Compte officiel de l'Association des Amis de l'Institut François Mitterrand. Que ceux qui l’ont connu l’y retrouvent chaque jour, que les autres le découvrent.
Il a écouté, observé, il accepte les reproches qu’elle n’a pas dits. Il n’apporte pas de contradiction, pas de solution: «Et je me demanderai, sans réponse possible aujourd'hui, comment le mieux t'aimer.» Il n’a à dire que son amour: «Je suis à toi, très imparfait, je suis à toi comme tu m’appartiens.» 2/5
« Au Mexique et à Costa Rica, elle [la politique] nous a gâtés. Au point d'effacer la fatigue.
« que j'ai lu cent pages de L'Automne du patriarche de Gabriel García Márquez (l'auteur de Cent ans de solitude) qui, précisément, nous attendait à l'aéroport et avec lequel je prendrai dans un moment mon petit déjeuner, 2/3 
L’inspiration littéraire : François Mitterrand est imprégné du roman de Charles Morgan, « Fontaine » (1934). Le héros, Lewis Alison, officier prisonnier dans une forteresse hollandaise, vit une histoire d’amour qui l’entraîne au dépassement de soi, après un long cheminement 2/5 
Melun sur Yèvre, Quincy, Nançay, Beaugency et retour à Paris, huîtres et coca-cola à Montparnasse. « Tu m’avais entre temps raconté tes fêtes du Nouvel An, tes promenades, tes joies…
« que notre amour demeure le centre de notre vie, que chaque jour de 1939 nous trouve unis, matériellement ou par l'esprit; qu'avec la même ferveur, nous connaissions la douceur d'être ensemble... Reste toujours telle que je t'aime, et veille sur moi. Tu seras ma femme, ma Marie-Louise : et nous serons liés l'un à l'autre par toutes les forces du corps et de l'âme. 2/4
1) «Ce scénario, à la sortie d'un Conseil des ministres où l'on s'était flatté d'avoir réduit la criminalité à son niveau le + bas depuis 15 ans au lendemain de la visite du président dans un commissariat tombait trop à pic pour ne pas ressembler à une opération de propagande.2/7 
« Hier j'ai fait une marche de trois heures avec Jean Munier, mon ami de Tahiti, de passage en France. L'air était incroyablement léger, les couleurs du ciel et de la forêt d'une finesse extrême, le sol souple, les parfums de résine plus pénétrants que certains mois d'août. 2/3 
2)Michel Rocard a laissé un Dictionnaire amoureux de Matignon, inachevé,non publié, dont @GUIGO_PE nous a livré des extraits. 
@JeanGlavany, président de l’@IFMitterrand, rappelle l’entretien accordé par Robert Badinter à Pierre Favier le 1
« Ce musée vous doit d’exister » écrit François Mitterrand à Valéry Giscard d’Estaing en l’invitant à l’inauguration. « La continuité de l’État, dans un domaine qui ne prête pas à interprétation politique, serait heureusement affirmée de la sorte ». 2/4 
« Chez lui une table, un crucifix, pas la place d'un matelas. Il a aménagé tout à côté une chapelle où il dort, sur une natte fine à même le ciment. Le saint sacrement, une petite lampe rouge, une table de bois pour autel… Chaque jour à 6 h il dit sa messe le soir devant des fidèles entassés. 2/6
