Lasch avait des pages sanglantes sur ce type de raisonnement incroyablement technocratique dans La Révolte des Élites.

En réalité, c'est le débat qui donne envie de s'informer, et non l'information qui donne envie de débattre.

Quelques extraits 🧵 “What democracy requires is vigorous public debate, not information.

Of course, it needs information too, but the kind of information it needs can be generated only by debate.

J'ai découvert en discutant avec ces étudiants le prix délirant qu'ils doivent payer pour leurs idées.

J'ai eu tellement honte pour notre pays...

Petite liste non-exhaustive de ce qu'ils subissent :

https://twitter.com/unibordeaux/status/1771133531818754115

Pour lutter contre des attaques physiques assez fréquentes d'Antifas ou autres militants d'extrême-gauche, ils doivent avoir un service d'ordre important et se défendre avec les moyens du bord.

J'ai été littéralement escorté tout le trajet de la gare au bar.

On a vu des étudiants occidentaux, qui pensent appartenir aux « Gentils » :

1) retirer des affiches sur les bébés juifs utilisés comme otages

2) refuser de condamner la violence du Hamas

3) porter des « autocollants parachutistes »

Pourquoi ?

Analysons leur logiciel :👇🧵



Pour comprendre cette révolution, il faut passer par cet homme, Herbert Marcuse.

Il était juif et allemand, et passera sa vie à craindre le retour du nazisme/fascisme.

Il se permettra de comparer les États­Unis (où il est venu se réfugier) à l’Allemagne nazie (qu’il a fuie).

On est tous d'accord que cette trilogie Star Wars fut une catastrophe sans nom.

On a évoqué plusieurs causes : rôles mal écrits, réalisateurs pas d'accord entre eux, scénario truffé d'incohérences etc.

Mais si une des causes premières était d'ordre idéologique ?

Petit fil👇 Premier gigantesque problème intrinsèque à toute la trilogie : le VI n'a pas (vraiment) eu lieu.

L'étoile de la mort détruite, Vador, l'empereur aussi ?

Rien à faire, on va recommencer au même endroit que le IV.

Article vraiment édifiant de la part du Figaro, qui démontre le noyautage d'activistes au sein d'un organisme clef, et les conséquences désastreuses que ça pourrait avoir sur potentiellement toute une génération derrière ...

Petit fil à ne pas manquer 👇
lefigaro.fr/actualite-fran… De quoi parle-t-on ?

De la Haute autorité de santé (HAS), autorité publique indépendante chargée d'émettre des recommandations en matière de santé publique.

Or, les recommandations adoptées par la HAS à l'issue des travaux ont une valeur scientifique de «grade A».

« Ils sont faux ces Gaulois ». Ce livre écrit à 4 (@SamuelFitouss10, @Rnitot, @jb_gastie et moi-même), publié par @les_arenes, est consacré à la manière dont le Parc Astérix, célèbre parc d’attraction, déforme et instrumentalise l’histoire à des fins politiques. Un thread ⬇️! Pourquoi le Parc Astérix ? Car le parc met en avant son lien à l’histoire, ne serait-ce qu’avec ces immenses affiches où le slogan dit « Qui a dit que les gaulois ne savaient pas recevoir ? ».

Voici l’ouvrage le plus sous-coté qui parle du phénomène #Woke.

Il est passé quasiment inaperçu. À cause de son titre, on s’attend à un truc assez banal.

Pourtant il va changer à jamais votre compréhension du mouvement.

Petit 🧵à dérouler👇 Il analyse subtilement les conditions culturelles et sociales de l’émergence du « wokisme ».

L’Occident avait connu deux cultures morales : la culture de l’honneur et la culture de la dignité.

Cette nouvelle culture morale sera appelée « culture de la victimisation ».

Dans la famille #Woke, je demande les décoloniaux.

Qui sont-ils ?

On va essayer d'y voir plus clair en nous appuyant sur les recherches de Pierre-André #Taguieff

👇 « En France, depuis le début des années 2000, on compte 1108 thèses de doctorat, soutenues ou en préparation, qui s’inscrivent dans le champ des études postcoloniales, toutes disciplines confondues. »

Quelle est la psychologie d’un militant #Woke ?

C’est (plus ou moins) la question étudiée par les chercheurs Greg Lukianoff et Jonathan Haidt dans cet ouvrage, publié en 2018 :

(1/x)

👇 Le livre situe le début des troubles que nous connaissons actuellement sur les campus vers 2013, ce qui coïncide parfaitement avec l’arrivée de la génération «iGen» (1995+), qui a grandi dans les réseaux sociaux.

Les « trigger warnings » apparaissent en 2013/2014.