Bocquet Annelise 🔬🧬📚🚜 Profile picture
Docteur en Biologie Santé, enseignante d'hématologie/immunologie. En Science, on ne peut rien affirmer mais on peut tout discuter.
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Nov 4 ‱ 4 tweets ‱ 12 min read
Non rien... j'avais déjà émis des réserves sur l'IVM dans le traitement anti-cancer dans le cadre des Spikeopathies.

Et pour cause... accrochez-vous... on va faire de la science. Toujours dans le cadre des Spikeopathies.

Déjà, j'avais émis des doutes quant à l'innocuité de l'ivermectine dans le contexte des Spikeopathies du fait de la diminution de la PGP. Je rappelle que l'ivermectine a des effets sur le systÚme nerveux central et que, si la PGP est impactée, il peut y avoir une ouverture de la barriÚre hémato-encéphalique, ce qui peut accroßtre les effets de l'ivermectine sur les neurones.
x.com/AnneliseBocque

x.com/AnneliseBocque


Une des propriétés cancérigÚnes de la Spike peut provenir des dégùts qu'elle entraßne sur le génome. Or, la Spike est munie d'un signal de translocation nucléaire (NLS), ce qui lui permettrait de passer du cytoplasme au noyau d'une cellule via l'importine.
x.com/AnneliseBocque

nature.com/articles/s4155

oncotarget.com/article/28582/


L'ivermectine bloque l'importine alpha et, donc, peut inhiber la translocation de la Spike du cytoplasme vers le noyau ?

Il faut commencer par expliquer le rĂŽle de l'importine alpha/bĂȘta dans la translocation nuclĂ©aire. L'importine alpha/bĂȘta est un complexe qui facilite le transport de protĂ©ines contenant un signal de localisation nuclĂ©aire (NLS) du cytoplasme vers le noyau Ă  travers le complexe de pore nuclĂ©aire (NPC). L'importine alpha reconnaĂźt le NLS des protĂ©ines cibles, tandis que l'importine bĂȘta permet le passage Ă  travers le NPC.

Ivermectine et inhibition de l'importine alpha :
Une étude publiée en 2012 (Wagstaff et al.)
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22417684/
a dĂ©montrĂ© que l'ivermectine peut inhiber spĂ©cifiquement l'importine alpha/bĂȘta et donc la translocation nuclĂ©aire. Cette inhibition se produit en se liant Ă  la poche de liaison au NLS de l'importine alpha, empĂȘchant ainsi la reconnaissance et le transport de protĂ©ines contenant un NLS classique (comme celui de SV40 large T-antigen ou potentiellement d'autres protĂ©ines similaires).
On retrouve lĂ  les propos du Dr. Kevin MacKernan, @Kevin_McKernan, et c'est congruant.

Le NLS de la protéine Spike de SARS-CoV-2 :
Une étude de 2021 a identifié une séquence NLS unique "PRRARSV" dans la protéine Spike de SARS-CoV-2, due à une insertion génomique. Cette séquence pourrait théoriquement permettre à la protéine Spike de se transloquer dans le noyau, bien que cela soit rare pour une glycoprotéine de surface, qui est principalement localisée à la membrane cellulaire via la voie ER-Golgi.
Mais bon, la Spike pourrait se comporter bien différemment d'une protéine membranaire normale...

Bref !
Puisque l'ivermectine inhibe l'importine alpha, elle pourrait potentiellement interfĂ©rer avec la translocation nuclĂ©aire de la protĂ©ine Spike si cette derniĂšre utilise effectivement un mĂ©canisme dĂ©pendant de l'importine alpha/bĂȘta pour entrer dans le noyau. L'Ă©tude de 2012 montre que l'ivermectine bloque le transport de protĂ©ines comme l'intĂ©grase du VIH-1 et la NS5 du virus de la dengue, qui dĂ©pendent de ce systĂšme.

Cependant, il n'existe pas encore de preuve expérimentale directe et concluante démontrant que l'ivermectine bloque spécifiquement la translocation nucléaire de la protéine Spike de SARS-CoV-2 dans un contexte in vivo ou in vitro. L'étude de 2021 sur la translocation nucléaire de la Spike mentionne cette possibilité, mais ne teste pas l'effet de l'ivermectine.

La translocation nuclĂ©aire de la Spike reste un phĂ©nomĂšne mal compris et pourrait ne pas ĂȘtre le mĂ©canisme dominant de sa pathogĂ©nicitĂ©. De plus, la prĂ©sence de la Spike dans le noyau dĂ©pendrait de la conformation de la protĂ©ine, de l'efficacitĂ© de son NLS, et de facteurs cellulaires spĂ©cifiques, qui ne sont pas encore pleinement Ă©lucidĂ©s.

Maintenant... j'ai une autre piste.

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Voici mon hypothĂšse :
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC12

nature.com/articles/s4139

nature.com/articles/s1227

biosignaling.biomedcentral.com/articles/10.11

ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK9889/

Il faut analyser comment le récepteur de la transferrine 1 (TfR1) se retrouve dans le noyau, via les articles ci-dessus.

Mécanisme de translocation nucléaire de TfR1
L'article décrit un processus de translocation nucléaire de TfR1 qui diffÚre des voies classiques dépendant uniquement des importines.

Voici les étapes clés basées sur les données fournies :
- Internalisation et recyclage via le complexe de Golgi. TfR1, un récepteur de membrane plasmique, est internalisé par endocytose aprÚs avoir capturé la transferrine liée au fer. Une fraction (environ 10 %) de ce récepteur recyclé passe par le complexe de Golgi plutÎt que de retourner directement à la membrane plasmique.
Ce recyclage via le Golgi suggÚre une voie rétrograde qui pourrait servir de pont vers le noyau.

- RĂ©trotranslocation Golgi-ER via les vĂ©sicules revĂȘtues de COPI.
Une voie importante pour la translocation nuclĂ©aire des rĂ©cepteurs de membrane est la rĂ©trotranslocation du Golgi vers le rĂ©ticulum endoplasmique (ER) via des vĂ©sicules revĂȘtues de la protĂ©ine coatomer I (COPI).
L'utilisation de brefeldin A (BFA), qui désassemble ces vésicules COPI, a montré une diminution de la fraction de TfR1 nucléaire avec des concentrations croissantes de BFA. Cela confirme que la voie rétrograde Golgi-ER est impliquée dans le trafic de TfR1 vers le noyau.

- RĂŽle de Sec61ÎČ dans la rĂ©trotranslocation ER-noyau.
Sec61ÎČ, une sous-unitĂ© du translocon de l'ER, est impliquĂ©e dans la rĂ©trotranslocation de diverses protĂ©ines de membrane de l'ER vers le noyau. L'interaction entre TfR1 et Sec61ÎČ a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e par co-immunoprĂ©cipitation (Co-IP), suggĂ©rant que Sec61ÎČ facilite ce transfert.
La rĂ©duction par ARN interfĂ©rent (siRNA) de Sec61ÎČ a significativement inhibĂ© la translocation nuclĂ©aire de TfR1, renforçant son rĂŽle clĂ© dans ce processus.

Une fois arrivĂ© Ă  proximitĂ© du noyau (via l'ER), TfR1 doit traverser le NPC. Des expĂ©riences de Co-IP ont montrĂ© que TfR1 peut interagir avec plusieurs transporteurs nuclĂ©aires classiques : importin-α, importin-ÎČ1 et transportin-1.

Cela indique que, bien que la voie rĂ©trograde Golgi-ER-Sec61ÎČ soit un mĂ©canisme d'acheminement initial, la translocation finale Ă  travers le NPC dĂ©pend probablement d'un mĂ©canisme importin-dĂ©pendant ou transportin-dĂ©pendant, similaires Ă  ceux utilisĂ©s par d'autres protĂ©ines nuclĂ©aires.

Comparaison avec la protéine Spike
Puisque nous avons précédemment exploré la translocation de la protéine Spike, examinons si un mécanisme similaire pourrait s'appliquer.

- Voie rĂ©trograde Golgi-ER : La Spike, exprimĂ©e via des vaccins Ă  ARNm ou une infection, transite Ă©galement par l'ER et le Golgi pour sa maturation et son insertion dans la membrane. Une rĂ©trotranslocation via des vĂ©sicules COPI pourrait thĂ©oriquement ĂȘtre un mĂ©canisme alternatif pour son entrĂ©e dans le noyau, surtout si elle interagit avec des protĂ©ines comme Sec61ÎČ.

- RĂŽle de Sec61ÎČ : Si la Spike possĂšde des domaines capables d'interagir avec Sec61ÎČ (par exemple, via des sĂ©quences hydrophobes ou des motifs similaires Ă  ceux de TfR1), cela pourrait faciliter sa rĂ©trotranslocation. Cependant, aucune Ă©tude ne confirme cette interaction spĂ©cifique Ă  ce jour.

- DiffĂ©rences : Contrairement Ă  TfR1, qui a un rĂŽle physiologique dans le trafic du fer, la Spike est une protĂ©ine virale conçue pour la fusion membranaire, et son NLS "PRRARSV" semble plus dĂ©pendant d'une activation conformationnelle (peut-ĂȘtre liĂ©e au clivage par la furine) que d'une voie rĂ©trograde systĂ©matique.

Mécanisme alternatif pour la Spike :
La voie Golgi-ER-Sec61ÎČ pourrait ĂȘtre un mĂ©canisme complĂ©mentaire Ă  l'importine alpha/bĂȘta pour la translocation de la Spike, surtout si des conditions cellulaires (stress ER, inflammation) favorisent une rĂ©trotranslocation anormale. Cela reste spĂ©culatif sans donnĂ©es expĂ©rimentales directes.

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Jul 9 ‱ 4 tweets ‱ 12 min read
Entre virologie, immunologie, oncologie et dégénérescence... de la Spike du SARS-CoV-2.

Désolée mais je suis obligée de mettre les références avant d'entrer dans le vif du sujet :
x.com/AnneliseBocque


x.com/AnneliseBocque


x.com/AnneliseBocque


x.com/AnneliseBocque


frontiersin.org/journals/immun

pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC11

journals.plos.org/plospathogens/

nature.com/articles/s4139

nature.com/articles/srep0

sciencedirect.com/science/articl

nature.com/articles/s1227

jbiomedsci.biomedcentral.com/articles/10.11

molmed.biomedcentral.com/articles/10.11

pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC11

pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10

pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC79

pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC82

journalofinfection.com/article/S0163-

pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33420426/
nature.com/articles/s4159

Mettre les liens avant d'expliquer permettra une lecture plus fluide de ce que je vais expliquer dans ce thread. Je vais tenter de faire simple. Et quelques définitions...

- SIRT1 est une protéine qui aide les cellules à gérer le stress, le vieillissement et l'inflammation. Elle agit comme un "nettoyeur" en modifiant d'autres protéines pour les rendre plus efficaces, notamment dans la réparation de l'ADN et la réponse immunitaire. Elle a besoin d'une molécule appelée NAD+ pour fonctionner.
- Notch : C'est un systÚme de communication cellulaire trÚs conservé qui régule des processus comme la division cellulaire, la différenciation et la survie. Il est activé quand un récepteur Notch (présent sur une cellule) interagit avec une ligand (comme Jagged ou Delta) sur une autre cellule. Cette activation implique des enzymes comme ADAM10/17, qui "coupent" Notch pour déclencher des signaux à l'intérieur de la cellule.
- HMGB1 : C'est une protéine présente dans le noyau des cellules, qui agit comme un "signal d'alarme" quand elle est libérée (par exemple lors d'une infection ou d'une mort cellulaire). Elle amplifie l'inflammation en activant des cellules immunitaires et est impliquée dans des maladies comme le sepsis ou le cancer.
Elle stimule des molécules d'adhésion (ICAM-1, VCAM-1) et des cytokines (TNF, IL-8). Cela favorise l'adhésion des cellules cancéreuses aux cellules endothéliales (des vaisseaux), augmentant ainsi les métastases.
- CD9 : Cette tetraspanine semble jouer un rÎle dans l'entrée du SARS-CoV-2 en organisant des micro-domaines membranaires et interagit avec des protéines comme ADAM10/17 et des molécules d'adhésion. Elle a aussi des effets immunomodulateurs et des liens avec le cancer.
- CD151 : Une tetraspanine (comme CD9) prĂ©sente Ă  la surface des cellules, impliquĂ©e dans l’adhĂ©sion cellulaire, l’angiogenĂšse, et la transduction de signaux. Elle est associĂ©e aux cancers et aux infections virales.
- AXL : Un rĂ©cepteur tyrosine kinase qui interagit avec la protĂ©ine Spike de SARS-CoV-2, facilitant l’entrĂ©e virale dans les cellules pulmonaires et bronchiques.

Maintenant, on y va :

Le CD9 est une petite protéine sur nos cellules qui aide le virus SARS-CoV-2 (responsable du COVID-19) à entrer plus facilement. Elle agit comme un "organisateur" qui rapproche d'autres protéines (comme ACE2) pour faciliter l'infection. Sans CD9, le virus a plus de mal à pénétrer.

De fait, le CD9 fait partie d'une famille de protĂ©ines appelĂ©es tetraspanines. Ces protĂ©ines aident Ă  crĂ©er des "zones spĂ©ciales" sur les membranes des cellules oĂč des interactions importantes ont lieu. Elles sont impliquĂ©es non seulement dans les infections (comme le VIH ou le SARS-CoV-2), mais aussi dans des maladies comme le cancer, oĂč elles peuvent soit bloquer les mĂ©tastases, soit les encourager.

Le CD9 interagit avec des protĂ©ines appelĂ©es ADAM, qui activent un systĂšme appelĂ© Notch. Ce systĂšme est important dans le cancer du pancrĂ©as, oĂč il peut favoriser la croissance des tumeurs. C'est pourquoi je me demande si la Spike peut activer Notch... j'ai plusieurs pistes.

Le CD9 influence aussi l'immunité. Par exemple, s'il y a moins de CD9, les macrophages (des cellules qui combattent les infections) deviennent plus actifs et libÚrent des substances inflammatoires comme le TNFa.

1/n
À l'inverse, avec plus de CD9, une molĂ©cule anti-inflammatoire (IL-10) est produite, ce qui peut augmenter l'expression d'ACE2 et rendre les cellules plus vulnĂ©rables au virus.
Une baisse de CD9 peut aussi affaiblir les lymphocytes T (une partie clé de notre défense) et réduire les molécules (CMH II) qui aident à détecter les virus. Cela pourrait expliquer pourquoi l'immunité adaptative (la réponse ciblée du corps) est moins efficace contre le SARS-CoV-2.

Le CD9 interagit avec une protéine appelée SIRT1, qui aide les cellules à gérer le stress. Cette interaction, découverte en 2023, pourrait ouvrir des pistes pour de nouveaux traitements, car SIRT1 joue un rÎle dans la santé cellulaire.
En effet, des Ă©tudes montrent que CD9 peut interagir avec SIRT1 et influencer son activitĂ©. Par exemple, quand il y a plus de CD9, cela peut "booster" SIRT1, aidant les cellules Ă  se multiplier ou Ă  se rĂ©parer (surtout dans les cellules souches). Dans des souris oĂč CD9 et une autre tetraspanine (CD81) manquent, SIRT1 est moins actif, ce qui accĂ©lĂšre le vieillissement. Cela suggĂšre que CD9 aide Ă  maintenir SIRT1 en bonne santĂ© pour protĂ©ger les cellules.
Globalement, SIRT1 réduit l'inflammation, et CD9 peut moduler cette réponse (par exemple, en régulant les cytokines comme IL-10). Ensemble, ils pourraient travailler pour équilibrer l'inflammation, surtout dans des maladies comme le COVID-19 ou le cancer.

Imaginez que SIRT1 est un "chef d'orchestre" qui dirige les cellules pour rester en forme, et CD9 est un "assistant" qui prépare la scÚne en organisant les instruments (les protéines). Si CD9 est bien présent, il aide SIRT1 à mieux faire son travail, comme réparer les dégùts ou limiter l'inflammation. Mais si CD9 manque ou est perturbé (par un virus ou une maladie), SIRT1 devient moins efficace, et les cellules peuvent vieillir plus vite ou s'enflammer trop.
Dans des maladies comme le COVID-19 ou le cancer, leur collaboration pourrait ĂȘtre clĂ©, mais elle peut ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©e si un problĂšme survient. C'est une piste excitante pour de futures recherches !

Un autre aspect est : HMGB1.
CD9 influence SIRT1, une enzyme qui enlÚve des groupes acétyle des protéines. SIRT1 interagit avec HMGB1 en le déacétylant, ce qui le garde dans le noyau et réduit sa libération comme signal inflammatoire. Diminuer SIRT1 revient à maintenir HMGB1 et créer une inflammation persistante... comme expliqué dans un thread précédent.

Et c'est lĂ  qu'intervient Notch...
Notch peut stimuler la libĂ©ration de HMGB1 (via LPS ou inflammation), et HMGB1 peut amplifier Notch via NF-ÎșB, crĂ©ant une boucle pro-inflammatoire.

Une fois libĂ©rĂ©, HMGB1 active Notch (via NF-ÎșB), renforçant l’inflammation et potentiellement des voies oncogĂ©niques (comme dans le cancer du pancrĂ©as prĂ©cĂ©demment mentionnĂ©). Cela pourrait expliquer une "tempĂȘte de cytokines" dans le COVID-19 sĂ©vĂšre ou une progression tumorale.

Si la Spike, via CD9, rĂ©duit l’activitĂ© de SIRT1, HMGB1 serait libĂ©rĂ© en excĂšs, amplifiant Notch et l’inflammation (TNF, IL-8, ICAM-1/VCAM-1). De fait, il peut y avoir un impact sur SIRT1 via le miR-34a... le TNF-a induit l'expression de ce miR-34a, ce qui a de lourdes consĂ©quences, notamment au niveau du cerveau.
x.com/AnneliseBocque


Mon idĂ©e est que si le CD9 influence les lymphocytes T et CMH II, une boucle HMGB1-Notch dĂ©sactive l’immunitĂ© adaptative, rendant le corps moins capable de combattre le virus.

Implications en cancérologie :
- Progression tumorale : Dans les cancers, une perturbation de CD9 (via inflammation ou virus) pourrait affaiblir SIRT1, libĂ©rant HMGB1. Ce dernier, avec Notch, favoriserait l’adhĂ©sion cellulaire (ICAM-1/VCAM-1) et les mĂ©tastases.
- Double rĂŽle du CD9 : pro- ou anti-mĂ©tastatique s’explique peut-ĂȘtre par son effet sur SIRT1 : un CD9 fonctionnel protĂšge via SIRT1, mais un CD9 dysfonctionnel (par exemple, par Spike) active HMGB1-Notch.

2/n
Mar 22 ‱ 4 tweets ‱ 13 min read
À lire... trĂšs intĂ©ressant —

Voici la traduction en français :

"Le virus derriĂšre le virus.

La peur et la panique ont-elles régné au début parce qu'on savait que le SARS-CoV-2 venait de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) ?
Ou était-ce la peur d'un virus complÚtement différent et de sa possible fuite de laboratoire à Wuhan ?

Voici mes recherches 👇

Divers protagonistes tentent encore de cimenter la thÚse de la zoonose comme la véritable raison de l'épidémie de corona par tous les moyens.
Inversement, une fuite de laboratoire devrait ĂȘtre prĂ©sentĂ©e comme extrĂȘmement improbable.
Pour comprendre pourquoi il est important pour les protagonistes imminents que la thĂ©orie zoonotique doit continuer Ă  ĂȘtre maintenue, j'avais ici

x.com/p3likaan/statu...

J'ai déjà résumé mes pensées.

En bref, sans théorie zoonotique, pas de milliards pour...
"Une seule préparation à la santé, au climat et à la pandémie, CEPI, OMS, Recherche, etc".

Mais pour vraiment comprendre ce qui pourrait ĂȘtre le contexte de l'Ă©pidĂ©mie de SRAS-CoV-2, nous devons examiner ce qui s'est passĂ© en 2019.
Et pas l'automne 2019.
Pas non plus Corona ou SARS-CoV-2.

L'accent est plutĂŽt mis sur le 31 mars 2019.

À cette date, le scĂ©nario suivant a eu lieu, qui pourrait jouer un rĂŽle dĂ©cisif pour rĂ©pondre aux questions sur l'origine du SRAS-CoV-2 ou sur l'idĂ©e qui le sous-tend.

Le 31 mars 2019, des échantillons de virus Ebola et Nipah ont été envoyés à l'Institut de virologie de Wuhan par le Laboratoire national de microbiologie (NML) à Winnipeg, au Canada. Le LNM est l'un des principaux laboratoires canadiens pour travailler avec des agents pathogÚnes hautement dangereux (niveau BSL-4) .
Ces échantillons ont été envoyés par le Dr Xiangguo Qiu, un scientifique d'origine chinoise qui a travaillé au NML et s'est spécialisé dans la recherche sur Ebola. Elle et son mari, le Dr Keding Cheng, également scientifique au NML, ont participé à la collaboration avec des institutions chinoises.

Le transport s'est fait par avion de ligne (!), ce qui a suscité d'énormes problÚmes de sécurité.
Le ministre des Relations publiques, Dominic LeBlanc, et le dĂ©putĂ© nĂ©o-dĂ©mocrate Charlie Angus ont Ă©tĂ© choquĂ©s par le fait que de tels agents pathogĂšnes mortels aient Ă©tĂ© envoyĂ©s sur un vol rĂ©gulier. Des experts tels que le Dr Steven Quay ont Ă©galement dĂ©crit cela comme extrĂȘmement dangereux.

Ce seul fait soulĂšve un certain nombre de questions !

Des rĂ©vĂ©lations ultĂ©rieures du renseignement canadien (CSIS) ont montrĂ© que Qiu avait des liens Ă©troits avec des chercheurs chinois tels que Shi Zhengli ("Bat-Woman") et peut-ĂȘtre avec la recherche sur les gains de fonction. [0]

Christian Drosten aurait également eu des contacts avec
Shi Zhengli. [1] [2]

Elle a également travaillé avec l'Armée populaire de libération (APL) et a transféré des données et du matériel sensibles, certains via des appareils personnels non cryptés, contrairement aux rÚgles de sécurité.
Sur la base de ces conclusions, Qiu et son mari Keding Cheng ont Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s du laboratoire de Winnipeg en 2021 aprĂšs une enquĂȘte de la GRC pour une atteinte massive Ă  la sĂ©curitĂ©.
Auparavant, ils ont été escortés hors du laboratoire en juillet 2019 et ont perdu leurs habilitations de sécurité.
Quelques mois seulement aprÚs avoir envoyé les échantillons d'Ebola à Wuhan.

N'est-il pas remarquable que le gouvernement canadien de l'Ă©poque sous Justin Trudeau ait tentĂ© d'empĂȘcher la publication de ces documents ?
Ce n'est que sous la pression des lĂ©gislateurs conservateurs qu'une enquĂȘte a Ă©tĂ© lancĂ©e par le ComitĂ© des relations Canada-Chine pour clarifier le report d'un rapport de 600 pages sur Xiangguo Qiu et Keding Cheng.
Le rapport a finalement été publié en février 2024 et montre que Qiu a travaillé avec l'Armée populaire de libération chinoise, y compris sur des brevets et des projets sur Ebola.
Elle avait dissimulé cette collaboration à ses employeurs canadiens ! [3]

1/
Mais non seulement Qiu faisait des recherches sur Ebola sous la direction de Shi Zhengli, mais aussi sur la scientifique australienne Danielle Anderson. Son travail comprenait Ă©galement l'enquĂȘte sur Ebola menĂ©e par Shi Zhengli entre 2016 et 2019 Ă  Wuhan.

En novembre 2019, elle a quitté Wuhan - juste avant lépidémie officielle en décembre 2019.
Bien qu'il existe diverses indications que le virus a déjà circulé plus tÎt, par exemple lors des Jeux mondiaux militaires internationaux à Wuhan à la fin du mois d'octobre 2019. [4]

A-t-elle quitté Wuhan début novembre ?

Officiellement, elle a souligné que son départ était lié à des raisons personnelles et non aux événements entourant le SARS-CoV-2.[5]
Les détails exacts de leurs expériences ou les résultats de la recherche sur Ebola à Wuhan ne sont pas documentés publiquement.

En plus de Xiangguo Qiu et Keding Cheng, Danielle Anderson joue également un rÎle important.
Mais pas seulement ces gens.
Plus Ă  ce sujet plus tard.

Mais qu'est-ce que l'envoi des échantillons d'Ebola et les recherches menées maintenant ont à voir avec le SRAS-CoV-2 ?
Eh bien, la publication "Un groupe de coronavirus de chauves-souris en circulation de type SRAS montre un potentiel d'émergence humaine" par Menachery et al., publiée le 9 novembre 2015, en fournit la preuve. [6]

Il a été mené par une équipe dirigée par Vineet D. Menachery et Ralph S. Baric de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, en collaboration avec d'autres chercheurs, y compris des scientifiques chinois, tels que Zhengli-Li Shi de l'Institut de virologie de Wuhan.

Les travaux ont examiné le potentiel des coronavirus des chauves-souris à infecter les humains.
Les auteurs ont séquencé la protéine de pointe de...
SHC014-CoV, un virus qui avait été isolé chez des chauves-souris par Zhengli-Li Shi et son équipe.

En utilisant la recherche sur le gain de fonction, ils ont construit un virus chimérique par voie génétique inverse en insérant la protéine de pointe de SHC014-CoV dans une autre souche du SARS-CoV (MA15) .

Et cela n'a servi qu'un seul but.

Il convient de déterminer si l'ajout de la protéine de pointe peut permettre et augmenter la transmissibilité chez l'homme.
Cependant, le virus chimérique chez la souris était moins virulent que le SARS-CoV-MA15 original.

Et maintenant le SARS-CoV-2 entre en jeu.

Son site unique de séparation des furines était et est la clé d'une forte infectivité.

Ainsi, le SARS-CoV-2 ne pourrait ĂȘtre rien de plus que la poursuite des travaux Ă  partir de 2015.
Ici explicitement en mettant l'accent sur le mĂ©canisme et la mise en Ɠuvre du site de fractionnement du furin.

Alors... qu'est-ce qui devrait vraiment ĂȘtre testĂ© ?

Exactement ce mécanisme !
Plus prĂ©cisĂ©ment, la capacitĂ© et la mise en Ɠuvre de tester pour mettre en Ɠuvre cela dans un virus.
Et enfin ĂȘtre en mesure de transfĂ©rer ces rĂ©sultats Ă  un virus trĂšs spĂ©cifique.

Ebola !

Ces derniĂšres annĂ©es, il est de plus en plus Ă©vident que certains groupes de personnes, d'"institutions" et d'États ont un grand intĂ©rĂȘt pour une capacitĂ© aĂ©roportĂ©e,
C'est-à-dire le virus Ebola aéroporté.
Ces craintes sont exprimées depuis un certain temps.

Et ici, comme décrit ci-dessus, en plus de la protéine de pointe, le site de séparation de la furine présent dans le SARS-CoV-2 joue un rÎle important.
La preuve s'accumule que le site de séparation de la furine dans
Le SARS-CoV-2 n'a pas Ă©tĂ© causĂ© par des mutations naturelles, mais a Ă©tĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment créé et mis en Ɠuvre artificiellement.

Le SARS-CoV-2 a servi d'objet de test.
Une Ă©tude de faisabilitĂ© sur la mise en Ɠuvre du site de fractionnement du furin.
Le ballon d'essai pour analyser le mécanisme pour faciliter la transférabilité.

Le tout dans le but réel de pouvoir transférer les connaissances acquises aux virus Ebola.

Les virus Ebola utilisent leur glycoprotéine (GP) pour pénétrer les cellules.

2/
Jul 26, 2023 ‱ 4 tweets ‱ 3 min read
Pemphigoide bulleuse... pathologies neurodégénératives et... Spike (of course)

Cette pathologie auto-immune se caractérise par l'apparition de cloques (bulles de grandes tailles, remplies de liquide comme une soufflette) au niveau de la peau, et de plaques érythémateuses. Cela
 https://t.co/spbccqChZDtwitter.com/i/web/status/1



Image
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Y a-t-il des cas de pemphigoide bulleuse aprĂšs injections anti-covid ?
Un grand OUI... il y en a pléthore.
Je ne mets en lien que les articles qui m'intéresse beaucoup...
(BP180 +++, ou pas d'anticorps anti-BP ??)
https://t.co/j5pSLTIewd
 https://t.co/WrZdkAdKyCpubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35295599/
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35251600/
twitter.com/i/web/status/1

May 15, 2023 ‱ 16 tweets ‱ 51 min read
English version : International Network Spaces
@dopaminergic13
@SabinehazanMD @PierreKory @DrJBattacharya @goddeketal @ABridgen Pitch en français ImageImageImage
May 15, 2023 ‱ 17 tweets ‱ 51 min read
English version : International Network Spaces
@dopaminergic13
@SabinehazanMD @PierreKory @DrJBattacharya @goddeketal @ABridgen Pitch en français ImageImageImage
May 15, 2023 ‱ 16 tweets ‱ 51 min read
English version : International Network Spaces
@dopaminergic13
@SabinehazanMD @PierreKory @DrJBattacharya @goddeketal @ABridgen Pitch en français ImageImageImage
May 7, 2023 ‱ 7 tweets ‱ 6 min read
Thank you once again @Parsifaler.

I think that 3 mechanisms are probably involved in the long-covid syndrome :

1. Persistence of the SC-2 and thus, persistence of the viral Spike protein.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36052466/ (Fig 2, patient 9)
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32848621/ (CNS)
1/n pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34336189/
mdpi.com/2076-393X/10/5

(Viral persistence in the gut microbiota)
And probably in the immune cells...
frontiersin.org/articles/10.33


2. Persistence of the Spike protein itself :
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36052466/ (Fig 2, patients 1, 3, 4 & 12)
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36597886/
2/n
Apr 4, 2023 ‱ 10 tweets ‱ 5 min read
Merci ❀ ❀ ❀
Twitter n'est pas la vraie Vie. Je me suis retirée pour :
1. Me concentrer sur mon travail (la Science est exigente)
2. Me retrouver moi et l'essentiel de ma Vie, ma famille et mes amis (qui se reconnaĂźtront)
3. Me protéger des attaques permanentes Je n'arrive pas à comprendre comment il est possible d'attaquer des personnes comme @CaudeHenrion... comme @PinsolleT... comme @mmtchi.

Je suis revenue parce que j'ai encore des choses à dire, des combats à mener. Si Alexandra a délivré son message, ce n'est pas mon cas.
Mar 29, 2023 ‱ 6 tweets ‱ 4 min read
Dernier avis.

Les enjeux actuels sont trop importants... il nous faut arrĂȘter les injections de nanoparticules lipidiques Ă  ARNm modifiĂ©. L'heure n'est pas aux attaques "Ad Hominem" contre @CaudeHenrion, @PinsolleT, @mmtchi, @tatiann69922625 et bien d'autres...
1/n
L'heure n'est pas non plus aux théories "annexes" mises à disposition sur YouTube.

Nous diffusons des analyses étayées, basées sur un socle de connaissances et des publications scientifiques peer-reviewed...
2/n
Mar 27, 2023 ‱ 4 tweets ‱ 2 min read
Vous ĂȘtes un enfoirĂ© de service... et je le dis calmement !
1. Vous relayez des critiques sur le Dr. Alexandra Henrion-Caude juste... pour la dĂ©molir ? Vous avez vĂ©rifiĂ© les informations auprĂšs de la personne concernĂ©e ? 😬
2. Vous ne dévoilez qu'une partie du Substack de M. Kirsch...
stevekirsch.substack.com/p/want-to-know

En somme la partie qui vous intĂ©resse... comme les ayatollahs provax ! Ils ont EXACTEMENT la mĂȘme technique... NE DIRE QUE CE QUI LES ARRANGE ! Image
Mar 11, 2023 ‱ 5 tweets ‱ 2 min read
Peut-on se débarrasser de la Spike ?

frontiersin.org/articles/10.33

Dans cet article, les auteurs montrent que la S se lie à l'IRF-3, un élément important de la transduction de signal des IFN-1. La S induirait sa dégradation dans le proteasome, station d'épuration cellulaire. 1/n Les auteurs montrent aussi qu'inhiber le proteasome rétablit non seulement IRF-3 mais augmente aussi la S... il semble donc que la S soit cliver dans le proteasome cellulaire...

Sauf que le proteasome présente des activités trypsine-like. La trypsine est une protéase... 2/n
Mar 5, 2023 ‱ 12 tweets ‱ 3 min read
Un peu d'humanité...
J'ai perdu un collÚgue et ami, retrouvé mort chez lui aprÚs mon signalement pour disparition inquiétante. Je pensais le connaßtre... je le pensais "solide comme un roc". Sa disparition brutale me laisse sonnée, incrédule.
1/n Des questions me taraudent comme "Est-ce que j'aurai pu le sauver ? Qu'ai-je loupé ? Que s'est-il passé ? Pourquoi ai-je réagi trop tard ?".
Une culpabilitĂ© immense m'arrache le crĂąne Ă  chaque instant. Et la douleur de l'absence me vrille le cƓur.
2/n
Feb 16, 2023 ‱ 7 tweets ‱ 3 min read
Swank et al., a real good paper. However, Spike is detected in blood samples...which does not reflect total production. Why?
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36052466/
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36114089/
1. The distribution and incorporation of nanoparticles into cells is not controlled. 1/n We do not know which cells will express S... these cells are destined to be destroyed by the immune system. Some tissues have low renewal rates (heart, nervous system). Is it the Spike released during the lysis of "pseudo-infected" cells that is measured?
2/n
Feb 11, 2023 ‱ 4 tweets ‱ 3 min read
Excellent Substack de @DoorlessCarp sur les lncRNA (ou ARN longs non codant en français). En bref, les lncRNA sont des sĂ©quences impliquĂ©es dans le contrĂŽle de l'activitĂ© cellulaire, notamment au niveau du transcriptome : rien de plus ni de moins que l'expression des gĂšnes ! 1/4 Leur expression ou leur inhibition pt ĂȘtre un marqueur de cancers ou d'une immunodĂ©ficience, d'une infection virale ou d'une immunisation active (soit une vaccination).
Dans le contexte des injections anti-covid, ils DOIVENT ĂȘtre sĂ©rieusement Ă©tudiĂ©s pour Ă©valuer l'impact... 2/4
Jan 24, 2023 ‱ 9 tweets ‱ 3 min read
Modified mRNA injections and CANCERS ?

Well, a new preprint is quite alarming...
biorxiv.org/content/10.110

What did the authors find ? They found that Pfizer vaccine down regulate the concentration of cytochrome c in cells & mitochondria.
1/n
Why is this important ?
Cytochrome-c is implicated in the initiation of the mitochondrial-dependant cell apoptosis. Briefly, the release of cytochrome-c leads to the activation of caspase-9 then caspase-3 followed by apoptosis.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15748703/
ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

2/n
Jan 16, 2023 ‱ 24 tweets ‱ 10 min read
Mimétisme moléculaire de la Spike et nouvelles interactions potentielles.
"Predicted structural mimicry of spike receptor-binding motifs from highly pathogenic human coronaviruses" (2021)
sciencedirect.com/science/articl

cmbl.biomedcentral.com/articles/10.11

1/n
A. Les domaines EGF-like de la Spike & NOTCH
ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

Notch peut ĂȘtre impliquĂ© dans l'infection mĂ©diĂ©e par le SC2 en promouvant soit l'infection (NOTCH bad #1 : âŹ†ïž furin, âŹ‡ïž ADAM17) soit la tempĂȘte cytokinique (NOTCH bad #2 : IL6)
2/n
Jan 1, 2023 ‱ 16 tweets ‱ 10 min read
Les protéines PRION-LIKE et les protéines du SARS-COV-2 (Spike et Nucleocapside)
Les protéines prions sont souvent associées à des maladies telles que les encéphalopathies spongiformes transmissibles et de Creutzfeldt Jakob.

https://t.co/OJ37i0Z9Gd
1/nncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P
 RĂ©cemment, on a dĂ©couvert que la conformation anormale des prions sont associĂ©s Ă  la formation d'agrĂ©gats fibrillaires toxiques, insolubles, de protĂ©ines ÎČ-amyloĂŻdes, tau et TDP-43 dans la maladie d'Alzheimer et la sclĂ©rose latĂ©rale amyotrophique.

2/nncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

Dec 20, 2022 ‱ 7 tweets ‱ 7 min read
Réponse aux derniÚres recommandations de la HAS : des injections anti-covid Pfizer ou Moderna aux enfants dÚs l'ùge de 6 mois présentant des comorbidités ou dont l'entourage proche présentent des comorbidités. Bibliographie pour la transmission : breakthrough infections...
cdc.gov/coronavirus/20

pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35313532/
ADE : facilitation de l'infection par les anticorps
ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/P

Dec 15, 2022 ‱ 9 tweets ‱ 4 min read
AprĂšs rĂ©flexions/analyses de l'article partagĂ© par @Andromaque19841 (merci 🙏) & le commentaire de @vieil_garde_ph (merci 🙏), une hypothĂšse pt ĂȘtre Ă©mise concernant le syndrome du covid long.
Com. mentionné, le SARS-2 peut voyager dans le corps via les axones des neurones (1/n) Et pénétrer dans le systÚme nerveux central en utilisant le systÚme myentérique.
Dans le covid long, il semble qu'il y ait des neuropathies, probablement en lien avec la présence du SARS-2 au niveau des neurones.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35232750/
2/n
Dec 13, 2022 ‱ 8 tweets ‱ 6 min read
@AGenervt @kacdnp91 This ties into one of my threads. And confirms globally what I wrote.

In short, immune memory relies on 3 categories of cells: memory T-cells (LT), memory B-cells (MBC) and Long Lived Plasma Cells (LLPC). 1/n @AGenervt @kacdnp91 Once activated (by antigen-presenting cells or directly in contact with antigen), B-cells differentiate into plasma cells to initiate antibody production.
cell.com/trends/immunol

Some of these cells will mature in the germinal centers of the lymph nodes. 2/n