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Je ne citerai pas ici les dizaines de formations rebelles, de l'ASL notamment, qui furent vaincues, éliminées ou soumises depuis 2013. Ni la guerre menée par al-Nusra contre l'Etat Islamique dès début 2014.
Dès la fin décembre 2024, j'évoquais soigneusement qu'un jour, proche ou lointain, Ahmad al-Sharaa agirait contre les combattants étrangers qui n'auraient pas plier les deux genoux au sol devant sa nouvelle autorité.https://x.com/CdricLabrousse/status/1871490636605493287?t=3JA0PDCDGy_kaEGTRdsodg&s=19
Tout d'abord, je rappelle que la circonscription électorale d'Alep et sa campagne est la plus puissante de Syrie à elle seule : 20 sièges y étaient en jeu pour la part des sièges attribués pour les 70 % à élire par les collèges électoraux nommés par la présidence.
Tout d'abord, concentrons nous sur les résultats du seul bastion kurde qui était consulté ce 5 octobre 2025 : Afrin. Région qui fut longtemps tenue par le PYD puis occupée par la Turquie, qui y mena partiellement un nettoyage ethnique. Avant que le nouveau pouvoir n'autorise les kurdes à revenir.
Historiquement, et peu de le savoir, la Syrie a été très tôt impliquée dans le soutien à l'ONU et ses principes. En 1945, alors que le projet est sur la table, la Syrie y apporte son soutien sous le président Quwatli.
Je ne commencerai que par une image symbolique : hier soir, pour célébrer une remise de diplômes, une grande fête a eu lieu à Damas. Musique de dancefloor et techno' à fond, femmes et hommes mélangés et dansant. Etc...
Une fois que l'on a établi ce constat, on peut alors installer Ahmad al-Sharaa dans une longue chronologie de coups d'Etat en Syrie. Y compris dans les méthodes : c'est une insurrection menée par plusieurs officiers venus du nord qui finit par effrayer Shishakli en 1954, le poussant à la démission.
Martine est en colère. Ça fait 27 ans qu'elle est en retraite après n'avoir travaillé que 33 ans dans sa vie. Dans la journée, sommet exceptionnel avec Louisette et François, ça va barder.
Au cours de mon travail sur la Syrie, centré sur le nord-est syrien, la Djézireh ou Jazira, j'aborde notamment l'engagement des combattants étrangers dans la région. Et j'ai eu à me pencher, dans le cadre du suivi des actions de l'Etat Islamique, sur le cas très étrange des combattants maldiviens en Syrie.
Tout d'abord, il faut rappeler une chose : il y a eu, durant le conflit civil de 2011 à 2024, un baby boom. Il est très complexe de le quantifier. Les nouvelles et actuelles autorités syriennes ne disposent pas elles même de l'ensemble des données.
La délégation syrienne a dénoncé ces exigences et considéré que les négociations renouvelées avec Israël en vue d'une paix potentielle n'étaient que vaines sur ce principe des pré-requis israéliens.
Il est à noter que devant l'impossibilité de reprendre la ville dans la nuit sans blindés et artilleries, ces matériels sont revenus ce matin pour permettre l'entrée, de nouveau, des forces armées syriennes.
Alors qu'il avait disparu des radars pendant toute la journée, Laith al-Balous, un des plus influents chefs des factions druzes, a négocié pendant des heures avec Damas. Il a réussi à amener à la table des négociations d'autres chefs de factions comme Abdul Baqi dont je parlais plus tôt. 2/
Avant d'avancer, rappelons le contexte long des négociations en cours entre Damas et Tel Aviv. Avec l'étape récente à Abu Dhabi que j'avais couvert ici. Et, évoqué simplement ailleurs, d'autres négociations ayant eu lieu à Baku, en Azerbaïdjan. 2/ : https://x.com/CdricLabrousse/status/1942560962491363811?t=X9GqwEHNiG0KIzcmMd85yA&s=19