne que les Etats-Unis soutiennent financièrement et militairement, que les Etats européens, et plus généralement tout le bloc occidental soutient, que tous les médias mainstream soutiennent, et pour laquelle toutes les sociétés occidentales diabolisent et punissent sévèrement toutes le critiques et voix dissidentes qui remettent en cause le narratif israélien officiel.
Qu'est ce que la directive Hannibal? Les images et les vidéos de voitures brûlées, de corps noircis et calcinés et de maisons incinérées dans le Sud d'Israël on été répandues sur tous les smartphones et tous les écrans de télévision après le 7 octobre 2023.
Toutes ces images ont été utilisées par le gouvernement israélien pour justifier la guerre totale contre le Hamas à Gaza, au prix de plus de 50.000 morts civiles à ce jour, dont plus de 80% de femmes, d'enfants et de personnes âgées, au prix de souffrances indicibles par les Gazaouis, au prix de la destruction total de Gaza, rendant cette étroite bande de terre totalement inhabitable, afin d'en faire définitivement partir les 1,5 millions d'habitants restant encore à ce jour.
Et pourtant ... il y a des preuves indiscutables que c'est bien l'armée israélienne qui a tué un maximum de ses propres concitoyens israéliens, dans la mise en oeuvre de ce qu'on appelle la directive Hannibal. Il faut tout d'abord comprendre quels étaient les buts poursuivis par le Hamas le 7 octobre 2023. Le Hamas voulait absolument prendre des otages, afin d'avoir un levier de négociation politique.
Il y a environ 10.000 prisonniers Palestiniens dans les prisons israéliennes. 3.000 d'entre eux sont détenus dans les geôle israéliennes depuis des années, sans procès et ans avoir jamais inculpés d'un crime quelconque. Quand des groupes militants comme le Hamas arrive à capturer de civils ou des militaires israéliens, cela permet un échange de prisonniers, grâce auquel des prisonniers Palestiniens peuvent être libérés. Par exemple, en 1986, le Hamas a réussi à capturer 3 soldats israéliens et à les ramener à Gaza. Le Hamas a demandé la libération de 1550 prisonniers Palestiniens, contre le retours des 3 otages israéliens.
Après cela, des stratèges militaires israéliens rédigèrent une doctrine secrète visant à interdire tous les futurs kidnappings. C'est la Directive Hannibal, du nom du général de Carthage, qui a choisi de s'empoisonner plutôt que d'être pris vivant par les Romains.
En 2003, vers le 7 octobre 2003, 3 soldats israéliens ont été pris en otages et emmenés au Liban. Appliquant la Directive Hannibal, des hélicoptères israéliens tirèrent indifféremment sur 36 véhicules, causant ainsi la mort des 3 soldats israéliens, et empêchant ainsi les militants du Hezbollah libanais de pouvoir exiger des concessions de la part du gouvernement israélien. La dernière application de la directive Hannibal a eu lieu en 2014. A Rafah, des combattants du Hamas ont réussi à capturer un soldat Israélien, le Lt Nan Goldin. Afin d'éviter d'être utilisé comme levier politique pour contraindre le gouvernement israélien à négocier, l'armée israélienne l'a tué, ainsi que 100 civils Palestiniens, à coup de missiles et de bombardements massifs.
L'échelle a laquelle la Directive Hannibal a été appliquée le 7 octobre 2023, est quelque chose de totalement nouveau. Nof Erez, un général en retraite de l'armée de l'air israélienne, a décrit dans un podcast de @haaretzcom comment et à quelle étape la Directive Hannibal a été mise en oeuvre. "La Directive Hannibal a été mise en oeuvre, parce qu'à partir du moment où l'armée considère qu'il y a kidnapping, ils disent immédiatement "Les gars, c'et Hannibal". Mais la Directive Hannibal pour laquelle nous nous sommes entraînés pendant les vingt dernières années, c'est pour un véhicule dont nous savons d'où il entre en Israël, quelle route il emprunte, etc. Dans le cas du 7 octobre 2023, a été appliquée la Directive Hannibal en masse".
Selon le rapport d'un journal mainstream israélien, "Dans la semaine après le Shabat Noir, le 7 octobre, des soldats d'unités d'élite, sur ordre du Commandement Sud, ont vérifié environ 70 véhicules qui restaient dans la zone entre les habitations Otaf et la Bande de Gaza. Ces véhicules n'ont pas atteint Gaza, parce qu'en chemin, ils ont été ciblés par un hélicoptère de combat, un missile anti-tank ou un tank, et au moins dans certains cas tout le monde dans ces véhicules a été tué". Ces israéliens ont été tués par Israël.
Encore une fois, c'est uniquement ce qui a été rapporté par ls médias israéliens. Tuval Escapa est un membre de la sécurité du kibboutz Be'eri. Il a mis en place une hotline, de façon à ce que les résidents du kibboutz puissent communiquer avec l'armée israélienne. Tuval Escapa a raconté à @Haaretz que "les commandants sur le terrain ont pris des décisions difficiles, dont tirer au tank sur des maisons et leurs occupants" afin d'éliminer aussi bien les otages potentiels que les terroristes. Ils ont tiré au tank sur des maisons entières.
A-t-on entendu cela dans les médias mainstream américains et européens (surtout pas en France, ni en Allemagne, ni au Royaume-Uni) ? Que les Israéliens ont pris pour cibles et détruit 70 voitures avec des missiles hellfire, voitures qui étaient remplies d'Israéliens fuyant le festival Nova, et tué par le feu tous les occupants ? A-t-on entendu cela dans les médias mainstream américains et européens que l'armée israélienne a décimé des maisons entières, en les ciblant et en les tirant avec de l'artillerie avec des tanks ?
Un rapport de @Haaretz datant du 20 octobre 2023 note que les militaires israéliens ont également tiré des missiles contre leur propre base militaire, située à Erez crossing. A ce moment là, cette base était remplie d'Israéliens officiers de l'Administration Civile et de soldats. Une femme israélienne du nom de Yasmin Porat a donné une interview à la radio israélienne, et a affirmé que les militaires ont sans l'ombre d'un doute tué de très nombreux otages, pendant les batailles avec les militants du Hamas. Le Général Barack Hiram a empêché des centaines de ses troupes d'entrer dans le kibboutz Be'eri pendant des heures, et lorsqu'il les a enfin autorisé à entrer, il a donné l'ordre aux tanks de tirer sur de très nombreuses habitations. Les tanks ont tué au moins 12 otages Israéliens, et 3 enfants.
Récemment l'ONU a publié une enquête confirmant la plupart de ces cas, en particulier que l'armée israélienne avait activé la Directive Hannibal le 7 octobre 2023, déclarant "La Commission est au courant que les Forces Spéciales Israéliennes ont appliqué la Directive Hannibal afin d'empêcher la capture de civils israéliens et leur transfert à Gaza, même au prix de les tuer". La Commission d'enquête a documenté le témoignage d'une équipe de tankistes, qui confirme avoir appliqué la Directive Hannibal.
L'armée israélienne, les civils israéliens, et l'ONU admettent tous que l'armée israélienne a bel et bien sciemment tué des citoyens israéliens le 7 octobre 2023. Combien ? Il est difficile de connaître le nombre exact, mais les images des véhicules t des humains brûlés et des maisons incinérées sont encore utilisées à ce jour comme outil de propagande pour fabriquer le consentement et le soutien à la guerre génocidaire menée par Israël contre la population de Gaza, en tuant plus de 50.000 Palestiniens dont plus de 15.000 enfants innocents.
2. Le financement du Hamas par Israël :
Israël et #NetanyahuWarCriminal ont soutenu financièrement le Hamas, en le finançant à hauteur de plus d'un milliard de dollars, afin d'empêcher la reconnaissance d'un Etat Palestinien autonome.
Israël et #NetanyahuWarCriminal ont pensé pouvoir contrôler le Hamas, et pour avoir une raison de maintenir le blocus et le contrôle total de la prison à ciel ouvert qu'était et continue à l'être la Bande de Gaza.
L'arme nucléaire détenue par Israël, le secret total, liant les Etats-Unis :
La guerre menée par Israël contre Gaza, s'est étendue contre le Liban, contre les Houthis du Yemen, et surtout contre l'Iran.
Au Yemen, les Houthis ont intensifié leur implication en défense des Palestiniens de Gaza, en attaquant les cargos destinés à Israël, puis en envoyant des drones armés au dessus d'Israël, contraignant l'Etat colonial a recours à une défense par le Dôme de fer qui coûtent à chaque salve des millions de dollars, pour abattre des drones Yemenis qui ne coûtent presque rien ... Les masses de drones envoyés par les Houthis ont réussi submerger la défense anti-aérienne israélienne, pour frapper en plein centre de Tel Aviv, causant des explosions massives.
Outre sa guerre génocidaire menée contre la population de Gaza, Israël a également attaqué le Liban, la Syrie, et surtout l'Iran.
Pendant ce temps, les Etats-Unis continuent d'assurer leur soutien inconditionnel et sans limite à Israël. Mais un tel soutien est-il même tout simplement légal ?
En vertu des amendements Symington and Glenn, qui datent de 1976, à l' Armed Foreign Assistance Act (lequel fait maintenant partie du Arms Export Control Act), les Etats-Unis n'ont pas le droit de fournir une aide, qu'elle soit militaire ou financière, à un pays étranger doté de l'arme nucléaire, si ce pays n'est pas membre signataaire du Traité de Non Prolifération Nucléaire (le TNP).
Or les Etats-Unis financent l'Etat d'Israël à hauteur de milliards de dollars chaque année en financements et en armements. Et pourtant Israël, qui détient entre 90 et 400 ogives nucléaires, n'a jamais signé le TNP.
Alors comment cela fonctionne-t-il légalement ? Eh bien les Etats-Unis et Israël font comme si Israël n'était pas doté de l'arme nucléaire. Littéralement, c'est celcommea que fonctionne cet énorme mensonge. C'est la notion de "l'ambiguïté nucléaire" ... magnifique, n'est-ce pas ? Que l'on ne vienne pas me parler du prétendu "rules based order" fondement du bloc occidental ! Ni Israël ni les Etats-Unis ne le respectent.
Cette notion d'"ambiguïté nucléaire" permet à Israël de continuer à recevoir des milliards annuels en aides financières et en armements, sans pour autant qu'Israël ait à rendre compte de quoi que ce soit concernant son programme nucléaire.
Un "gag order" top secret (injonction baillon) impose une confidentialité absolue à tous les employés des agences gouvernementales américaines ainsi à tous les contractants extérieurs de ces agences fédérales. Interdiction absolue de discuter du programme nucléaire israélien.
Ainsi par exemple; James Doyle travaillait au Los Alamos National Laboratory, en qualité de spécialiste de la sécurité nucléaire. James Doyle viola le gag order. il écrivit un article de recherche académique, argumentant que les armes nucléaires ne sont pas efficaces en matière de dissuasion, car le fait pour Israël de détenir l'arme nucléaire n'a pas empêché la Syrie et l'Egypte d'attaquer Israël en 1967 (guerre du Kippour). L'Argentine a de même attaqué le Royaume-Uni en 1982 (guerre des Malouines), ou l'Irak d'attaquer Israël pendant la guerre du Golfe en 1991.
James Doyle ayant fait clairement référence au programme d'armes nucléaire d'Israël, les autorisation d'accès (security clearance) de Doyle ont été immédiatement annulées, son domicile a été perquisitionné, ses ordinateurs ont été confisqués, et il a été licencié avec effet immédiat par le Département de l'Energie ..... C'est donc ainsi que cela fonctionne ...
En 2018, le journal New Yorker a publié un article stupéfiant, dans lequel il était évoqué une autre façon de maintenir un gag order concernant le programme nucléaire israélien. Il s'agit des échanges de lettres secrètes échangées entre le POTUS et le Président d'Israël. Toutes les administrations américaines depuis celle de Clinton en 1993, s'engagent selon le même rituel dès leur prise de fonctions. Elles donnent systématiquement leur accord pour ce que la loi américaine soit violée, en échangeant et en signant des lettres secrètes, apportées de la main à la main à chaque POTUS par sa contrepartie Israélienne, et stipulant que le POTUS s'engage à ne jamais confirmer ce que tout le monde sait pourtant, qu'Israël est effectivement en possession d'armes nucléaires.
Lees Archives Nationales aux Etats-Unis, refusent absolument de révéler / publier l'existence de ces lettres secrètes, arguant que le fait de même mentionner leur existence reviendrait à violer le secret du pacte de confidentialité.
Donc pour résumer: un gag order qui concerne tous les employés des agences fédérales américaines, ainsi que tous leurs contractants, et les contraint à ne jamais révéler même la simple existence d'armes nucléaires en Israël; et des présidents des Etats-Unis qui signent des lettres secrètes les engageant à ne jamais reconnaître qu'Israël s'est doté de l'arme nucléaire, et à ne jamais faire pression sur Israël pour que ce pays s'engage dans des traités de non prolifération. Israël, ou le principe du "Rules for The, not for Me" ...
Ce qui signifie que le fait même de poser la question, est hors limite, et implique le risque d'être soumis à des procédures violentes ou judiciaires, de la part de l'Etat fédéral américain ...
Mais quand même, des questions peuvent légitimement être posées.
- Comment et où Israël dispose-t-il des déchets nucléaires que son programme nucléaire génère ?
- Les armes nucléaires israélienne, cumulées avec l'énorme lobby qu'est l'AIPAC (et les opérations de chantage via la liste des clients d'Epstein) , permettront-elles toujours à Israël de contraindre les Etats-Unis a mener une politique étrangère systématiquement favorable à Israël (même si cela met en danger la survie financière des Etats-Unis ?
Pour être exact, depuis la promulgation des amendements Symington and Glenn, l'aide financière des Etats-Unis à Israël s'est montée à 240 milliards de dollars. C'est bien plus que ce que les Etats-Unis ont fourni à l'Europe dans le cadre du plan Marshall, pour assurer la reconstruction de l'Europe en péiode de guerre froide ....
Normalement, dans des relations normées entre deux Etats alliés, jamais les Etats-Unis n'auraient donné250 milliards de dollars d'argent des contribuables américains à Israël .... 250 milliards de dollars d'aide fournis à Israël par les Etats-Unis ... Où est l'AIEA ? Ou sont ses inspecteurs ?
Comment Israël persécute les Chrétiens à Jérusalem Est, à Gaza, en Cisjordanie et au Liban ...
Before the war, Israel’s Christian minority were already being targeted with dispossession and violence. In Jerusalem’s Old City, narrow streets line the ancient neighborhood and Jewish Israeli civilians spitting on and attacking Christian clergy members is commonplace in Israel. Evidence of this shows a video from a few days before October 7th of Christians in the Old City of Jerusalem carrying a cross while a group of Orthodox Jewish Israelis many of them children walk by and spit at the Christians. It’s become mainstream to believe Christians don’t belong in Israel and only Jewish people do.
A few years ago, the mission, the Virgin Mary’s place of death, was attacked and vandalized by Israelis. The graffiti on the ancient walls read “Death to heretical Christians, the enemies of Israel,” and “May his name and memory be obliterated,” in reference to Jesus. According to Haaretz, at a Jewish school, the leader of an anti-assimilation group Bentzi Gopstien told students that it’s quote “mitzvah” or a “good deed” to burn and destroy Christian churches.
Should Americans, especially Christian Americans be allowing billions of their tax dollars to be used to ethnically cleanse, attack and bomb Holy sites and Christian civilians?
What has happened since Israel has launched its war against Hamas? Israel has displaced 2.4 million Palestinians in Gaza, 80% of the buildings and homes have been reduced to rubble, at least 45,000 Palestinians have been killed with 50% being women and children.
In America, we’re told we should prioritize sending billions of U.S. taxpayer dollars to Israel over dealing with our own issues here at home because Israel needs to be able defend itself.
Well, it seems like what initially appeared as a defensive war, is appearing more like an offensive war with the expansionist goal of the permanent military occupation of the Gaza Strip.
Did the Israeli military, the Israeli intelligence community, and the political leadership of Israel allow this terrible attack to happen to justify wiping out the population of Gaza, a genocide justified by an attack that Israel could have stopped had they wanted to.
Voici la vérité sur l'affaire Cécile Kohler et Jacques Paris, le prétendu simple couple de touristes français .... mais vrais agents du Mossad et de la DGSE, emprisonnés en Iran depuis 2022.
On voit fleurir partout des pancartes "libérez Cécile Kohler" ; Celle-ci est décrite comme une pauvre française (professeur de français) touriste innocente retenue injustement en détention en Iran …
Ces affiches fleurissent comme par hasard depuis 8 jours, début de la propagande, et surtout le lendemain du dîner du CRIF, où tout le gouvernement, à commencer par #BayrouCensure #BayrouDemission est venu prendre ses ordres ....
Pourtant la réalité est bien différente …
Cécile Kohler et son Sugar Daddy Jacques Paris, les fameux "otages", sont en fait des agents de la DGSE qui se sont fait attraper. Et les Iraniens ont eu l'intelligence de publier des preuves.
Leur rôle était d’organiser une révolution de couleur intérieure et un changement de régime en Iran, ce qui bénéficierai aussi bien à Israël qu'aux Etats-Unis et au Royaume Uni. Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus en Iran depuis plus de trois ans, sont donc inculpés d'"espionnage pour le Mossad", le service de renseignement extérieur israélien, de "complot pour renverser le régime" et "corruption sur terre".
Kohler et Paris témoignent en français dans ce documentaire, donc vous pouvez comprendre l'essentiel.
À partager sans modération !
#MacronLaHonte #MacronDEGAGE #MacronDémission #MacronLeFaux #MacronLeFleau a publié un message sur son compte X, assurant être très inquiet au sujet du programme nucléaire de l'Iran, et exigeant la libération des citoyens français Cécile Kohler et Jacques Paris, qui ont avoué être entrés en Iran pour organiser des manifestations "populaires" visant à un changement de régime en Iran.
Bien évidemment les médias mainstream comme France 24 et surtout BFMTV présentent Cécile Kohler et Jacques Paris comme un simple couple de tourtereaux amoureux de l'Iran. Gesticulation des médias, surtout de @BFMTV dont les intervenants israélistes ne mentionnent jamais les centaines agents du Mossad capturés par les autorités iraniennes, au lendemain de l'attaque d'Israël contre l'Iran ...
En témoigne l'article de @FranceTV qui date du 3 juillet 2025:
Quant à @BFMTV , cette TV poubelle se surpasse, avec un article totalement mensonger, de la désinformation pure : "Alain Soral recherché pour provocation au terrorisme" (iranien)"
Bientôt, c’est l'excellent @officielsoral qui aura appuyé sur le bouton de l’envoi des missiles iraniens sur Tel-Aviv. Deux mois avant la décision du juge, qui tombera le 11 septembre 2025, la presse de caniveau se déchaîne contre l’écrivain qui, il est vrai, n’est pas tendre avec le pouvoir profond. De là à voir un lien avec la persécution et la désinformation à son sujet...
Il s’agit du dossier d’une femme et de son compagnon, qui ont été mis en examen pour une histoire d’ingérence iranienne en France. En réalité, un compte Telegram tout simplement propalestinien. C’est le seul "crime" qu’on leur connaît. Naturellement, le deux poids deux mesures en la matière aura déterminé qui est le danger pour la France, entre @officielsoral et ses écrits, et les génocidaires qui se bousculent en plateau, en particulier sur @BFMTV où ils ont table ouverte. Le mensonge est devenu si gros, si vil, et le journalope @paulcng une serpillère du pouvoir sioniste et des #macronistes ...
"Alain Soral recherché par la justice sur fond de tensions grandissantes entre Paris et Téhéran. Selon des informations de BFMTV, le polémiste d’extrême droite est soupçonné d’être impliqué dans une opération d’ingérence iranienne en France, l’une des premières détectées par les services de renseignement. Le leader du mouvement Égalité & Réconciliation (E&R) est suspecté de "provocation au terrorisme" et d’"apologie de terrorisme".
La Ligue de défense juive diffuse bien évidemment le même mensonge et la même diffamation totale à l'encontre d'Alain Soral:
"Selon nos informations, l’essayiste d’extrême droite est recherché dans une possible affaire d’ingérence pro-iranienne en France. Exilé en Suisse, Soral fuit la justice. Trois personnes dont une Iranienne habitant Lyon ont été mises en examen. Plusieurs de ses proches sont aussi ciblés. Ce dossier pourrait peser dans les discussions entre Paris et Téhéran autour de Cécile Kohler et Jacques Paris, inculpés en Iran pour « espionnage » au profit du Mossad.
Alain Soral recherché par la justice sur fond de tensions grandissantes entre Paris et Téhéran. Selon des informations de BFMTV, le polémiste d’extrême droite est soupçonné d’être impliqué dans une opération d’ingérence iranienne en France, l’une des premières détectées par les services de renseignement.
Le leader du mouvement Égalité & Réconciliation (E&R) est suspecté de « provocation au terrorisme » et d' »apologie de terrorisme ». Exilé à Genève, l’ancien cadre du Front national (FN, devenu RN), refuse depuis plusieurs mois de répondre aux convocations du juge d’instruction en charge de l’affaire à Paris. Il fuit la justice.
Plusieurs de ses lieutenants d’E&R ont été auditionnés. Le 29 mai, son domicile dans la Nièvre a reçu une visite d’enquêteurs. Le Franco-Suisse de 66 ans était absent. Ils recherchaient des preuves intéressant leurs investigations.
Influence au service de l’Iran
Celles-ci ont débuté il y a bientôt 18 mois, à la suite d’un signalement du ministère de l’Intérieur au parquet de Paris le 30 octobre 2023, c’est-à-dire trois semaines après les massacres du 7 octobre en Israël. Une enquête judiciaire a été ouverte par le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH).
Les services de renseignement français avaient repéré un compte Telegram anti-israélien extrêmement actif. Son nom : « Axe de la Résistance ». Une chaîne de propagande pro-iranienne et pro-palestinienne, rédigée en français, qui compte plusieurs milliers d’abonnés. Selon le parquet de Paris, cette chaîne se distingue en faisant « l’apologie des attentats commis en Israël le 7 octobre 2023 » et en « injuriant la communauté juive ».
Depuis le mois de mars, une Iranienne de 35 ans est écrouée à la prison de Fresnes (Val-de-Marne) dans le cadre de cette affaire, ce qui a déclenché les foudres de Téhéran. Traductrice en langue française et diplômée en sciences du langage à l’université Lyon-II, Mahdieh Esfandiari, 35 ans, a été interpellée le 28 février à Lyon, alors qu’elle s’apprêtait à quitter le territoire français. Elle réside dans le Rhône depuis plus de 8 ans.
Soupçonnée d’être l’administratrice de cette chaîne Telegram antisioniste radicale, elle a été mise en examen pour « provocation au terrorisme », « apologie de terrorisme » et placée en détention provisoire. Le 14 avril, le porte-parole du ministère des affaires étrangères iranien, Esmail Baghaei, a réagi, dénonçant l’association faite, selon lui, par les pays européens, entre la dénonciation du « génocide » commis par Israël à de l’apologie de terrorisme. Alain Soral a également pris sa défense publiquement".
[...]
"Quel intérêt pour Téhéran de diffuser une propagande anti-israélienne sur le sol français? Dans l’esprit des leurs dirigeants, l’Hexagone est un soutien inconditionnel de son ennemi israélien. C’est aussi une terre de refuge pour des opposants en exil, dont certains ennemis déclarés du régime. La France est donc une cible.
Après la Russie et ses opérations de déstabilisations (en simulant des actes antisémites comme dans l’affaire des étoiles de David peintes au pochoir sur les murs de Paris), l’Iran représente la deuxième menace, en termes d’ingérence. Pour les Iraniens, encourager l’activisme pro-palestinien est considéré comme un moyen de fracturer la France, en exacerbant les tensions qui existent dans la société. Shahin Hazamy, un influenceur franco-iranien, considéré comme un relai d’influence du régime des mollahs, est jugé ce 3 juillet à Bobigny pour « apologie de terrorisme ».
En abritant cette propagande et en lui donnant des moyens de sa diffusion, Alain Soral risque d’être tenu pour complice."
De la même façon, tous les journaux appartenant au sioniste Drahi, ont immédiatement relayé le mensonge et la diffamation ... Le but étant de passer sous silence les vrais raisons et preuves avérées de l'espionnage pratiqué par le coupe Paris Kohler en Iran, au profit de la DGSE et du Mossad ...
Et écoutez bien la vidéo de l'excellent @DubreuilhMarcel et l'article de @LeMediaEn442
"Vous avez vu l’article de BFMTV titrant : « Ingérence pro-iranienne : Alain Soral recherché pour provocation au terrorisme » ? Trois personnes, dont une Iranienne à Lyon, sont mises en examen, liées à la chaîne Telegram « Axe de la Résistance », une simple plateforme pro-palestinienne. Une annonce qui tombe pile le jour du dîner du CRIF. Coïncidence ? Marcel D. explique, point par point, comment Soral est transformé en bouc émissaire. Et tenez-vous bien : information explosive de Henri Guaino, ex-conseiller de Sarkozy, qui lâche une bombe sur LCI pour libérer Cécile Kohler et Jacques Paris, accusés d’espionnage en Iran. Quel rapport avec Soral ? C’est là que ça devient croustillant. Pour tout comprendre, regardez la vidéo complète !"
ALORS SURTOUT, FAITES TOURNER, RT EN MASSE, C'EST LA SEULE FACON DE FAIRE VALOIR LA VERITE ET DE PROTEGER ALAIN SORAL @officielsoral , @Youssef_Hindi et @pierrejovanovic .
MERCI !
@YvesPDB @LeMediaEn442 @XavierPoussard @Poulin2012 @nicolasputsch @JusteMilieu3 @JuliaCerisi @anatolium @Renardpaty @LaureGonlezamar @LaurentOzon @Pascal_Laurent_ @PolFabrice @_saintete_pepe @verity_france @VictorSinclair3 @Verhaeghe @Veritiste @edouardhusson @HigueroLucien @JaimeHorta17 @Hellam12 @Houdiakova @Youssef_Hindi @HamelinMd @Sitting_Bull_D @SierraTango74 @Carene1984 @tatiann69922625 @PanDanTag @sergiodde @s_m_marandi @sefluctuat @GroupeSafari @officielsoral @AnneIbiza13 @poletic3
Jun 20 • 4 tweets • 3 min read
Et on continue les bonnes nouvelles !
Les 48.000 morts prématurés par an, invoqués par les #macronistes ? Des mensonges. Les défenseurs des ZFE pris en flagrant délit de manipulation statistique.
Pannier-Nullachier a cité un chiffre tiré de rapports de Santé Publique France, rapports dont la méthodologie est éminemment contestable :
Sandrine Rousseau est toujours en PLS (en pleine descente d'organes) au micro de la journaleuse Apolline De Malherbe : "On fait gagner le climato-scepticisme".
La fraude escrologiste ne prend plus, tout le monde en a plein le cul !
Et enfin le meilleur pour la fin : les escrologistes du plateau TV de @cavousf5 chouinent auprès du journaleux Patrick Cohen et de l'animatrice Lemoine, de ce que leur propagande ne fonctionne plus, les Français en ont plein le cul.
Voici le grand @MbalaDieudo dans un sketch de 2010, sur le concept de guerre préventive d'Israël.
Ecoutez bien, il est toujours autant d’actualité, n'a pas pris une ride .
"l’image, dans un conflit, ça compte énormément, car ça permet de tenir l’opinion. Il y a désormais deux camps en France, les pro et les anti-Israël. Concrètement, le génocide des Palestiniens perpétré par l’armée israélienne a totalement détruit l’image positive d’Israël véhiculée et entretenue depuis cinquante ans par les médias, avec la télé et le cinéma aux avant-postes.
N’importe qui, quand il se fait traiter d’antisémite en plateau, peut aujourd’hui sortir un ta gueule, regarde ce qu’Israël fait à Gaza. Le joker a changé de mains. Ce n’est pas de l’antisionisme, assimilé à de l’antisémitisme comme l’espèrent les docteurs de la loi truquée, mais bien de l’anti-génocidisme, et ça, c’est imparable. Plus besoin, s’il le fallait, d’être antisem ou antision. C’est du passé, et les bombardements israéliens en ont fait table rase.
Ainsi, tous ceux qui ont été condamnés par la loi israéliste en France peuvent aujourd’hui sortir de cellule, cette invisibilité médiatique dont ils ont été frappés. Ils n’avaient plus le droit de s’exprimer, même quand ils disaient des choses justes. Ce sont les Justes d’aujourd’hui".
Et c'est exactement dans ce sens qu'il convient d'apprécier pleinement le sketch "Mahmoud" et le poème "Palestine" de l'immense poète et humoriste qu'est @MbalaDieudo .
Sur les réseaux, c’est le défouloir anti-israélien : les autorités ne peuvent plus rien faire, c’est Fukushima, un mur de lucidité et d’humour de quinze mètres de haut qui ravage tout.
1. Un post X très intéressant de @FrancescaRGee que je remercie, portant sur des expérimentations d'armes chimiques et biologique qu'a pratiqué (et que pratique certainement encore, dans le plus grande secret l'organisme de recherche atomique, biologique et chimique de Ness Ziona), m'a fait creuser un peu plus le sujet. Voici ce que j'ai découvert, dans le 🧵ci-dessous.
2. Israël développe la "Bombe Ethnique" pour augmenter son arsenal d'armes biologiques (article de Mark Weber).
Israël travaille sur une arme biologique "ethniquement ciblée" qui tuerait ou nuirait aux Arabes mais pas aux Juifs, selon des sources militaires et de renseignement occidentales israéliennes citées dans un rapport de première page dans le Sunday Times de Londres, le 15 novembre 1998 ("Israel Planning 'Ethnic' Bomb as Saddam Caves In,” by Uzi Mahnaimi and Marie Colvin).
En développant cette "ethno-bomb", le journaliste du @thetimes continue, les scientifiques israéliens tentent d'exploiter les progrès médicaux en identifiant les gènes distinctifs portés par certains Arabes, afin de créer une bactérie ou un virus génétiquement modifié. L'objectif est d'utiliser la capacité des virus et de certaines bactéries à modifier l'ADN à l'intérieur des cellules vivantes de l'hôte. Les scientifiques essaient de concevoir des micro-organismes mortels qui attaquent uniquement ceux qui portent les gènes distinctifs.
Le programme secret d'Israël est basé à l'"Institute for Biological Research" à Nes Tsiona, une petite ville au sud-est de Tel Aviv, le principal centre de recherche qui s'occupe de l'arsenal clandestin d'armes chimiques et biologiques développé par Israël.
Un scientifique a déclaré que la tâche est très compliquée parce que les Arabes et les Juifs sont d'origine sémitique (sauf les Juifs ashkénazes, majoritaires en Israël - en ne tenant pas compte des Palestiniens -). Le scientifique a ajouté: "ils ont cependant réussi à identifier une caractéristique particulière dans le profil génétique de certaines communautés arabes, en particulier le peuple irakien" Les maladies pourraient se propager en pulvérisant des organismes dans l'air ou en les mettant dans les réserves d'eau.
Certains experts ont fait remarquer que si une arme ethniquement ciblée est théoriquement réalisable, les aspects pratiques de la création d'une telle arme sont énormes. Et un rapport confidentiel du Pentagone a averti l'année dernière (1997) que des agents biologiques pourraient être génétiquement modifiés pour produire de nouvelles armes létales.
Le secrétaire américain à la Défense, William Cohen, a révélé qu'il avait reçu des rapports de pays travaillant à créer certains types d'agents pathogènes "qui seraient spécifiques à l'ethnie". Une source de renseignement occidentale a confirmé qu'Israël est l'un des pays que Cohen avait à l'esprit, a ajouté le @thetimes .
Le rapport du @thetimes est d'autant plus crédible, compte tenu du prestigieux document de travail publié par le passé et qui contient des rapports fiables. Dans un rapport détaillé en première page publié le 19 Juin 1977, le @thetimes a révélé pour la première fois au monde que les autorités israéliennes avaient torturé des prisonniers palestiniens, que cette torture était "généralisée et systématique" et qu'elle "semble être sanctionnée à un certain niveau comme une politique délibérée". À l'époque, des responsables israéliens et des dirigeants Juifs-sionistes aux États-Unis ont protesté contre les révélations du @thetimes et ont nié l'accusation. Plus tard, cependant, la torture israélienne des prisonniers a été vérifiée de manière indépendante par @amnesty et d'autres ONG.
Un autre article récent du @thetimes a révélé que des avions israéliens ont été équipés pour transporter des armes chimiques et biologiques. "Il n'y a pratiquement pas une seule forme connue ou inconnue d'armes chimiques ou biologiques ... qui n'est pas fabriquée à l'Institut [Nes Tsiona]", a déclaré à la presse un biologiste qui est un ancien responsable du renseignement israélien. Et le journal israélien @YediotAhronot , citant un rapport étranger, a déclaré à ses lecteurs que des centaines de bouteilles de toxine anthrax mortelle étaient stockées à l'Institut.
Les déclaration que l'Etat d'Israël serait en train d'élaborer une "bombe ethnique" ont reçu une crédibilité supplémentaire, par la confirmation de cette histoire dans @foreignreport , une publication faisant autorité et qui surveille de près les questions militaires et de sécurité. Cet article cite des sources sud-africaines anonymes, qui disent que les scientifiques israéliens, en essayant de développer une arme biologique ethnique contre les populations Arabes, ont utilisé des études biologiques similaires menées par des scientifiques d'Afrique du Sud pendant l'ère de l'Apartheid (et plus tard révélé dans le témoignage devant la "Commission Vérité et Réconciliation"). @foreignreport indique également que les Israéliens ont acquis des connaissances sur la constitution génétique arabe en menant des recherches sur les Juifs "d'origine arabe, en particulier les Irakiens".
La British Medical Association est devenue tellement préoccupée par le potentiel létal des armes biologiques à base génétique qu'elle a ouvert une enquête. Le Dr. Vivienne Nathanson, qui a organisé la recherche, a déclaré: “Avec une arme ethniquement ciblée, vous pourriez même frapper des groupes au sein d'une population. L'histoire de la guerre, dans laquelle de nombreux conflits ont un facteur ethnique, montre à quel point cela pourrait être dangereux.
Un porte-parole de l'establishment de la défense biologique de Grande-Bretagne confirme que de telles armes sont théoriquement possibles. "Nous avons atteint un point où il y a un besoin évident d'une convention internationale pour contrôler les armes biologiques" a-t-elle dit.
L'Anti-Defamation League (ADL) n'a bien évidemment pas perdu de temps à dénoncer l'article sur la "bombe ethnique" rédigé par le journaliste du @thetimes . Abraham Foxman, directeur national de l'influente organisation juive-sioniste, a qualifié cette histoire "d'irresponsable et de dangereuse". Le responsable de l'ADL a poursuivi: “Cette histoire sensationnelle rappelle le mythe antisémite séculaire de la diffamation des Juifs buveurs de sang, ciblant sournoisement les non-Juifs avec du poison". Question: Comment Foxman sait-il que ce rapport n'est pas vrai? Est-ce que des hauts responsables israéliens informent régulièrement l'ADL du gouvernement sioniste des programmes militaires top-secrets de menés en Irak?
Un haut responsable du gouvernement israélien a également rejeté le rapport du @thetimes , affirmant que "c'est le genre d'histoire qui ne mérite même pas de déni". De telles déclarations israéliennes sont pratiquement sans valeur, cependant, considérant que l'Etat sioniste refuse officiellement de reconnaître qu'il a des armes nucléaires, un fait que même des sources américaines faisant autorité ont confirmé.
"Human Guinea Pigs"
Victor Ostrovsky, un ancien officier du Mossad, l'agence israélienne de renseignement, a rappelé dans son livre "The Other Side of Deception" comment il a appris pour la première fois ce faisait l'état sioniste.
"C'est Uri qui m'a éclairé concernant l'installation de Nes Siona [Tsiona]. C'était, a-t-il dit, un laboratoire de guerre ABC — ABC qui représentait atomique, biologique et chimique. C'est là que nos meilleurs épidémiologistes développaient diverses machines apocalyptiques. Parce que nous étions si vulnérables et que nous n'aurions pas une seconde chance s'il y avait une guerre totale dans laquelle ce type d'arme serait nécessaire, il n'y avait pas de place pour l'erreur. Les infiltrés palestiniens [capturés] ont été utiles à cet égard. En tant que cobayes humains, ils pouvaient s'assurer que les armes que les scientifiques développaient fonctionnaient correctement et pouvaient vérifier à quelle vitesse elles fonctionnaient et les rendre encore plus efficaces".
Comme la plupart du monde le reconnaît, la politique des États-Unis envers les pays qui développent des armes nucléaires, chimiques et biologiques est moralisatrice et effrontément hypocrite.
Récemment, par exemple, le gouvernement des États-Unis a fermement condamné l'Inde et le Pakistan pour avoir testé des armes nucléaires. Bien évidemment, le seul pays à avoir jamais utilisé des armes nucléaires est les États-Unis. En Août 1945, les forces américaines ont immédiatement tué des dizaines de milliers de civils japonais avec des bombes atomiques, d'abord à Hiroshima, puis à Nagasaki —, même si les dirigeants militaires américains es plus compétents ont jugé qu'il n'y avait pas de besoin militaire d'utiliser cette arme apocalyptique. (Voir: “Was Hiroshima Necessary,” in the May-June 1997 Journal, pp. 4-12).
Pour empêcher le gouvernement de l'Irak "de développer des armes de destruction massive" (pour utiliser l'expression actuellement à la mode), les États-Unis bombardent régulièrement le malheureux pays arabe et appliquent un embargo économique qui (selon des estimations faisant autorité) a déjà coûté la vie à plus de 200.000 enfants irakiens [chiffres de 1997, en réalité estimations en 2025 de plus d'un millions d'enfants irakiens morts, du fait des sanctions drastiques américaines appliquées pendant près de 10 ans].
Pendant des décennies, cependant, les leaders politiques et intellectuels des Etas-Unis, en tant que valets obséquieux des intérêts des juifs sioniste israéliens, ont approuvé le fait qu'Israël dispose d'un arsenal d'armes nucléaire, chimique et biologique grandissant.
Test des armes biologiques et des médicaments sur les Palestiniens et les Noirs
{chapitre 21, pages 188/189}
"À l'époque, la poursuite des Palestiniens qui ont infiltré la frontière pour commettre des actes de sabotage était presque quotidienne. La plupart du temps, les infiltrés seraient tués pendant la course poursuite ou lors de courtes escarmouches dans le désert. Il y avait cependant des cas dans lesquels les terroristes seraient capturés vivants; néanmoins, la plupart du temps, même s'ils étaient pris vivants, ils étaient annoncés comme morts à la radio afin que personne n'attende leur retour".
"C'est là que j'intervenais en tant qu'officier de police militaire [avant de rejoindre le Mossad]; mon travail consistait à emmener les prisonniers dans un centre de détention Nes Ziyyona, une petite ville au sud de Tel Aviv. Les prisonniers ont toujours supposé qu'il s'agissait d'un centre d'interrogatoire pour le Shabak. Mais nous savions tous qu'un prisonnier amené là-bas ne sortirait probablement jamais vivant, mais le lavage de cerveau que nous avons subi au cours de nos courtes vies nous avait convaincus que c'était eux ou nous; il n'y avait pas de zone grise".
"C'est [Mossad case officer] Uri qui m'a éclairé sur l'installation de Nes Ziyyona. C'était, a-t-il dit, un ABC laboratoire guerre – ABC signifie atomique, bactériologique et chimique. C'est là que nos meilleurs épidémiologistes développaient diverses machines apocalyptiques. Parce que nous étions si vulnérables et que nous n'aurions pas une seconde chance s'il y avait une guerre totale dans laquelle ce type d'arme serait nécessaire, il n'y avait pas de place pour l'erreur".
"Les infiltrés palestiniens ont été utiles à cet égard. En tant que cobayes humains, on pouvait s'assurer sur eux que les armes que les scientifiques développaient fonctionnaient correctement et on pouvaient vérifier à quelle vitesse elles fonctionnaient et les rendre encore plus efficaces. Ce qui m'effraie aujourd'hui, en regardant en arrière cette révélation, ce n'est pas le fait qu'elle se produisait, mais plutôt le calme et la compréhension avec lesquels je l'ai acceptée".
"Des années plus tard, j'ai rencontré Uri à nouveau. Cette fois, il était dans le Mossad, un vétéran katsa [agent de cas] dans le département Al [American], et j'étais une recrue. Il était revenu d'une mission en Afrique du Sud. J'étais alors un homme de bureau temporaire dans le département Dardasim [Asiatique] en liaison, l'aidant à se préparer pour une grande expédition de médicaments en Afrique du Sud pour accompagner plusieurs médecins israéliens qui se dirigeaient vers un travail humanitaire à Soweto, un canton noir en dehors de Johannesburg".
"Les médecins devaient aider à traiter les patients dans une clinique externe de l'hôpital de Baragwanath Soweto, à quelques pâtés de maisons des maisons Winnie Mandela et Bishop Desmond Tutu. L'hôpital et la clinique ont été soutenus par un hôpital de Baltimore, qui a servi de cut-out [intermédiaire] pour le Mossad. Uri était sur une période de réflexion des États-Unis".
"Que fait le Mossad en apportant une aide humanitaire aux Noirs à Soweto?” Je me souviens lui avoir demandé. Il n'y avait aucune logique à cela; aucun gain politique à court terme (qui était la façon dont le Mossad fonctionnait) ou aucun avantage monétaire visible. "Vous souvenez-vous de Nes Ziyyona?” Sa question m'a fait frissonner la colonne vertébrale. J'ai hoché la tête".
"C'est à peu près la même chose. Nous testons de nouvelles maladies infectieuses et de nouveaux médicaments, qui ne peuvent être testés sur des humains en Israël, et ce pour plusieurs laboratoires pharmaceutiques israéliens. Cela leur permettra de savoir s'ils sont sur la bonne voie, ce qui leur permettra d'économiser des millions dans la recherche".
"Que pensez-vous de tout cela?" avais-je demandé. "Ce n'est pas mon travail d'y penser".
Figure: Israel’s Nes Ziyyona biological and chemical weapons facility (GlobalSécurité')
Comble de l'ignominie !! BlackRock #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler loue Israël pour avoir fait "le sale boulot pour nous" . Le chancelier allemand a approuvé les frappes israéliennes en cours contre l'Iran.
"Israel is doing the dirty work for all of us, we are also affected by this terrorist mullah regime. Utmost respect that Israel had the courage to do this".
Le chancelier allemand BlackRock #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen a salué les frappes militaires d'Israël contre l'Iran, affirmant que le gouvernement et l'armée israéliens font "le sale boulot" des nations occidentales.
#Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen a fait ces remarques lors d'une série d'entretiens en marge du sommet du G7 2025 au Canada, auxquels ont participé tous les garants de l'accord nucléaire iranien initial de 2015, à l'exception de la Russie et de la Chine.
"C'est le sale boulot qu'Israël fait pour nous tous. Nous sommes également victimes de ce régime" a dit #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen dans une interview avec ZDF, affirmant que "ce régime de mollahs a apporté la mort et la destruction au monde". Il a ajouté "Je peux seulement dire: Le plus grand respect pour le fait que l'armée israélienne et les dirigeants israéliens ont eu le courage de le faire".
"Je suppose que les attaques de ces derniers jours ont déjà considérablement affaibli le régime des mollahs et qu'il est peu probable qu'il revienne à son ancienne force, rendre l'avenir du pays incertain" a déclaré #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen dans une interview donnée au quotidien Die Welt.
Donc, apparemment, les guerres d'agression sont non seulement permises, mais acclamées par l'Allemagne de BlackRock #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen dès lors qu'il s'agit d'Israël, pour lequel le Chancelier allemand "a le plus grand respect" ...
Apparemment le droit international ne s'applique qu'aux "Etats de l'Est" et du soit disant "Axe du mal" constitué de l'Iran, de la Russie, de la Chine, de la Corée du Nord, de Cuba et du Venezuela" ... Et les Etats de l'Occident (dont Israël) n'ont pas besoin de s'y conformer ...
Rappelons que l'Allemagne fait partie du groupe P5+1, qui a négocié le Plan d'action global conjoint (JCPOA), communément appelé l'accord nucléaire iranien, en 2015. Malgré son soutien aux frappes, #Merzkannesnicht #MerzNichtMeinKanzler #merzhatsichandiemachtgelogen a déclaré que Berlin était prêt à soutenir de nouvelles négociations pour s'assurer que l'Iran n'obtienne jamais d'armes nucléaires ... Ben voyons ... 🤮💩😡
Jérusalem-Ouest a justifié son attaque du vendredi 13 juin 2025, en affirmant que l'Iran serait sur le point d'obtenir des armes nucléaires. Téhéran a nié à plusieurs reprises les accusations, affirmant que son programme nucléaire est entièrement pacifique.
L'Iran a riposté en tirant des dizaines de missiles balistiques sur Israël, les deux parties échangeant des attaques depuis. L'Iran a fait état d'au moins 224 morts depuis le début des hostilités. Israël a fait état de 24 morts (certainement plus, l'Etat israélien maintenant une censure totale sur le sujet).
Dans un communiqué conjoint publié lundi 16 juin 2025, les dirigeants du G7 ont qualifié l'Iran de "source principale d'instabilité régionale et de terreur" ajoutant "nous avons toujours été clair que l'Iran ne peut jamais avoir une arme nucléaire".
Le président des États-Unis, Donald Trump, qui a brusquement écourté son séjour au sommet du G7, a exigé mardi 17 juin une "capitulation inconditionnelle" de l'Iran .
Washington a précédemment exigé que Téhéran cesse tout enrichissement en uranium, ce que les responsables iraniens ont décrit comme "complètement détaché de la réalité".
L'Iran enrichit actuellement l'uranium à 60% de pureté, bien au-dessus du plafond de 3,67% fixé dans le cadre de l'accord nucléaire de 2015, ce qui a été rendu nul et non avenu après que Trump en ait unilatéralement retiré les États-Unis au cours de son premier mandat.
Ces exigences de Trump et de l'Occident comprennent l'arrêt total de tout enrichissement d'uranium, y compris à des fins médicales ou scientifiques, même s'il est soumis à des inspections approfondies et régulières par les Nations unies et d'autres organismes internationaux. Rappelons que l'Iran fait parti des 4 premiers exportateurs de produits radioactifs utilisé par les traitements anti cancéreux, y compris largement en Occident. Interdire tout enrichissement nucléaire à l'Iran reviendrait à contraindre la population iranienne à ne pas se soigner, et à causer ainsi des millions de morts ...
La Russie a condamné les frappes aériennes initiales d'Israël et a appelé à la désescalade. Le président Vladimir Poutine a parlé avec Trump par téléphone ce week-end, et selon l'aide du Kremlin Yury Ushakov, les deux ont discuté de la possibilité de relancer les négociations sur le programme nucléaire de l'Iran.
L'ironie de la situation est qu'Israël, comme d'habitude, se fait passer pour la victime, bien qu'il dispose d'un arsenal nucléaire secret de plus de 200 ogives et que Tel-Aviv n'est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) qui impose des inspections régulières. En revanche, l'Iran est signataire et a accepté les inspections régulières. De plus, les services du renseignement américains et israéliens ont confirmé que l'Iran ne dispose d'aucun programme d'armement nucléaire, ce qui signifie que ce pays, qui n'a attaqué ni Israël ni les États-Unis et ne constitue aucune menace pour l'un ou l'autre de ces pays, est pourtant attaqué comme s'il était l'agresseur. Cette réalité n'a pas empêché #NetanyahuWarCriminal #netanyahucriminal de déclarer que la menace nucléaire iranienne constitue son casus belli avant de déclencher sa guerre, à laquelle Trump et sa machine de guerre, récemment exhibée sur Constitution Avenue à Washington, pourraient bientôt se joindre. Les déclarations incohérentes et souvent contradictoires de Trump sur ces questions laissent présager une guerre imminente, qui serait, a priori, motivée par l'enrichissement d'uranium de l'Iran.
Voici un article de Mike Whitney daté du 10 mai 2025, et publié le 11 mai 2025 sur un compte substack que je suis ... Cet article est visionnaire, c'est le moins que l'on puisse dire. Voyez par vous-même ...
Surprise, surprise : Bibi aurait découvert une "installation nucléaire secrète" en Iran ...
"Nous sommes en alerte maximale, avec le passif de sabotage & d'assassinats". L’Iran s'attend donc à une "opération sous faux drapeau" ? Cela y ressemble fort. Bibi est désespéré. Tout peut arriver.
Voici ce que les médias ne vous disent pas :
L'Iran a persuadé les Houthis d'accepter un cessez-le-feu avec Trump afin de créer une dynamique pour les négociations nucléaires de ce week-end à Oman [le cycle de négociations entre l'Iran et les Etats-Unis]. Deux responsables iraniens ont indiqué que Téhéran a encouragé les Houthis à cesser de cibler les intérêts américains, conformément à l'intérêt de l'Iran de désamorcer les tensions afin de faire avancer les négociations nucléaires. Voici l'article du @TimesofIsrael :
"L'Iran a fait pression sur le groupe rebelle houthi du Yémen pour qu'il conclue une trêve avec les États-Unis concernant les attaques dans la mer Rouge, dans le but de faire avancer les négociations en vue d'un accord sur le programme nucléaire de Téhéran, selon certaines informations.
"Le président américain Donald Trump a annoncé mardi soir la fin des hostilités avec les Houthis, prenants de court les responsables israéliens. L'annonce ne mentionnait pas les attaques à la roquette et au drone menées actuellement par les Houthis contre Israël, et les responsables du groupe rebelle yéménite ont promis que ces frappes se poursuivront" .
"Deux responsables iraniens, l'un du ministère des Affaires étrangères et l'autre des Gardiens de la révolution, ont déclaré que l'Iran a convaincu les Houthis de mettre fin à leurs attaques contre les intérêts américains dans le cadre des efforts de médiation d'Oman, a rapporté le New York Times".
"CNN a cité des personnes proches du dossier qui ont affirmé que l'envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, a travaillé avec les Omanais la semaine dernière pour négocier le cessez-le-feu entre les États-Unis et les Houthis. Selon ces sources, le cessez-le-feu devrait ainsi contribuer à donner un nouvel élan aux négociations sur le nucléaire iranien, que Witkoff mène également au nom de l'administration Trump".
Que l'Iran utilise son influence sur ses alliés dans la région pour réduire les affrontements (et ouvrir des voies maritimes cruciales) dans l'espoir d'améliorer ses chances de conclure un accord avec Trump sur la question nucléaire. (Trump a déclaré que si aucun accord n'aboutit, la guerre sera la seule option).
Naturellement, ces développements terrifient Israël, qui a besoin de l'aide des États-Unis pour mener une attaque contre l'Iran. Mais si Trump va de l'avant et conclut un accord avec l'Iran (sans en informer Bibi, comme il l'a fait avec les Houthis), alors le rêve d'Israël de vaincre l'Iran et d'émerger comme puissance dominante dans la région devient impossible. En bref, Israël a besoin du soutien des États-Unis dans tout conflit futur avec l'Iran, ce qui signifie qu'il doit saboter de manière préventive les négociations nucléaires. Si les négociations échouent, Trump se joindra alors à Israël pour lancer des frappes aériennes contre l'Iran. C'est le scénario dont rêve #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuExposed .
Ne soyons donc pas surpris que, moins de 48 heures après l'accord conclu par Trump avec les Houthis, deux incidents suspects aient eu lieu, suggérant qu'Israël prend (désespérément) des mesures pour saboter les négociations. Tout d'abord, voici un extrait d'un article paru dans le @TimesofIsrael :
"Huit Iraniens arrêtés au Royaume-Uni ce week-end sont soupçonnés d'avoir comploté pour attaquer l'ambassade d'Israël à Londres, selon un rapport non sourcé publié mercredi dans le journal The Times".
"La police a refusé de divulguer les détails du complot présumé, mais il semble que l'ambassade était la cible principale’, indique le rapport, sans nommer ses sources..."
"Le commandant Dominic Murphy, chef du service antiterroriste de la police métropolitaine, a déclaré en début de semaine que ‘l'enquête en est encore aux premiers stades et que nous explorons plusieurs pistes afin de déterminer les motivations éventuelles et d'identifier s'il existe un risque quelconque pour le public en lien avec cette affaire".
"Les médias britanniques ont rapporté mardi les spéculations croissantes selon lesquelles les sept Iraniens et une autre personne arrêtés au cours du week-end auraient été ‘à quelques heures’ de mener une attaque contre une synagogue ou un lieu lié à la communauté juive de Londres, bien qu'aucune de ces informations n'ait été confirmée".
— Arrested Iranian nationals were planning attack on Israeli Embassy in London,
Comme prévu (moins de deux jours après l'accord conclu par Trump avec les Houthis), nous sommes confrontés à un incident pour lequel il n'existe ni faits ni preuves vérifiables et aucun responsable public n'est en mesure de corroborer ce qui s'est prétendument passé. Mais cette affaire présente néanmoins les Iraniens comme des terroristes fanatiques déterminés à tuer des Juifs. C'est bien là le message que l'on veut faire passer, n'est-ce pas ? Et si ce sont des maniaques meurtriers, on ne peut certainement pas leur faire confiance sur une question aussi sérieuse que l'énergie nucléaire. C'est exactement ainsi que la propagande israélienne fonctionne.
Une seconde affaire a été rapportée par @FoxNews quelques heures avant que le prétendu complot terroriste à Londres ne soit déjoué. En voici un extrait :
"Fox News a obtenu en exclusivité des images satellites montrant ce qu'un groupe d'opposition affirme être une installation nucléaire iranienne jusqu'alors inconnue, soulevant de nouvelles inquiétudes alors que les négociations entre Téhéran et l'administration Trump sont en cours".
"Le site nouvellement identifié, situé dans la province iranienne de Semnan, est loin des installations nucléaires déjà connues du régime. Selon le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), des informations recueillies par les services du renseignement à l'intérieur du pays indiquent qu'il pourrait s'agir d'un vaste complexe couvrant près de 2 500 acres."
"Baptisée "Rainbow Site" par les autorités iraniennes, cette installation serait en activité depuis plus de dix ans, sous couvert d'une entreprise de production chimique connue sous le nom de Diba Energy Siba".—
Ces mêmes allégations non corroborées ont été publiées par plusieurs autres médias mainstream qui œuvrent à préparer l'opinion publique à une guerre contre l'Iran. Voici un extrait d'un article paru dans @Newsweek :
"Lors d'une conférence de presse organisée jeudi dans ses bureaux de Washington, D.C., des représentants du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) ont affirmé que l'Organisation pour l'innovation et la recherche en matière de défense du ministère iranien de la Défense mènerait secrètement des recherches liées aux armes nucléaires dans un site connu sous le nom de ‘Rainbow Site’, situé dans la région d'Ivanaki, dans la province de Semnan, au centre-nord du pays ..."
"La MEK, faction dominante du CNRI, affirme disposer d'un vaste réseau de membres et de militants au sein de la République islamique. La MEK est désignée comme organisation terroriste par l'Iran en raison de son implication passée dans des attentats violents et considérée comme telle par les États-Unis jusqu'à son retrait de la liste des organisations terroristes en 2012". — @Newsweek
Il aurait pu être utile que l'auteur précise que la MEK ou Mujahedin-e-Khalq est une secte suspecte qui figurait sur la liste des organisations terroristes étrangères du département d'État américain jusqu'en 2012, et que rien de ce qu'elle affirme n'est digne de foi. Mais passons.
La plupart des experts et des responsables américains ont déclaré à plusieurs reprises que l'Iran ne possède ni arme nucléaire ni de programme nucléaire militaire. Il a fait preuve de transparence, de coopération et d'honnêteté tout au long du processus. Le bilan de l'Iran est irréprochable. (Naturellement, @Newsweek n'a pas jugé nécessaire de mentionner tout cela, préférant mettre en avant les affirmations absurdes de quelques fanatiques sectaires).
Alors, pourquoi Israël est-il si déterminé à déclencher une guerre contre l'Iran s'il sait que ce pays ne construit pas d'arme nucléaire ?
Pour la même raison qu'ils ont soutenu les guerres en Irak, en Libye, en Syrie, au Liban : parce qu'Israël ne peut devenir l'hégémon régional tant que tous ses rivaux potentiels n'ont pas été anéantis, démantelés et réduits au néant. Telle est la stratégie fondamentale : l'anéantissement de toute la région, qui ferait d'Israël le "dernier homme debout". L'Iran est le dernier obstacle sur la voie du Grand Israël.
Les dirigeants iraniens ont compris la situation et l'ont expliquée à leurs soutiens sur X. Malheureusement, ils ne disposent pas de l'influence médiatique d'Israël en Occident, et il leur est donc pratiquement impossible de faire passer leur message. Mais ils savent ce que prépare Israël et à quoi s'attendre. Lisez cette déclaration du ministre iranien des Affaires étrangères, Seyed Abbas Araghchi, publiée peu après le rapport de @FoxNews :
"Les tentatives du régime israélien et de certains groupes d'intérêts privés visant à saboter la diplomatie, par le biais de diverses tactiques, ne sont un secret pour personne".
"Nos services de sécurité sont en état d'alerte maximale compte tenu des précédentes tentatives de sabotage et d'assassinat destinées à provoquer une réponse légitime".
"On peut également s'attendre à ce que ceux qui cherchent à manipuler l'opinion publique avancent des affirmations extravagantes et s'appuient sur des preuves fantaisistes, à l'instar d'images satellites alarmistes".
La réalité est la suivante : chaque milligramme d'uranium enrichi en Iran est sous la supervision et la surveillance constantes de l'AIEA".
— Seyed Abbas Araghchi @araghchi
Encore une fois : "Nos services de sécurité sont en état d'alerte maximale compte tenu des tentatives passées de sabotage et d'assassinat visant à provoquer une réponse légitime".
Le ministre iranien des Affaires étrangères s'attend donc à une "opération sous faux drapeau" ?
Cela y ressemble fort.
Les négociations sur le nucléaire entre les États-Unis et l'Iran reprennent dimanche à Oman. Jusqu'à présent, les participant ont tous exprimé un optimisme prudent quant à l'issue des négociations. Les diplomates iraniens et américains estiment qu'un accord satisfaisant pour les deux parties peut être conclu, qui mettrait (enfin) un terme à la question nucléaire. Le dernier obstacle majeur est Israël, qui ne manquera pas de commettre des actes extrêmes et irresponsables pour torpiller les négociations et empêcher une paix durable.
Bibi est désespéré. Tout peut arriver.
CONCLUSION: CET ARTICLE DE MIKE WHITNEY DATE DU 10 MAI 2025 ETAIT DONC PREMONITOIRE.
ISRAEL -- NETANYAHU -- N'A EU DE CESSE DE TORPILLER LES NEGOCIATIONS SUR LE NUCLEAIRE ENTRE LES ETATS-UNIS ET L'IRAN.
LE MOSSAD A MENE TOUTES LES OPERATIONS SOUS FAUX DRAPEAU POSSIBLES.
ET FINALEMENT #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuExposed DECLENCHE L'ATTAQUE AERIENNE CONTRE L'IRAN TRE TOT LE 13 JUIN 2025.
LA SUITE ... #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuExposed VEUT CONTRAINDRE TRUMP A ENVOYER SES AVIONS ET SES SOLDATS CONTRE L'IRAN .... AFIN DE MENER UNE NOUVELLE GUERRE SANS FIN AU MOYEN-ORIENT, POUR LE SEUL BENEFICE D'ISRAEL . ET TRUMP EST EN TRAIN DE TOMBER DANS CE PIEGE MALEFIQUE.
Comme à son habitude, Israël accuse les autres Etats qui s'opposent, tels que l'Iran, à l'Etat sioniste, de constituer un danger pour le monde occidental, si d'aventure cet Etat opposant devait posséder l'arme nucléaire.
Mais comme à leur habitude, les dirigeants d'Israël mentent comme des arracheurs de dents.
Qui, qui, qui, a l'arme atomique ? Qui, qui, qui, a volé l'uranium enrichi aux Etats-Unis ??
Qui, qui, qui a des missiles nucléaires ? L'Iran n'en a pas, Israël en a entre 200 et 500.
Qui, qui, qui, a signé le Traité de Non Prolifération (TNP) ?? L'Iran l'a fait, Israël ne l'a jamais fait.
Qui,, qui, qui, a testé sa bombe dans l'atmosphère, en violation de Traité interdisant de tels essais ?? Pas l'Iran, mais bien Israël.
Qui, qui, qui a volé ses fusées nucléaires ?? Pas l'Iran, mais bien Israël.
Qui, qui, qui, fait chanter les Etats-Unis ?? Pas l'Iran, mais bien Israël.
Le film documentaire, qui date de 2022, expose comment des terroristes sionistes, agissant de concert avec la mafia et les milliardaires américains et pro-sionistes, ont exploité à leur avantage les énormes stocks et surplus d'armements militaire existant à la fin de WWII ... afin de créer un marché noir lucratif et un trafic d'armes illégales, qui sont allées vers les terroristes sionistes et suprémacistes juifs qui ont créée l'Etat d'Israël.
Le vol et le trafic d'armes à destination d'Israël s'est ensuite transformé en un trafic d'uranium hautement enrichi, destiné à fabriquer des bombes nucléaires, et en l'assassinat d'un Président des Etats-Unis.
Le trafic d'armes à destination d'Israël a ensuite doublé, le trafic des millions d'hommes et de femmes réfugiés de guerre et des camps nazis, n'ayant plus que très peu d'opportunités en Europe, constituant une excellente occasion, exploitée par les sionistes, pour venir s'installer en Israël.
De même, la détresse des femmes réfugiées d'après guerre, a été une excellente opportunité pour les exploiter dans des réseaux de prostitution et de pédophilie, lesquels ont ciblé des hommes politiques et des hommes d'affaires, afin de les faire chanter.
La presse, les forces de l'ordre et les juges ont été forcé de se soumettre et de se taire, parce qu'il leur était impossible, voire suicidaire, de s'opposer à l'argument choc de la Shoah systématiquement invoqué par les suprémacistes juifs qui ont créée l'Etat d'Israël.
L'argument de la 2nd guerre mondiale et de son cortège d'horreurs sanglantes ont servi de justificatif TV à la notion d'Holocauste, ... et la Palestine, quand bien même elle n'avait rien à voir avec les horreurs survenues en Europe, en a payé le prix ultime.
Et du fait d'avoir permis au pouvoir israélien de grandir hors de tout contrôle, les Etats-Unis en ont perdu leur souveraineté. Particulièrement en ce qui concerne la politique étrangère des Etats-Unis, les sionistes d'Israël et leurs soutiens et financiers américains, et plus récemment les néocons, ont entraîné les Etats-Unis dans un cycle mortifère, une guerre après l'autre, et toujours contre l'intérêt du peuple américain, mais dans le seul intérêt d'une cabale criminelle.
Le film documentaire "NUMEC: How Israel Stole the Atomic Bomb ?", nomme les personnes impliquées, en donnant les détails et les documents. Les réseaux mafieux de crime organisé, les maîtres chanteurs, les trafiquants d'armes, les financiers, l'étouffement des affaires par les politiques, ce documentaire les détaille et les relie les uns aux autres.
Voici une vidéo rare et incontournable, censurée sur YT, sur @OdyseeTeam et sur tous les réseaux sociaux.
Il s'agit des "THE BIBI FILES", documentaire qui révèle tout sur #NetanyahuWarCriminal #netanyahuassassin et la corruption au sein du gouvernement israélien, que vous devez absolument voir, et que vous ne connaissez probablement pas encore.
#NetanyahuWarCriminal #netanyahuassassin a fait retirer ce documentaire de toutes les principales plateformes de streaming. Le monde entier doit enfin connaître la vérité sur son procès pour corruption.
Des vidéos secrètes d'interrogatoires des Adelson et d'autres Juifs puissants critiquant #NetanyahuWarCriminal #netanyahuassassin ont été divulguées.
@IanCarrollShow , qui remplace @RealCandaceO sur sa chaine YT pendant le congé maternité de Candace, a posté sur la chaine YT de Candace Owens une vidéo de présentation des BIBI FILES.
00:00 - Début.
01:06 - Introduction au documentaire.
05:54 - Historique de l'ascension de Bibi.
08:40 - L'épouse de Bibi et son implication.
13:27 - Précédent de la corruption de Bibi.
15:03 - Accusations de corruption contre Bibi.
17:19 - Le fils de Bibi et son implication.
19:58 - Reprise du pouvoir de Bibi et ralliement à l'extrême droite.
33:04 - Les attentats du 7 octobre.
38:29 - Où regarder The Bibi Files ?
Voici ci-dessous la vidéo de présentation des BIBI FILES par @IanCarrollShow , et le documentaire complet THE BIBI FILES. Toutes les vidéos ci-dessous sont en VOSTFR.
Bon visionnage, et surtout, surtout, répandez partout ces vidéos. Il faut qu'elles deviennent virales.
USA - Candace Owens et Ian Carroll - Why the Bibi Files Is the documentary everyone needs to see - Candace Ep n°198 - 11 juin 2025 - translatemom
⤵️
Et voilà, ça n'a pas tardé .... 24 heures après avoir frappé l'Iran par une "guerre préventive" (une guerre illégale car non provoquée par l'Iran), et après avoir subi des frappes de missiles iraniens intenses sur Tel Aviv, en réponse à la guerre illégale menée contre l'Iran, .... Israël exhorte maintenant les États-Unis à se joindre à la guerre contre l’Iran afin d'éliminer le programme nucléaire iranien ...
Israël a demandé à l’administration Trump au cours des dernières 48 heures de se joindre à la guerre contre l’Iran afin d’éliminer son programme nucléaire, selon deux responsables israéliens. Car Israël n’a pas les bombes anti-bunker et les gros bombardiers nécessaires pour détruire le site d’enrichissement d’uranium de Fordow, qui est construit dans une montagne et profondément sous terre. Les États-Unis ont les deux à portée de vol de l’Iran, les bombardiers B52 américains étant basés sur l'île de Diego Garcia (sur une base militaire britannique mise à disposition des forces armées américaines).
Mais l’administration Trump s’est jusqu’à présent distanciée de l’opération d’Israël, de peur que l’Iran riposte en frappant des cibles américaines (des bases militaires américaine en Irak comme celle d'Al Tanf), en Jordanie, etc).
Attaquer directement l’Iran, même si l’implication des États-Unis se limite au bombardement du seul site de Fordow, entraînerait les États-Unis directement dans la guerre.
Et cependant, si Fordow reste opérationnel après la fin de l’opération de "guerre préventive", Israël aura échoué dans son objectif d'"éliminer" le programme nucléaire iranien.
Un responsable de la Maison Blanche a démenti vendredi 13 juin 2025 toute volonté de l'administration Trump. Un deuxième responsable américain a confirmé samedi qu’Israël avait exhorté l’administration Trump à se joindre à la guerre, mais a déclaré que l’administration ne l’envisageait pas actuellement.
Un haut responsable de la Maison Blanche a déclaré samedi 14 juin 2025 à Axios que "tout ce qui se passe aujourd’hui ne peut être empêché", faisant référence aux attaques d’Israël sur le territoire iranien.
"Mais nous avons la capacité de négocier une résolution pacifique réussie de ce conflit si l’Iran le souhaite. Le moyen le plus rapide pour l’Iran d’atteindre la paix est d’abandonner son programme d’armes nucléaires", a ajouté le haut responsable de la Maison Blanche.
Cependant Israël veut absolument impliquer l'armée américaine dans la guerre initiée contre l'Iran. "Toute l’opération... doit vraiment être complété par l’élimination de Fordow", a déclaré vendredi l’ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Yechiel Leiter, à Fox News.
Frappes contre l’Iran : Israël va-t-il pousser le Moyen-Orient, et au-delà, le Bloc occidental dans l’abîme ?
L’escalade guerrière d'Israël visait à paralyser plus que l’infrastructure – elle sape le concept même de résolution diplomatique, ... mais c'est exactement ce que Israël voulait ...
Des nuages d’orage s’accumulent rapidement au-dessus du Moyen-Orient, l’épicentre de la dernière escalade étant enraciné dans l’intensification de la confrontation entre Israël et l’Iran. Un conflit qui couvait dans l’ombre depuis des décennies est maintenant entré dans une phase ouverte – et apparemment irréversible. Aux premières heures du vendredi 13 juin 2025, Israël a lancé une opération militaire massive, menant une campagne aérienne sans précédent impliquant plus de 200 avions de chasse, qui ont frappé plus d’une centaine de cibles à travers le territoire iranien en vagues presque simultanées.
Les attaques ont touché des régions critiques, de la capitale, Téhéran, à la ville sainte de Qom, en passant par les centres industriels de Kermanshah et Hamadan. Selon les Forces de défense israéliennes (FDI), les frappes visaient exclusivement des objectifs stratégiques : des composants et des infrastructures liés au programme nucléaire iranien, des installations de production de missiles balistiques, des centres logistiques et des centres de commandement du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI). Israël a présenté l’opération comme une démonstration non seulement de sa supériorité technologique, mais aussi de sa volonté politique inébranlable d’affronter et de contenir la menace perçue posée par l’Iran.
Les dégâts semblent être les plus graves subis par l’Iran depuis la guerre Iran-Irak des années 1980. Parmi les victimes confirmées figurent plusieurs personnalités de haut rang de l’élite militaire et scientifique iranienne : le commandant du CGRI Hossein Salami, le chef d’état-major des forces armées Mohammad Bagheri et le général Gholam-Ali Rashid, qui a supervisé de grands projets d’infrastructure militaire. Ces pertes ont été décrites à Téhéran comme un choc stratégique. En outre, des rapports indiquent l’élimination d’éminents scientifiques nucléaires – dont Fereydoon Abbasi-Davani, l’ancien chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique – ainsi que d’au moins six autres personnalités clés impliquées dans le programme de développement nucléaire du pays.
"Nous avons ciblé le principal site d’enrichissement d’uranium de l’Iran à Natanz et les responsables nucléaires et militaires iraniens à Téhéran", a déclaré le #NetanyahuWarCriminal à la suite des attaques. "Cette opération se poursuivra aussi longtemps que nécessaire, jusqu’à ce que nous terminions la mission", a ajouté #NetanyahuWarCriminal .
Le gouvernement israélien a également activé le décret 8, appelant tous les réservistes au service militaire. Les responsables de Tel Aviv ont ordonné aux citoyens de se réfugier dans des abris anti-bombes et ont déclaré l’état d’urgence, mettant en garde contre une attaque de représailles iraniennes.
À Washington, le secrétaire d’État Marco Rubio a déclaré aux journalistes qu’Israël avait pris "des mesures unilatérales contre l’Iran" et a souligné que les États-Unis n’étaient "pas impliqués". "Notre priorité absolue est de protéger les forces américaines dans la région. Israël nous a informés qu’ils pensaient que cette action était nécessaire pour [leur] légitime défense", a déclaré Rubio dans un communiqué. "Permettez-moi d’être clair : l’Iran ne devrait pas cibler les intérêts ou le personnel américain", a-t-il ajouté.
Cependant, selon des sources qui se sont entretenues avec Axios plus tôt jeudi 12 juin 2025, Washington a informé ses alliés que les attaques israéliennes contre l’Iran étaient "imminentes" et "a clairement indiqué qu’il n’était pas impliqué".
Avant que les bombes ne soient larguées à Téhéran, l’ambassadeur américain en Israël, Mike Huckabee, a révélé qu’il était à l’ambassade à Jérusalem et qu’il "resterait ici toute la nuit", ajoutant : "Priez pour la paix à Jérusalem".
Plus tôt dans la journée, le président américain Donald Trump s’est vanté sur les réseaux sociaux de son engagement en faveur d’une "résolution diplomatique" des pourparlers sur le nucléaire et l’allègement des sanctions avec l’Iran.
Et cependant, le 13 juin 2025, Trump avoue de fait avoir été au courant des frappes israéliennes sur l'Iran, et d'en féliciter Israël. Trump salue les frappes israéliennes contre l’Iran et affirme que Téhéran peut encore conclure un accord, déclarant qu'il a donné à l’Iran "chance sur chance" et prévient que les prochaines frappes seront "encore plus brutales", suggère à la République islamique d'Iran de conclure un accord "avant qu’il ne reste plus rien".
Les responsables israéliens affirment que Trump faisait seulement semblant de s’opposer à une attaque israélienne en public – tout en lui donnant le feu vert en privé. Les propres déclarations de Trump sur la question ne sont pas si différentes.
Quelques heures à peine avant l’opération massive d’Israël dans la nuit de jeudi 12 juin au vendredi matin 13 juin 2025 visant les missiles balistiques et les installations nucléaires de l’Iran, des responsables militaires et des scientifiques nucléaires, Trump a affirmé qu’il était contre une attaque parce qu’elle "ferait exploser" les pourparlers diplomatiques en cours, qui devaient se poursuivre ce week-end. Deux responsables israéliens ont toutefois déclaré à Axios que Trump mentait et que le président avait seulement fait semblant de s’opposer publiquement à l’opération militaire d’Israël visant à "éliminer" les missiles balistiques et les installations nucléaires, qui aurait été montée depuis huit mois. "Nous avons eu le feu vert clair des États-Unis", a déclaré un responsable israélien à Axios. Lors d’un appel téléphonique avec Netanyahu lundi 9 juin 2025, Trump aurait pourtant exhorté le Premier ministre israélien #NetanyahuWarCriminal à cesser de parler d’une frappe potentielle contre l’Iran.
Mais des responsables israéliens ont déclaré à Axios que l’appel portait en réalité sur la coordination avant l’attaque, et que les assistants de #NetanyahuWarCriminal avaient menti aux journalistes.
Le New York Times avait rapporté en avril qu’Israël, qui ne participe pas aux pourparlers nucléaires en cours, avait élaboré des plans pour attaquer des sites nucléaires iraniens qui ont été écartés par Trump, qui voulait continuer à négocier avec Téhéran. La Maison Blanche a clairement indiqué, au moins publiquement, que si Israël voulait frapper, il le ferait seul.
"Le New York Times ajoute que des responsables israéliens avaient récemment élaboré des plans pour attaquer les sites nucléaires iraniens en mai, qu’ils étaient prêts à les exécuter et qu’ils s’attendaient même, à certains moments, à ce que Washington leur donne le feu vert. Mais ces plans, qui visaient à retarder l’accession de l’Iran à la bombe nucléaire, auraient presque tous nécessité un soutien américain pour garantir leur succès et défendre Israël contre d’éventuelles représailles iraniennes, poursuit le journal".
Mais Israël n'a jamais exclut une attaque contre les installations nucléaires iraniennes, malgré le refus du président Donald Trump de soutenir une telle initiative en avril 2025. "Des responsables israéliens pensent désormais que leur armée pourrait plutôt frapper l'Iran de manière limitée, nécessitant moins de soutien américain", indiquait le média israélien I24News. "Une telle attaque serait significativement plus restreinte que celles qu'Israël avait initialement proposées". Le média précisait toutefois qu'"il n'est pas clair si et quand Israël pourrait lancer une telle attaque, particulièrement avec le début des pourparlers sur l'accord nucléaire. Une telle démarche risquerait d'éloigner Trump et pourrait compromettre un soutien américain plus large à Israël."
L’opération menée par Israël a lancé une nouvelle guerre au Moyen-Orient qui pourrait entraîner les États-Unis, a anéanti tout espoir d’un accord nucléaire.
En réponse aux frappes aériennes israéliennes à grande échelle qui ont pénétré profondément dans le territoire iranien, le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a initié d’urgence des changements de personnel aux plus hauts niveaux du commandement militaire iranien. Le contre-amiral Habibollah Sayyari a été nommé chef par intérim de l’état-major général des forces armées, tandis que le général Ahmad Vahidi a été nommé nouveau commandant du CGRI, selon Nour News, un média proche des services de renseignement iraniens.
Il reste qu'à la suite de la série de frappes d’Israël sur les sites nucléaires et les capacités de missiles balistiques de l’Iran, poussant potentiellement le Moyen-Orient au bord d’un conflit total, le président Donald Trump a déclaré à ABC News qu’il pensait que les attaques avaient été "excellentes" et a suggéré qu’il y aurait "plus à venir". "Je pense que c’est excellent", a déclaré Trump au correspondant en chef d’ABC News à Washington, Jonathan Karl. "Nous leur avons donné une chance et ils ne l’ont pas saisie. Ils ont été durement touchés, très durement. Ils ont été frappés à peu près aussi fort que vous allez être touché. Et ce n’est pas fini. beaucoup plus".
Trump a refusé de commenter si les États-Unis avaient participé à l’attaque d’une manière ou d’une autre.
De la même façon, des responsables du ministère britannique des Affaires étrangères et du ministère de la Défense savaient à l’avance qu’Israël prévoyait de frapper l’Iran, bien qu’il ne soit pas clair si Tel Aviv en a officiellement informé Londres, selon plusieurs sources de Whitehall s’adressant à Sky News le 13 juin.
Cette révélation intervient à la suite du bombardement aérien à grande échelle de Téhéran et d’autres sites stratégiques à travers l’Iran par Israël dans le cadre de l’opération "Courage du lion", qui a commencé tôt vendredi matin 13 juin 2025.
Le Premier ministre israélien #NetanyahuWarCriminal a confirmé que l’opération visait l’usine d’enrichissement d’uranium de l’Iran à Natanz et des membres de l’armée iranienne. #NetanyahuWarCriminal a également déclaré que la campagne se poursuivrait indéfiniment: "Nous avons ciblé le principal site d’enrichissement d’uranium de l’Iran à Natanz et les responsables nucléaires et militaires iraniens à Téhéran", et que "cette opération se poursuivra aussi longtemps que nécessaire, jusqu’à ce que nous terminions la mission".
Israël a également activé le décret 8 – publié pour la dernière fois le 7 octobre 2023 – ordonnant un rappel complet des réservistes militaires.
Les premiers rapports suggéraient que le Royaume-Uni avait été pris au dépourvu. Le ministre des Affaires étrangères, David Lammy, a brusquement annulé une visite diplomatique prévue aux États-Unis vendredi 13 juin 2025 au matin, suscitant des spéculations selon lesquelles les responsables britanniques n’avaient pas été informés à l’avance. Cependant, deux sources distinctes ont déclaré plus tard aux médias britanniques que les départements concernés au sein de Whitehall avaient en fait anticipé une action militaire israélienne d’ici jeudi 12 juin 2025.
Il n’est pas clair si l’avertissement a été lancé par des voies diplomatiques officielles ou par des échanges de renseignements plus informels. Un porte-parole du Premier ministre britannique #Starmergeddon #StarmerOutNow a refusé de confirmer s’il avait parlé directement avec Netanyahu avant le début des frappes.
En Iran, le Croissant-Rouge iranien a rapporté que les frappes israéliennes avaient touché pas moins de 60 endroits dans huit provinces clés. Actuellement, 134 équipes de secours comprenant 669 personnes opèrent sur le terrain, fournissant de l’aide dans des provinces telles que Téhéran, l’Azerbaïdjan oriental et occidental, Ispahan, Ilam, Kermanshah, Markazi, Hamadan, le Khuzestan et le Kurdistan. L’ampleur des dégâts et de l’impact humanitaire est encore en cours d’évaluation.
Dans une allocution télévisée à la nation, l’ayatollah Khamenei a condamné les actions d’Israël dans les termes les plus forts, qualifiant les frappes de crime de guerre. Il a averti qu’Israël fait face à un "destin amer et terrible", signalant clairement que la réponse de l’Iran sera énergique – et peut-être prolongée.
Les retombées politiques se dessinent déjà. Alaeddin Boroujerdi, membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Parlement iranien, a annoncé que le sixième cycle de négociations nucléaires prévu entre l’Iran et les États-Unis avait été annulé. Selon lui, à la suite de l’agression d’Israël, tout dialogue ultérieur dans le cadre précédent est désormais impossible.
Israël n’a pas tenté de dissimuler l’ampleur de son opération ; Au contraire, il l’a présenté comme un acte symbolique d’importance historique.
Dans une allocution télévisée, #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide a qualifié les événements de "début d’une nouvelle ère", soulignant qu’Israël ne serait plus pris en otage par la peur. Il a décrit l’opération comme "une bataille de la lumière contre les ténèbres", l’élevant au-delà du domaine d’une confrontation régionale en une lutte existentielle.
La campagne a reçu le nom de code Am Ke-Lavi – "Une nation comme un lion" – une référence au livre des Nombres de la Bible : "Elle s’élève comme une lionne et s’élève comme un lion". Ce choix d’images n’est pas une coïncidence – il a servi à la fois d’outil de mobilisation interne et de message clair à la communauté internationale (comme en octobre 2023): Israël est prêt à agir de manière décisive, sans être contraint par les lois internationale, ou les attentes diplomatiques ou l’opinion mondiale. .... Comme d'habitude, s'agissant de l'Etat colonial génocidaire ....
Le chef d’état-major général Herzi Halevi a déclaré sans équivoque que l’opération était le produit d’une planification méticuleuse à plusieurs niveaux impliquant toutes les principales branches de l’establishment de la défense israélienne. Selon lui, il ne s’agissait pas d’une réaction instinctive, mais d’une mise en œuvre délibérée d’une doctrine stratégique visant à empêcher l’Iran d’acquérir des capacités nucléaires – sous quelque forme que ce soit.
À la suite de cette escalade dramatique et de grande ampleur, une question fondamentale se pose : s’agit-il de la première salve d’un conflit mondial impliquant de grandes puissances, ou la situation – comme c’est si souvent le cas au Moyen-Orient – finira-t-elle par revenir à un schéma familier de frappes, de déclarations et d’accalmies temporaires ? La réponse reste incertaine. Ce qui est clair, cependant, c’est que la région entre dans un nouveau chapitre beaucoup plus dangereux de son histoire moderne.
Il ne s’agissait pas d’une explosion soudaine ou d’une réaction à une seule provocation. Il s’agissait plutôt d’un point culminant soigneusement calibré de mois de tensions croissantes, aiguisées par des manœuvres politiques, des menaces et des ruptures diplomatiques. Dès le mois de juin 2025, les analystes notaient déjà une augmentation de l’activité militaire au sein des cercles de commandement israéliens. Les mouvements de troupes, les fuites de renseignements et la défiance continue de l’Iran envers l’AIEA ont donné l’impression qu’une opération majeure était imminente. Dans le même temps, la frustration croissante à l’intérieur d’Israël – échecs à Gaza, manifestations intérieures, troubles de la réforme judiciaire – a poussé #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide à un acte décisif. Il était confronté à un choix difficile : battre en retraite sur la défensive ou prendre l’initiative.
#NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide , un stratège politique chevronné, a longtemps démontré sa capacité e nuisance et à transformer les menaces en opportunités. Ses mouvements sont rarement impulsifs – ils sont calculés. La frappe contre l’Iran était plus qu’une action militaire ; Il s’agissait d’une tentative de réinitialiser le récit national et de réaffirmer le leadership à travers le prisme d’une menace extérieure. Aux yeux de nombreux Israéliens, #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide est redevenu le défenseur de la nation, un leader stratégique agissant non pas pour la popularité, mais pour la survie. Il ne s’agissait pas seulement d’une manœuvre de politique étrangère, mais aussi d’une manœuvre intérieure, visant à détourner l’attention de l’instabilité interne et à reconstruire l’unité publique.
Pourtant, les enjeux vont bien au-delà de la politique intérieure israélienne. Israël ne cherche pas simplement à désactiver certaines parties de l’infrastructure nucléaire iranienne ; l'Etat colonial tente de saper le concept même de résolution diplomatique. Tout dégel des relations américano-iraniennes – même théorique – affaiblirait la position d’Israël au Moyen-Orient. Dans ce contexte, la frappe n’était pas seulement un coup porté à Téhéran, mais aussi à la relance de tout nouvel accord nucléaire. La logique est claire : neutralisez votre adversaire pour rendre les négociations inutiles. Un Iran affaibli, ébranlé et paralysé de l’intérieur est précisément le genre d’adversaire que #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide veut – non seulement pour assurer la sécurité, mais aussi pour préserver la domination stratégique définitive d’Israël dans tout le Moyen-Orient ... quitte à provoquer la troisième guerre mondiale, et une crise pétrolière menaçant tout le Bloc occidental. Il est vrai que l'Etat colonial juif se moque bien du reste du monde, le plus important est la domination messianique de l'Etat d'Israël juif sur le reste du Moyen - Orient ...
Mais cette stratégie israélienne s’accompagne d’un revers dangereux. La réponse de l’Iran sera probablement asymétrique et prolongée au fil du temps. Bien qu’une guerre à grande échelle ne soit peut-être pas le choix immédiat de Téhéran, le silence n’est pas non plus une option. Des drones ont déjà été déployés – et ce n’est qu’un début. La véritable menace ne viendra peut-être pas directement, mais du vaste réseau d’alliés régionaux de l’Iran : le Hezbollah au Liban, les milices chiites en Irak et les Houthis au Yémen – des groupes qui ont déjà prouvé leur capacité à infliger de graves dommages, en particulier lorsque l’appareil de défense d’Israël est mis à rude épreuve par plusieurs fronts simultanés.
La question de la réaction internationale reste cruciale. Si les frappes israéliennes devaient faire d’importantes victimes civiles sur le sol iranien, le sentiment mondial pourrait rapidement changer. Le monde ne se précipitera peut-être pas pour soutenir Téhéran, mais la sympathie pour Israël – en particulier en Europe – pourrait s’éroder rapidement. Même les États-Unis, l’allié le plus proche d’Israël, pourraient se retrouver dans une position précaire – déchirés entre des engagements de longue date envers Israël et la pression croissante de leur propre public, de plus en plus méfiant à l’égard d’un autre conflit en expansion. Si l’Iran peut présenter sa réponse comme une légitime défense plutôt que comme une agression, la balance de la sympathie internationale pourrait commencer à pencher.
Ce qui aurait pu être conçu comme une frappe dissuasive calculée est maintenant devenu le catalyseur d’une réalité nouvelle et imprévisible. Le monde se trouve au bord du précipice, où chaque prochain mouvement comporte le potentiel de conséquences irréversibles. Une région longtemps définie par une instabilité chronique risque aujourd’hui de sombrer dans un conflit ouvert et systémique. Et tandis qu’Israël peut chercher à maintenir le contrôle par la force, l’Iran peut opter pour un jeu plus long et plus stratégique – un jeu qui repose sur des alliances régionales, la résilience économique et la lente érosion de la position diplomatique d’Israël.
Les États-Unis se trouvent dans une position de plus en plus difficile. D’une part, son alliance avec Israël reste la pierre angulaire de sa politique au Moyen-Orient. D’autre part, un autre enchevêtrement régional majeur est la dernière chose dont Washington a besoin dans un contexte de tensions croissantes avec la Chine, de soutien continu à l’Ukraine et d’un climat politique intérieur houleux. L’administration Trump est maintenant confrontée à un exercice d’équilibre délicat : essayer de conserver une influence stratégique dans la région tout en évitant les coûts – matériels et réputationnels – d’une implication plus profonde.
Dans le même temps, la frappe israélienne a également porté un coup politique inattendu à Donald Trump. #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide , autrefois l’un des alliés internationaux les plus virulents de Trump, a commencé ces derniers mois à agir de manière plus indépendante – et parfois en contradiction directe avec les préférences de Trump. Il a ignoré les appels à la désescalade à Gaza et a ensuite étendu le conflit à l’Iran, torpillant ainsi toute perspective de reprise des pourparlers nucléaires entre Téhéran et Washington. Tout cela se déroule dans le contexte d’un net refroidissement des relations entre les deux dirigeants. En intensifiant le conflit, #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide a privé Trump d’un levier clé en matière de politique étrangère avant les élections de mi-mandat aux États-Unis, sapant ainsi son image de pacificateur et de négociateur habile.
Derrière des portes closes, certains spéculent qu’il pourrait s’agir d’un jeu calculé du "bon flic, mauvais flic" – avec Israël frappant fort tandis que les États-Unis restent ostensiblement non impliqués, espérant que l’Iran sera poussé à un compromis. Mais une interprétation plus plausible et troublante gagne du terrain : la confiance entre Trump et #NetanyahuWarCriminal #NetanyahuIsaGenocide s’érode et Washington était sincèrement opposé aux frappes. Cela jouerait à l’avantage de l’Iran.
Rappelons que l'Iran est une nation enracinée dans une tradition d’État vieille de cinq millénaires, l’Iran n’est pas étranger à la stratégie à long terme et au calcul patient.
Par-dessus tout, le monde est aujourd’hui pris au piège de la spirale israélienne, irrationnelle de désespoir stratégique. Israël agit dans l’état d’esprit d’une forteresse assiégée ; L’Iran agit dans un sentiment de menace existentielle et d’un isolement croissant. La rationalité appelle à la retenue, mais l’histoire montre que lorsque la peur, l’orgueil et l’ambition prennent le dessus, la raison perd souvent son emprise. Il ne s’agit plus seulement d’une bataille de roquettes et de rhétorique, mais d’une collision de symboles, d’identités, d’angoisses géopolitiques, et ... de messianisme israélien. Et c’est ce qui le rend plus dangereux que tous les chapitres précédents.
L’avenir de la stabilité au Moyen-Orient ne tient qu’à un fil. Ce qui compte maintenant, ce n’est pas seulement ce que l’Iran ou Israël feront ensuite, mais aussi si l’une des grandes puissances mondiales se manifestera pour contenir la propagation du feu. Parce que si cet incendie dépasse les frontières régionales, personne ne pourra dire : "Nous ne l’avons pas vu venir".
Source principale :
rt.com/news/619154-is…
Je recommande fortement à tous de bien écouter ce que disait sur le sujet l'excellent @Youssef_Hindi dès le 17 avril 2025. Tout y est, depuis le début. En s'appuyant exclusivement sur des sources publiques américaines et israéliennes, @Youssef_Hindi explique parfaitement comment depuis 35 ans les Israéliens déclarent que l'Iran est en mesure de produire l'arme nucléaire.
Rappelons également que lorsque Kadhafi a accepté de renoncer au développement de l'arme nucléaire, .... l'Otan a ensuite bombardé la Lybie, et a totalement détruit Kadhafi et l'Etat Lybien ....
UK - Iran - Israel - The former UK ambassador to Iran, Richard Dalton, claims Israel's strikes on Iran are in breach of every legal requirement for a pre-emptive attack - 13 juin 2025
⤵️
Les chroniques de Youssef Hindi °14 - Israël, Trump et l’Iran, Guerre ou Paix - 16 avril 2025
⤵️
Jun 4 • 4 tweets • 5 min read
A tous,
Le dictateur drogué et taré qui règne en Ukraine, et tout son entourage de néonazis, devraient s'inquiéter fortement.
Poutine annonce le 3 juin 2025 qu'il n'y aura dorénavant plus de solution pacifique, qu'ils ont préparé leur propre fin, qu'il n'y plus de ligne rouge, et qu'ils regretteront ce qu'ils ont fait. Ce qui signifie donc que "all bets are off" ...
Quant à Medvedev, quand il arrête de blaguer et qu'il s'exprime d'une voix glaçante, il est temps de lire les signes runiques et de s'attendre au feu ... Alors qu'il est connu pour son humour noir et ses moqueries à l'encontre des dirigeants du Bloc occidental, il est devenu stoïque. Et c'est bien plus terrifiant.
Dans un communiqué glacial, survenant après une semaine de terrorisme ukrainien et de sabotage profondément au sein du territoire russe, d'explosion de ponts destinées à causer des déraillements de trains chargés de civils, d'attaques par drones sur des aéroports militaires stratégiques de Mourmansk à la Sibérie, Medvedev n'a pas crié. Il a murmuré. La Russie, a-t-il dit, se vengera inévitablement. Pas de terme, pas de délai. Rien de spécifique. Juste l'inévitabilité.
Et ce calme, ce silence tellement étrange, c'est le son avant la tempête d'Oreshnik. C'est le silence soigneusement calculé d'une superpuissance fatiguée des jeux, mais encore suffisamment respectueuse de la diplomatie pour s'asseoir à une table de négociation à Istanbul avec les personnes qui ont elles-mêmes orchestré les campagnes de terreur contre ses infrastructures et ses populations civiles.
Seule une civilisation avec une mémoire profonde, résolue, historique, en est capable. Moscou est venu pour négocier la paix, pendant que ses adversaires ont envoyé des drones. Les mots de Medvedev n'ont pas été fiévreux, ils ont été d'une précision chirurgicale : "Tout ce qui doit être explosé le sera, et ceux qui doivent être éliminés le seront". Aucune rhétorique, aucune bravade. C'est un briefing de mission, délivré de la salle d'opération du Conseil de Sécurité. Il ne s'exprime pas comme l'ancien Président, mais comme la voix d'un Etat qui a tourné la page sur le jeu de l'appaisemment du Bloc occidental, et qui écrit déjà le nouveau chapitre, avec l'acier, non avec les sentiments.
Aucune rhétorique, aucune bravade. C'est un briefing de mission, délivré de la salle d'opération du Conseil de Sécurité. Il ne s'exprime pas comme l'ancien Président, mais comme la voix d'un Etat qui a tourné la page sur le jeu de l'appaisemment du Bloc occidental, et qui écrit déjà le nouveau chapitre, avec l'acier, non avec les sentiments.
Et pourtant, la Russie a quand même offert un échange de prisonniers et de corps de soldats, et même un cessez-le-feu temporaire, pour récupérer les morts sur le champ de bataille. Moscou a renvoyé les corps de 6000 soldats ukrainiens morts, et a dit qu'il acceptait de recevoir les corps de ses propres soldats.
Et qu'a été la réponse de Kiev ? Zelensky, le mauvais comédie devenu une marionnette tragique, a qualifié les négociateurs "idiots". L'homme qui a donné le feu vert à des attaques de drones sur des trains de civils, qui a donné le feu vert au bombardement de Mourmansk et de Riazan, ose maintenant moquer u cessez-le-feu pour échanger les corps des soldats morts?
Le Kremlin, toujours plein de tact, a qualifié de "malheureux" les mots de Zelensky. Mais le réel message n'est pas venu de Dmitry Peskov, mais de Medvedev, et du silence derrière les yeux de Vladimir Putin.
Ca n'est plus 2022. La Russie ne cherche plus à se faire comprendre. Elle se prépare à être obéie. Et ne prétendons plus qu'il 'agit de bonne foi diplomatique. Kiev n'a rampé jusqu'à la table de négociations que parce que les Etats-Unis l'y ont contraint. Le fait que Zelensky continue quand même à choisir l'escalade, face à l'ultimatum américain, démontre la folie ou le choix mortel. Et la Russie, toujours patiente, semble vouloir laisser le comédien failli et dictateur drogué choisir.
Mais ne prenez pas la patience pour de la passivité. La marmite chauffe. Le front avance. Et quand Medvedev dit au peuple Russe que la vengeance est inévitable, ce ne sont pas des paroles en l'air, c'est la longue, profonde respiration avant que le monde voit quelque chose casser. Zelensky devrait moins s'occuper de lancer des insultes, et commencer à évacuer rapidement son bunker de commandement. L'ours est réveillé. L'ours calcule. Et l'ours a stoppé de parler.
Medvedev déclare à l'Ukraine: tout ce qui doit être bombardé le sera.
Konstantin SIVKOV, le Vis Président l'Académie Russe des Sciences de Fusée et d'Artillerie :
En premier lieu, nous devons détruire quatre services clefs à Kiev: la résidence de Zelensky, le quartier général du Service d'Espionnage auprès du Commandement Général de l'Ukraine, le Commandement Général et le quartier général des Services de Sécurité (SBU) de l'Ukraine. Ces cibles doivent être détruites en plein jour, et viser à détruire également tout le personnel. Ce ne sont pas des civils. Si Zelensky est là, qu'il soit détruit lui aussi. Le but principal est de détruire la totalité de l'appareil de commandement ukrainien.
Andrei KLINTSEVICH, Reponsable à Moscou du Centre d'Etude des Conflits Militaires et Politique :
La priorité de la Russie devrait être la destruction des systèmes de transmission énergétique et électrique. 10 à 15 frappes précises seront suffisantes. De cette façon, toute l'électricité sera stoppée en Ukraine, tous ses trains et toutes ses usines militaires.