Marine apprend le gloubiboulga. "Mixité non choisie", militantisme gay et lesbien, famille et amis m'ont appris à ne jamais changer de trottoir ; à être fort non parce que j'aurais sécurisé mon espace mais que je m'assume partout, y compris en zone hostile, sans baisser les yeux.

https://twitter.com/marinetondelier/status/1637142075023011840

Les valeurs républicaines, @marinetondelier, l'universalisme républicain notamment, vous obligent à ne militer que par principe pour ou contre certaines valeurs; à vous débarrasser, donc, de l'idée qu'en raison de sa couleur ou son genre on est intrinsèquement coupable ou victime

On résume l’histoire. Les homophobes qui ont réussi à stériliser les luttes LGBT en passant par l’intersectionnalité pour réintroduire de la culpabilité chez les « militants » sont allés trop loin. Et certains, mollement, réagissent (quitte à rentrer dans le rang, je le crains).

https://twitter.com/SabrinaOuRien/status/1586130299854929920

Comme dans tout mouvement totalitaire, l'impétrant se fait rappeler la doctrine. Ce n'est pas le discours de la néo-fasciste qui a pondu le concept d'homophobie soft qui pose problème, c'est lui qui oublie la doctrine. D'abord, celle du racisé homophobe par refus du progressisme.

Je ne me souvenais pas d'un aussi beau musée Jean Lurçat. Et quel site !

@Museesdangers #Angers Prieuré de Saint-Rémi.

#Anjou

L'homonationalisme, concept homophobe créé par une gauche craignant par dessous tout de nous défendre sans condition, a pour vocation, à long terme, de nous dénier toute possibilité d'universalisme. Permet de prêter à autrui sa lecture raciale - et raciste - du monde.
#Homophobie En bref, le #racisme est si condamnable qu'on peut le séquencer à coups de #Blacklivesmatter, sans considération d'une éventuelle #homophobie. A contrario, nos luttes sont si méprisables qu'on les conditionnera à celles de l'antiracisme, de l'islamophobie ou de l'anticapitalisme.